Mstrumens nécessaires s u r f i l e s du détroit j&B&ss,Ien%y-ir^sqTenc|
comme les autres, au port Jackson, vejid sçs marchandises,,dépose
son fret et jeçoit ses traites; repart ppüc’jps îles di* grand Océan;
va, avec le reste de son équipage, préparer .des,, salaisons ;rçytient au
port Jackson, Ies>y dépose, reçoit de nouvelles traites ; rentre dans
le détroit de Bass, reprend ses l^mmes> erpbarqueJ^<|| huiles. ehffdt
son retour directement en Europe, épse dirigeant à fËs4t. Dansi|;
cas où le chargement ne ,$e trouve pas entier, te. qui est rare, Je
navire touche au Brésil pour prendre divers, objets quksont d’up
produit assure en.Europe;' H s’arrête quelquefois J&adère^y
embarque des vins, et-ne rentre? dans aucun'cas;,|îén Angleterre
qu’avec une cargaison complète.
U est encore un commerce très - important, mais, qui np
peut avoir #eu qu-én temp4 4 e guerre aYe%i{Espagn^c’(^ ceJ,ui
qui se fait en interlope- sjij les gôtea du Chili, du Pérou gt du.
Mexique. Les armateurs d f la colonie qui yeulep4=’ sé*ji<pjsE f- Ce
genre de spéculation, sont assurés, d’un bénéfice^‘d’autant plus Considérable
, que n’étant pas obligés de ^enir-; directement derniers
d’Europe, îeûr& traversées sont beaucoup pins, courtes, et?quajnsi
ils ne peuvent craindre aucune concurrence étrangère.
Je ne dois pas négliger de parler du parti qu’on tire des* productions
minérales: jusqu’à présent la plus u tiJ^ ç^ tie charbon de
terre; les mines en sont si abondantes et le charbon quelles fournissent
est d’une si bonne qualité, que les Anglpis ont cru devoir les
décorer de ce même nom de New-Ca&tk., qui rappelle à Jour patrie
tant de richesses et de bienfaits. J’ai déjà dit qu’on en avok porté
quelques cargaisons au Bengale et au Cap de Bonne-Espérance,
ou elles avoient été vendues avec avantage; mais ce commerce est
susceptible d’un plus grand développement.
Je ne parlerai ni d’une espèce de pierre d’ambre qui paroît se
trouver assez abondammént dans la colonie, ni d’une terre à porcelaine
de "bonne ^üMte 'qùè.i’on.rencoritre aux environs de Sydney ;
;mMis'îjfetnh'f di>is,^)as ‘manquer de rapporter que le pays semble être
-fort riche* en mines de fer. Au reste, plusieurs circonstances se sont
’oppb^’é^flli'^jù’ici, aux ï#chéircfeés,,i3tëS autres métaux que le soi peut
imelèr. LôMqpfnèus partîmes'de la colonie, M.Te Gouverneur
atténdoir^'jhkîr«èM fèur ijfl minéralogistes instruits, qui dévoient
«Oêoupér d'é d^dÈj;eït"'1,,i
* a e viens d’ex^è'aélFCsu^ifwvèMent tout ce qui concerne fétat
administratif et Ipbmteéreiâl, |serf* intérieur ? *sôît extérieur*-;vdèfe
êôlmires arrgîoîsé$s>aüx Terres AustïÜéSh il me rfeÿê^ pour compléter
c ^ ( p ^ e g 'a fS b n - ‘organisation, à dire qtitfqués'motîs du système
financier t|u oiEya “rnis en'pratique’: 4
Totijours conséquent à.-s'on^prinéîpe* deTùppMe'ràu numéraire
pâf du pàprSr-monrioîe, le Gouvernement anglots a-su se’tfispéoser
d’êliwÿêr^M^èette COlonèe tout îe; numéraire -^qxi’il eût fallu pour
-faire faëL à!Sés dépensés. Indépèhdaùiment des billets de banque
et I&^àûtres monnoies naBonalëSed e p et genre," lé Gouverneur
chr port Jâéksdntrest atifôrîsé à payer .en billets pariiculiep la
soldé ’dêl^différeris' individus et lo.prix •dertoutfes le*fournitures
dont il a besoin. 'Cette monnoie^fait 1 æ$M$e ^e’slentiél 1 e dç toutes
tes transactions importantes de là-colonie. Lorsque Vjtiel qu’un se
proposé de^passer en Angleterre,- H rapporte au Gouverneur toys
-les bôrvs qu’il pûàsbdey et celui-ci lui donne en retour ^dês traites à
vue sur-le trésor public à Londres ; et ceS edèts Sont acquittés en
Angleterre - avec1 une telle exactitude, que personne ft’hésitéroit à
réaliser ainsi toutê safortuïÈel ’
Nous ;àVons,yu qüè leslcargaïsonS achetéespour la colonie étoient
payées de la même maniètei mais'-indépendamment de ceg traités
Suivie trésor public;' il est un autre moyen de retirer Tes; billets qiie