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 y. voit  cette  température  des  ©aux  (Je  ia  mer,  à  des profondeurs  
 inégales,  varier  du  8.‘  degré  ç|e Ré Açmur,,à - t r 7^6; • à -H»  ;-à 
 •Hhod,4)  e|  enfin  à  3  degrés  environ  au-dessous ,du*  point 
 de  fa  côhgéiation  de  Réaumur.  On  la  voit ÆÔnstamment *  plus  
 faible au  fond "qy.’!- la  surfitee  4# 4^m^|s|in  la  volt èn&£y%omme  
 dans  les  expérieneis  deFoRSTER,  s’abaisser  graduellement  de  8^  
 au-dessus de  zéro  jusqu’à ^.au-dessous  de  ce même:; point. Toutes  
 les  conséquences  cpH?  nous  avons  pu!  déduire  des'  précédentes  
 ©bservations se  trouvent  domncétafirmées  par  exiles rd’IaviNG^et  
 nous  pouvons  en  étendre  lès^applications  à ' l’ùnivérsalité • dès  
 grandes^: mers,  puisque;  sur  iespoints  lès  plus ^éloignés  dü’gîoM  
 et  les  plus  opposés ,  nous  voyons^'ce&'.meiHe^'résultaiïS  reproduire  
 à  des  époques  fort  éloignées  les  unes,  des  autres-^clïezfl.lfcjS  
 observateurs  dlfierens  ey munis  d’appareils  egalement'"ferië^:* 
 E x p é r ie n c e s   recueilles fa r   K irw,a îc -. 
 "Nous  avons  eneoré  sur  là  température  de  la mèr-pltisreurs  efcV  
 pcricnces  isolées,  anonymes,  et  dès - Idrs  peu  connues.  Quelque  
 imparfaites  qu'elle!?: soient,  on  retrouve  néanmoins  dans  leurs  ré1,  
 sultats de  nouvelles  preuves, des  conséqueribéSque je  yf^Es  sficces1  
 sivement  d’établir  :  ainsi,  dans  quelques  oifeervatipiSs  d’ELLrs  sur  
 la  chaleur  des  mers  d’Afrique,  on  lit  cette" phrasé  remarquable':  
 « La  cfiàîeur  diminuoit  à me'sure  qu’on  ’dësdtendoit. » 
 Nous  devons  à  Kirwan  une  réunion  de plusieurs  expériencë!  
 sur ce même objet,  expériences bien iricomplètes  sans doute,  puisque  
 rien  n’y   est  dit  de  l’appareil  avec  lequel  elles  ont  été  faites ,  
 des  précautions  prises, pour  assurer  l’exactitude  des-  résultats,  &c.  
 Un grand nombre d’entre  elfes sont d’auteurs inconnus, et Ips autres 
 1 II eût  été  mieux  de  dire , presque  consr  qu’à  la  surface  onkvoit, çu  -+- - Æ8  et  dans 
 tàmmimt}  car  Pexpérience  du 4  août  donne  i’air ôd. (  Voy,  les table.aujç CMojnii,^  L,  F,  
 >+-3d,i  R.  à 60 brasses de profondeur, tandis 
 F,xmÊ'wéMü-ilfe- du  docteur  I pour  déternünsn ï'a tempé- 
 = d  4Me/ ent%siMiùf o,i^eM/s  H  m  wèê 
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 D ü fT HER MOi\I ÈjiS.V1;'', 
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 HHHa mer. 
 VA,  ■  à une certaihê  '  
 profondeur en mer. 
 Réaumur. Fahrc-inheit. FahVcirihm> 
 I ?4j. H H S" I°d>1, p p s | l | -+-4? '.»-I 
 a » » " %.> ,3.  . | 
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 H H ï i - 66, f . ■ +- U.3- H- 1 «vCi 
 i n ^ ’Vi- ^H|riîb  : 
 -t-S,o.  !’ 
 T î -   \ 
 Js-RilPPS , pag. «U, ) 
 pet  de  cette  of)seri?âtion,  epoe-;ile  4(<septemfafe,  de*doètgnr  I r v i-N(&  
 "piileyyti  aVeient-jét'^. envoyées  à  |lkm,  en,prépara  u’nejui-niêmê  pour  
 -HigévÜans  dffi i’eau  qui  aVoit  été, puisée  a^faM-4 d’é"'Ia mèr]  le  tint;  à  
 ^ sur  cdtle. -tablel, m 
 laquelle,  dit Phipp'S,  pii-compaïa  l'instrument  (d eC  a v end 1 s h \  
 psà 'difïeren,s  d^féfltfeioBalèur /fait  voir  ÿî'i’op' ne  peSç-ïompter  sur  
 p  qu  t?,3  R. TOrès'Fpuisgue  îesV extmrîes  des Résultats  qui ont" donné  
 lentre  eux  <£e&yiron  5'1 ƒ .  [ad  R.] 
 lyage de  Êhipps  au  Pôle Boréal, pag.  i-4j de  la tratr,  franç.  }