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borner nos recherches açtneiï& rnàfis^ leur histoire , bien, loin de
résôudre les difficultés que présenté- la constitution physique de
la N<pyelIe-HoiIande, ya les âcorojtrç.-'r"’;/
• Golfe Joséphine.. v
Des deux golfes dont il s agit, le, plus voisin de* bile De,èi«îSy, le
plu^ôriental et le moins étendu ? é|t\jcelui qpptpous a\fçfps\c'6îl-
sacré sous le nom djiÉnôtre-auguste Impératrpeq jjj|«KO.EFqspqnd, \ci$
le Sud, à l’île dont je viens.de pà®IejT;,dans 0 /§f\trouye le détfoit
de Lacépède, de yq milles, de lpngueurrç|wjg3n>r§p^une- fegeur» de
•i jim;2®.paiHes; et vers llÈst de celui-ci, le-détroit de_ l o n g
deqytdieues'mt làtge3 de 3 à 4- De'ôivages occidentaux du golfe s'p
composé tbute-la 'face orientale de la grande, presqu’îlerjCamba-
, cirés, ^tandis qu’à l’Est il forme la presquftle Fleurièu, donirnbus
avons déjà parlé/mais sur laquelle. il çopwent; de adonner ici
quelques nouveaux détails, Cette ipresqu'rfe'j^pmmè
ritalie/aTla figure d’une botte : le cap Md lien la fejpïing à l’Est f
se renfonçant alors vers le Nord,, elle présente:,*#?# jolie baie de
ro à 12, milles d’ouverture, sur une’.profondeur presque aussi
grande ; nous lavons nommée BaieéGreMt0g$\us* loin- - sont- les
petites îles Decaen' et le cap du mémo nom, qui formée-poTOainsi
dire, l’éperon de la botte ; le cap . Monralivet en estiieomjtpfede- talon.
Au mafeu du détroit é ë Colbert,. h une distance parçscpjeîég^idu
‘continent et de l’rle Decrès ,sfe trouvent'trois îlésrvtrèsipetitesJi
environnées de récifs, que nous avons appelées Êfefdet'l en
l’honneur du respectable officier de ce nom/à qui -lav.science
nautique est redevable- d’un ouvrage très-dstimé sur la manoeuvre
des vaisseaux. Le cap Dnphix/avance un peu plyis-dans- le détroit
que les îles Bourdet, et le.grand cap d ’Alentbert termine à l’Est la
presqu’île -Fleurieu, en formant comme le bout du pied de la
botte.
lénient lejgpjféjilpséphine : le cap Sévigné
iat'li&premief point remarquable* que .présente la, bote orientale
btlie Hwfften.se, ensuite à l’Est, se
termine ellfe^mêipaeià un- ^e^@^d||e>a|)', qujiigît par 3«° i.l± 'y et que
nous désignâmes ?S;0(®i|j||dom : de ^apiHceiitia la baie Vendôme est
lÉ M pFu. profonde y et ^ ^ « iu'vle bOrnééi'wféde, Nord par le cap
J,mfinè H acfetw ifetis fo in , enféontrouant à remonter la côte,orientale
du 1 golfeMdnlh ^ I c A i À ? © J yMinp Sjépîi'apvè', par
’QjBm)' i'ïç 'c fe Memours, par 35° 1 ', ;et<;léf,{èapfehafayeue, par 34°
4,5^-~JIFéj|tpàpcéttqt'dernière' hauteur que h \'femgi*apke{ àvloit été
èoÉsoraint, l’anneèpreilfdème,* de terminer sés-r'élèÿemens^ et qui!
iê^Ê^uafena ddvbj0f'1çômmeWer ,l€Si -sifensA -
A.ces A ptejfré**, dit M c mETilfy-ay ions-nous- dépassé la
yMpàihte ViMçwfej que- ||||® îîd diminuavÉëàncpup bientôt; nous ne
''^trjbn^âmês plus que deux '-|feâfssi!â$cette \qriâtion dans leïbras-
.îA/iàge me dorça à ^eoe>e*j|e^cap aupNtord, et peu d’instàns après
îSàui'Oujèst. T ou te la,portioh de ÆÔte ;qjie/àwts, ayions/niVue ésî
f-mbÿsse^Tmârécageu|mét, couverte de petits arbres ; une chaîne de
haufesfSofl 1 iidsd^e dajissôit apercèyoàç; dans l’intérieur du pays; et
»|àficHY) 11 V n u b lii h c r u > 1 a djrec'tibm du Nord aù. Sud. L ’approché,
||P u rivage étoit défendue par une multitude de bancs sous l’eau
î?,et h©Mude;J’éau, qui- formo;i^nt{]la^î|^^îturè;'fêrr. étendue : à
?3 6 milles detà©rrè', nous n’avions que deux brasses- d’eJau.- » ;
- 'Te|sp sont :fe‘"obstacles" qui nous, fàÿoî^nt 'arrëiqS'; dans notre
première campagne ; et ^ilffion- .se rappelle rriaintenant ces .nuits
ôplEures ' et orageusesipipendant lesquelles nous fumes’-réduits ,à
louvoyer au milieupdb ce même golfe^é^liin :grOs navire charge
de’ voilesVfon frémira sans, doute,desfpérll^.'auxquêl/^ôus avions
été livrés, et dont nous-étions bien loin de,^ôppçoïmer alorf
toute i’étendüê. - ,,'
Det la pointe? -^içtorile^ qui gît ^üàr jusqu’atl fond
d u golfe,:1a 'côte npm'résenfe que ‘trbis^points! qui soient un peu