
 
        
         
		4.60 
 Pag.s  Liga. 
 I3 9 j  14!;  l i e  M o li i e n , l i e  D u p le ix . . . . .   . ;   
 191 ,  24 ,  et qui èontcnott.7.\...... .s .. 4 
 205 ,  27,  Je Tieo.......^............... .  Al 
 .  dernière'; l i c o .  i^ / .  .  . . .   .  . 
 ^230,  12 ,  la  Recherche....................  .  .  .  .  . . 
 291 ,  27 ,T’istnme-.8râfny........ .... ”, -vy 
 3  12 ,  28 ,  décharnés.  . .   .  .  .  . . .   .  .  .  .  . 
 327,  29 ,  n’a’pas moins de 12 à  13 nîilies.A 
 ' 3 i’  petites Iles Cuvier: . 
 328 ,  17 ,  îles Jean I fa r l. . ........................f . . . 
 353  ,  22 ,  ia  surtact:.'•‘.y'.V.'îV.... .V!'. .T ; 
 3 58 ,  18 ”,  tfgfevert de vase. .*..... ; .. . 
 368 j  ,  par un petit; ruiSseauif1^ ..;. 
 ,k jj 27  V 
 370,  'F , -'toute la partie-Occidentale......... 
 380 r  ,12,  Vingt-cinu mffles............. 
 392,  j ,  l’une d’elles... .._... sjÇ;......... 
 401-3  15-,  37,000,ooo.de francs., . . . , . 
 422,  13  ,  huit ou dix. . . . . . .   .  .  i .. .. . 
 436,  1 ym u r ia té  de soude cristallisé, natif. ! 
 439 ,  PMRj > « Bientôt1 nous rencontrâmes une  
 ■  -»;petîtelîlfc basse,,’ entièrement  
 î: t3> formée dé galets ,sur laquelle  
 croissent quelques arbres Ian-  
 33 guissans. I c i, le bras droit de  
 33 la  rivière ( la   Grose )  n’étoit  
 33 plus qu’un filet d’eau ; l’autre  
 s>.(la N epean)  étoit seul, navl-  
 .  ; 33 gable : 33  ,  ' 
 44° 3  23 ,  de plus dé 100 milles . . . ..  .... 
 443.>  •  28 ,  muriate  de soude  cristallisé n a t if.. 
 lis e z ,:'lie ' Lavoisier ,  l i e   Condillac. 
 L 1 errata du premier voluniè substitue à ces mots :  
 et  qui  ne  confehoit  pas ;  i l   eût été exact  de  
 . mettre  et qui nôu:  parut «çontçnàwLV'-  
 lise? : 
 •lisez : '©à|p||i|"'/ 
 /lïëj-^l’Èsp'éÆn iff'” 
 list^x i ' risthme^iaùtt-y^ ignant sur I’île Bruny. _  
 dédfîites. 
 lisez ;  peut avoir £ cm qxnilleso > 
 'lisez :  latpente ileCayîer.  4  
 Ajfç   T  îles  RuBensf  
 lise? :> là -cnTOilférertôe. t, Vn  
 .ajoutez :  et  de  sel marin. *b  
 ajouter en pote Ace-ntTmt'10  otJes'.s^iv.ms  indi-  
 ,)  quent  sur  le  plan  de  la  \{JLç  de  Syd-  
 t  nty- (Jljhj 1.1,3  »ttl.  i-."' part. )  les  divers  
 objets dont  il s’agit.  
 tisfy ;  poinlfeî©jïfeït;§M5  
 " ln £   Toute da-pïüÆ'McrTÜKjnak. 
 lise%  t re iz e ,m ih ^ T X 
 lisez:  leur .ensemble.  
 lise z:  43,000,000  de francs.  
 lise^ :  j l   quinze.  
 lise? usâude'muriutée native."* ' '  
 l'sfz :  « Brchfôt  nous  rencontrâmes umfpetite  
 »♦ fcaifias  es   U u c   au  flu u t t .d c   
 •' -.y fdeux  nvTcres  ^latGreÂa-‘et 
 33 fetih j,, l a  sulistaou  dp k- utt,c î le   est  
 .  33 ëxclüsiyémenf-fdiîntée  de.„galet-s;  et  
 ~  » quelques  arbres  Ianguiss:ins  végè-  
 ,  33 tent  à peine à  sa siiÿffiÉ^Des.rawx 
 3> bra« qui  cernent  i’île ,  celui  du’ iM ;   
 30 étoit  seul  navigable  
 lisez  :  d e  près d é^ ^m ille i.  •  . 
 lisez, j   s o a d e jn u n a te en a t iy e .< 
 Avant  de- présenter ia rectification  des  fautes  qui sè‘rapportent  aux  oiÿçrvaltçns  
 dynamömétricpes dé PÉRON ,  je  dois  dire  un mót  de  ïa manière  dôilt  je suis  parvenu  
 h les  apercevoir. 
