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 rapport;  et  comme,  par  leur  immense  étendue,  elfes  pouyoiëilt  
 of&ir une  (exception  importante  à  l’universalité  de  l’antique  domination. 
   de  1 Océan,  les  géoiogistêsoeles  plus  éclairés  attendoient  
 avec  impatience  Iss  observations  nouvelles  dont  la  science  avoit  
 ÿW ^ t e tW n t ,  pour  remplir  cette  importante  lacune,  il  
 suffisoit,  en  quelque  sorte,  déborder  a  ces  rives'lointaines ;  e t  la  
 facilité des recherches de  ce genrem’ayant permis  de  les multiplier  
 dans  les-  divers  lieux  où  nous  séjournâmes; l ’intéressant problème  
 dont  il  s’agit me  paraît être  désormais  résolu.  En effet,  sur la terre  
 de Diénaen^sürplusieurs pointsde  la  Nouvelle-Hollande,  sur  le  
 somqiet  des montagnes  de  Timor;  j’ai  rencontré  par-tout  de « S   
 -  précieux débris,  irrécusables  témoins  des  revolutrôns de  la nature :  
 inâisiComme  il  serait trop  long, et sur-tout  trop  inutile,  dentier  
 dans  tous  les  détails  de  mes./observations  à  'c e f  égard,  il  -suffira  
 d’en  èxpose#ÎÇs  principaux  résultats. 
 A .  Coquilles pétrifiées.  '% 
 .  la  terré de Diéraen,  vers  le  fond  de la  rivière  du *NOrd, 
 ou 2 3 o mètres [6oo -ou yêm pieds] au-dessus du niVeaûùfe' la  
 mer,  j’ai  découvert  de  grosses masses dé fio  qui!lfe^éÈrS^ës|;|éHes  
 appartenoient  au  genre  Lime,  L am.,  et  c o n s titu a n t  ünïrHcVpècè  
 dont  je  n’ai  pu  retrouver,  aux  memes"lieux '/'lanàlogùS^îfant.  
 (  Tom.  I , pag. 
 Sur  divers  points1.de  la  côté  orientale  de ;fMl Maria,  "on  
 observe des bouches régulières, horizontales, à’xm'gfiscqqtiMlie/ JbM-  
 châtre, qui reposent  sur des roches granitiques, à plusdé'r jltflnè'tres  
 •  [4oo pieds] au-dessus du rtiveâù de  la mér.f^Fèih.  I,p a g ;  ‘ 
 $  file  D é c im a u x   îles  Joséphine,  et  sur  la  portion  du 
 continent  située  derrière,  cés  îles,  toujours des  observations  analogues, 
   toujours  des  coquilles pétrifiées,  à  des  distances  plus  dû  
 moins  grandes  vers  l’intérieur  des  terres,  et  à  dés  hauteurs  plus  
 ou moins 'considérables.  ( Tork-,  II , pag. fiH  et  raMHL 
 etMArNZ’iES en avôierit observé déjà dans le port  pi. | ur, n.® 6.  
 du Roi?Gjl|ç^g$:i|yA ncij'Voy.rtam.  I , 'gag.  et sur ce point,  en  
 effet,  jferi ai uep|iliüidivers-;échantillons,  II,  u j  ,1 3 4 .) 
 la t'erre d’Édels^;jé§dies. Lëufs-Napoléon  offrent  aussi  des  PLi * r ,n .° j.  
 couches  immenses  d^ÿà^uihés- pétrifié^^jt  le même  phénomène  
 ?Fr  f^poutinent  voisin,<^de  grandes  distances  du  
 rivage p ï l a  mer.  (üfyhL 
 yà-pU  é&IeEldeMjeime;  fÙ jM p e   d’Endracht,  desrifà  diyerçes»  rtite,«.».*,  
 qui  .fQUcqurënt;  à  i^rtner la baie pfes* Chjêhs-ma^ms^iet’ de  toute  la  
 pârt'ie  du ’ éqUrinent  que  ndupfa^ons  pu  Vifeher»  dans  cette  baie.  
 fifiFgip.  I , gap.  iiq , u t  et zô  f i l   f 
 7 ° D’un. a^ti#i||^év'.tout annonce, dans les archipels .de la terre  , Ptxto.a^j J  
 Jpajl^ht, -une  ^frigj^feqipblable  et-une  composition  analoguè^  6’  vi'vu‘  
 ï ;  chupï vii^iq'ml  II,  chap.  xx^CJtpassm: ) 1 5  
 ". (DetteÿêëBS'titut-ion1 est bien plus''évidëh|fe'encore à  Timor;  pi. jar, n.°a. 1  
 sur M sommét ^simontagnés delcètste îler gisent / à.même  
 6|fçmétrés {î fû fiie t  18èè pied^ÿaù-déss-us du niveau de la mer, 
 ..uiyr multitude.’;dp.c©quilles  pétrifiées Lequelqueliuftes  affectent  des  
 proport  ^airtesqùè&ÿ edleS* appartiennent  àuigbnre Hipfiope et 
 Ifïddcne de M.  d e ' Lamarck;  et m’ont paru tout-â^ait semblables ^   
 aux  tesfàbes  dâr merifes'espeoés.quph; tféu4b|»Vivans  sur  la  plage. 
 Parmi  o^MerMêres-cGOquilIéSgl'if enfejt'  qui /.-iÉtirs  fèl»‘rappprt  dé’ la  
 grandbtr,  ne^fe  cedenrgùere^anxrindividusdfôs’Md.s;* indépendam-  
 une  valve  de  Tridabne ‘que  pai v#^sérMir  d’auge ,à  
 cinq ©u six  cochons;il y en avoir une autre .îtotfc&ridés HoMandois*  
 dans .laquelle; fefeoidats  de  la  garnison- lavpiènt  habituellement  
 leur  linge,,comme  dans  un  large  baqüéî^La  côûleür  Manche,  1  
 commune aux Tridacnes vivant’es  -fô^'silés;établîMo'it de nouveaux  
 et Pffeïeux  rapports  entre. elte's%^,..oUne  anald^e îfeien plus frap-  
 p an te .»encore  se  retrouvéïfrefttrè  pl&fên^gi'ahlf^madrépores 'qui  
 vivent  dansVia  baie  qûfeiques-uns  de  fe’eux  qui 
 forment  le’s montâgné^Mfinc4ff:i;i|^