
 
        
         
		dp epmnmjmquer avec  eux, nous.«akvons point!  f.eMarqué'be.^dÊgré  
 de  curiosité'qui.lhdique' aptitude  et! dtsir.de* s’instruire.  Qübiiflte,  
 depuis  plusieurs  années-,  les  naturels  des  environs  de  Sydney  fréquentent  
 sans  crainte  et sans  cesse  l'es  AngiSis-,  ils  ne ^ont Cependant  
 guère moins  barbares  qu’avant l’arrivée  des Européens. Quelle  
 différence avec  les autres habitans delamer du Sud K f p  navigateurs  
 Européens, qui,ont abordé  aux  îles  des Amis”, aux xleside-la Société,■  
 aux,  îlés  Sandwich, -sè,. sont-vus  entourés  ayèC  le plus grand intéiêè  
 e t _laplus  vivetî^ ^sïté   lès présén's qu’ils; ont fàiisra’ux^habitons onè  
 été : reç.us ayéc : enthousiasme  et. appréciés*avec - tKscernemeut.  Ici;  
 au contraire, quand; après avoir indiqué  aux sauvages-de la Nouvelle-  
 Hollande  l’usage-de  quelques,  objets  qui  pouvôiënt -leur1 être  de  la  
 plus- grande; utilité,  nous  leur en faisions  p r ie n t , ils lés JèceVoiënt  
 sans, réflexion ;  et ie$  ;abandonnoient  presque  toujours  avec indifférence. 
   1 
 •Lepteésuf tats de  nos?rêGÎBercKes  en  botanique jjgifeÉSÉ  
 L ’observation  que  j’ai  faite  de  quelques  plantes  que  je* suppose  
 et  que j’indique  comme pouvant  offrir  des  avantagés.  ' 
 -Nos> herbiers  retderment'plus  de  mille  espèces^;  dont  surf grand  
 noipbre  sont  nouveflesA, 
 Beaucoup  de  graines  que  nous  avons-rapportées  ont multiplié -  
 considérablement,  dans, nos  climats ;* les ( plantes  de  fa- Nouveile-  
 Hollande,,auparavant  si rares. en France.Æes plantevrëmârqüablés;  
 en  général  par  l’élégance  de  leurs.formes  et  te délicatesse  de  leurs  
 fleurs.,. ornent  non - seulement*>les  jardins  de  la Malmaisôn  et  .du-^  
 Muséum  d’Jiistoire naturelle»; mais  sont encore  répandues, en grand  
 nombre dans nos départemens, et quelques-unes donnent l’espérance  
 de pouvoir,y être naturalisées.. 
 ;L*'  Lo¥sqBèv fécnvôîs  cetfë  'notice,  YéxcèMetiï^ftvizgt  du,célébré  et  savant  vÿiyâgéur-  
 naturaliste -M. Brown , sur lès plantes  de-la Noüvelle-HCIltnde,  n’avôit pas ehéore’pafu. 
 CH A P IT R E   XXXIX. 
 Fragment  d’un ' •Mémoire  de  M M s  P é.r o n   et  L e Su e u r   ,  
 sm vV A rt  de^consh'v'er,  ïes  ïaUimdux  dans  les  Collections  
 pdlbgiquws 
 A. 
 Des meilleurs  mofèfis  de fermeture  dès  vases M les  Animaux  doivent  
 ê tr e y ^ è fs ." 
 b--.  - TE’ mastic YtfeS vitriers que  nous  substituâmes  à  la cïrémoUe,  
 ne  iièus partit par valoir mieux  que  fcèttetldefflièrê  substance.  Si  le  
 mastM'^en  effet,- adhère mieux .au? verre,-ce n’eÿtqüfe'dans  sén: état  
 dé dessic%atrdnv  pâraifë' qu fl%’ffré$bet?%vantagè  f or,  cette  ’dessiccation  
 qlqui  exige  toujours  beaucoup  de>tempf'ifà  terre,  peut  êtré  
 .regardée5'comipe  "réellement  impossible' en’‘mer.  Dans  Ce  dernier  
 cas^lé mouvement  du vaisseatf'entretient  à  l’intérieurl^es "flacons  
 une  agitation  dont  la  conséquence nécessaire-est d ’en ÿepoùSser  les  
 couvercle^;  le  in'astic  qur doit les Assujettir,  se  trouy'e  privé'par-là  
 de  toute  adhésion, avec;  vëbrë,'long-temps  avant  qu’il  ait  acquis  
 assez  de  consistance  pour  résister àsCësAhoés; multipliés: ^ 
 % Malgré les-recherches que M,  Lesueùr  
 meme  le  silencè du  nianufcnf,  je  croîs  cÇe-  
 et moravons fâitè^dalfïs^Ies.papiers de-M. Pe -  
 iyoir.^dire, neanmoinW'qtte  M.  PÉRO'N'  s’est  
 iCOM|jÿl ne,noR|,a pas été^ossibleide ïfôÿÿer'  
 ^.presque toujours servi, uend^rmtr^vbyagek  
 la  totalitél’de'xe"meînoire, *abnt'' rPrnanque'  
 cocaux  en  verre  à  ïarge‘  ouverttije'et  de  
 huiF pages ^'Coffifme^ceritent.  l»a partiq'qtté  
 ?^|®eîses'''; diiS®àsibÉsi  Ees  visfcè^^fës,‘én  
 | ^.^donne  .iei,  et  qui  ,af  été Retirée* d’un  
 ,E^£eîaine:  P^fei^gce^ont, un  défaut  de 
 bï^uinoh'injtirihé,  ïn’a^pâru’tbuïefo is  ais’e/  
 t'ransparerfce  Fort  incommodé*;  les  vasèxqn-  
 importante pour la conseuer. Ce ipiïûnariqiTe*  
 Êors onîfdi#glu’s?I’inconvénient de laisser quelquefois* 
 au  début pàfeiPêtre  sur^foùlfréfatifau  chore  
  échapper la fiquepTWon Igur confie.  
 des  vases  d’knP!Ielqùérs'",doi’vsén>t*étre  plSdés  
 les  animaux»  Sàhs prétendre  réparer ici hio»- 
 ©epe^S^^Æ;est  mille,  circonstances  qui  
 peuvent' en  coSiâiMeru’tnîpIoi.  L. F.