 M. Ransotïnet  ayant mesuré  la1 force  d’un grand nombre  de  mâtèlôts  du port 
 du Havre,  envoya  les  résultats. de  ses  expériences, à M.  le  docteur  KÉràudp.en.  
 Nous  fûmes  étonnés,  lorsque nous  les comparâmes à  ceux,de PÉron ,  de voir que  
 lu  force moyenne  rénale  indiquée  par M.  Ransonnet,  étoit  beaucoup' moindrp  
 que  celle qu’avoit  donnée PÉRON,  pour  les  peuples  de Timor,  par  exemple,  qu’il  
 représente  cependant comme beaucoup plus, foibles que les Européens *. 
 s  3 tant moi-même une des personnes citées  dans  les tableaux de PÉRON, je résolus  
 de  vérifier,  par une nouvelle épreuve, le degré d’exactitude de ces mêmes  tableaux ,  
 du moins  pour  ce  qui  me  concernoit.  M".5KÉrÀudren  voulut  bien,  à  cet  effet,  
 me  procurer le  dynamomètre de l’Ecole de médecine.  Je  trouvai  que ma  force  de  
 pression,  indiquée,  par  PÉRON,  à  71  kilogrammes,  étoit maintenant  de  76; ma  
 foree rénale , au-contfaire$qétëeql l ff myriagrammes, ne'se  trouvoit plus que de 21.  
 R  n’étoit-guère  probable  que,  ma  force manuelle  ayant  augmenté  d’une  manière  
 au  si sensible  ( ce  que je  devois  évidemment  à mon état  de  santé ),  celle des  reins  
 eut  diminué  de  près  d’un  tiers.  C’étoit  Ih  de  présumer  que  les 
 observations  rénales  rapportées.dans  le mémoire  de  PÉRON,  n’étoient  pas  exactes ;  
 ansis  jrouMjbfë.cltUeivt Wtc,vfût, cnttèVement  ,  il fiilfejiÿ'la. constater par de 
 3ïou\ c.uW'ifiiiïs.  M.  B a i l l y   mieri; fôurait®rc^^^^^^-Citêj d^lBme, moi  'sur'les  
 .^ab’fcai^'ide^PîÉÉ^èi'^  ipôj^^^bieé iu^ÙUei^e,,aune, quantité.presjçîe égale 
 'àî,cè|f§^ quk®^^mdiqnpe. ornais,  pqur  sajiforce, a'éqajê ,, 'beautgap- mojjis; et dans un  
 r^'ipni^ïà^ieu^^^èraal àit^q^^jjasbis. déjS'eJpérifhentôpqur 5moi-même. 
 &*R^e‘fub .dunE^rîntvé  •que'Sles» 'éxperiesfcéX^âales^de PÉron  étoierit  fàutiVes.  
 Mais quelle  avoit  été  la  source  de  cette  erreur î  Ne  pouvant  soupçonner  là’bonite  
 ^»S^dikmii,  fon^^^^^^Wîès>pMif(^pes'ausyiâ'e^jsTitôS requit à croire "que  
 le  dynamomètre  dont  il  s’étoit  servi  avoit  été.  faussé  à  son insu ,  lorsqu’un heureux  
 hasard  vint me mettre  sur  la voie, non-seulement de  reconnoître la cause de Ferreur  
 clünt JB.fagù, mais  cndg|e dSnJjier la quantité./^ 
 II  convient, de rappeler  ici que  ie dynamomètre de Régnier  porte deux  cadrans  
 concentriques :  les  degrés  du  premier,  relatifs  à  la  force  de  tirage,  indiquent  des  
 myriagrammes;  dans  le  second,  consacré  aux  expériences  de  pression,  les  degrés  
 indiquent des  kilogrammes.  Une  seule  aiguille  sert  d’indicateur  pour  l’un  et  pour 
 Je  m’aperçus,  après  avoir fait l’expérience  de ma force rénale,  que  Faiguille  qui  
 indiquoit,  sur  l’échelle de  tirage,  21  myriagrammes,  marquoit,  en  même  temps ,  
 3°>î  sur  l’échelle  de' pression  :  c’étoit  à-peu-près  ce  que  PÉron  avoit  indiqué,  
 mais plus fort d’un degré  seulement.  Or,  cette observation me prouvoit deux choses :  
 la  première,  que  PÉRON,  en  gisant  ses .expériences,  avoit  lu  les.’ résultats  de  la 
 t   M.  RAnsonnet  porte  la  forcé  moyenne  rénale  de  l’homme  à  14,3  myriagrammes,  tandis  que  
 PÉRON  indique  pour les  habitans  de Timor  tS,»s myriagrammes.