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 ëvéneihenÊ' ïr^.Iîîë'^^Xi,4  lûrriv#  M  ^bÉitëment,  plongeâ  to u f ’lp  
 môndê'£  a bord /'dhii&  une  cohstérnàtiotfkhfiicile  à  rôlidre- : non-  
 Itulement clîacun Voyoit ?eù M. BERNÎÉïbûn: Yipôhbmé savanlfet  
 iabowetix r  mits^emk fjui" S oient  véck  dans Ton intimité; rCgret-  
 toienf sùr-tout*tôn  Caractère plêÊif de  dôuceu'F^^de'iaodestie,pss  
 manières  aimabl es'èt,fôbIige«intOE:®fe 
 NâiSï!la 'RocIïelÉtWi 9  novembre1  PierrM»Fran(|Ôîs 
 Bérnier' devînt ,$ÉËI*$É^ûî#%éfcîe  an#,  i*élè VÉMtad’ami  d un habilè  
 àitrononièi M.  Dusîl'A-ChapellÈ' de  Mohtauban,^ui fui  inspira  
 le goûtrale l'astronomie  et  qui  lui  ën-cLonnà Ife^Ora^èië^jaaotioiisv  
 IFlVoit  àqjème "dix-sept  ans  qu’il  fît ^felMfeéi-vatiisnls digdésMiè't^e-  
 imprimée^',  et  que d’on  s’empressa, ■ ent?éflfet7  ^«mîs^rlM/dansiHà  
 Connaissaûce^des  temps.  rJÉRÆ)ME  L aland'E  1 attirà'^y^aris^Vdt  
 'sâbhântfd|uë:ïBÉRNiÉR'avoit  petédè  fortune, ;il dèrlogèa^vhm^fek  
 1É'‘:faïfournit,  a ^ c  mn désifltëfB&bïïïdnt  qui fait*‘à41a ^ p (d 'îé ^ l ''  
 -du maître  êr du  disciple,  touffe s moyens  de  perfedtionnWson  
 instruction. - Le y  août  1bail;  la WSimission  de  rin sP ^ t^T c lt* 4-  
 signa  pour  l’un  des vdeux  astronomes J dèstinéS^faii'e  f  expédition  
 aux T  erres*Australes,;. e t,  quoiqu'il n’e1ât.É’asram-éls'am#é^rè^K©b'qs4dà  
 il Accepta avec  empressement un  posifd .qût/ëxig^oit.»bfëaàPGdupr "de  
 zélé’et  d’assiduitépmais  qui  promettoit  à  ^observateur  un#simple  
 moisson  d^travaux  et  de  gloire.  Jë'ïie  dirai  point Tüut^cli  qu il-%  
 faiùpendânt, le cours- du  voyage,  tant1 pour  l’àstronotnie  que Apour  
 la géographie  et  la  physiqifèï^Ëtûl  rouvYage'.mélîiè' qà-’^tonnées  
 matériaux  ontyété  réunis^* qu’il  convient  dèVecourir  comïhe>ux  
 titrès’nombreüx  et  ihcontestabieè  que BERNiER^’est'.acquis'^àfl%s-  
 time .des  savans  et  à la retonnoissance  des  navigateurs.  Il  mourut  
 a vingt-trois  ànsYept mois  et  dix-sépt - jours ;  n’étant  encore1',  il  est 
 iiÆ yoïiï fdjrSo, M | 
 4  Voyage de.Découvertes aux Terres Australes, &c.  Navigation  et Géographie.  Un vol.  
 ïn-^.c,  asrecAtn^^âoer*gr&(P<?oï&nbiSri'"Paris*,'  iSFj^ 
 vrai, q#a l'a ‘ffeür'de 1 age,  mais ddul© d’ùnèYaisÉiï’dé)à*mûre,  d’un  
 % »  bfflSL- fB&tbiTiane  stngulî^é  habii'èteé  dans  la,  pratique  
 aé'M:aI'OT,l^fô^tt6bséw/atibns.; Son  corpse fut abandonné aux  flots  
 'pà!r  'dt■  îa^t^dè/ïâusiral-^^^ iddSË'Ol; d e 1 longitude  à  l’Est 
 du^éïidièn^He  Paf^ti|ftYî'  L'  | 
 - Y'Nfdfes  -co'nt'ittdâm'es^àr û itë i'rqkt'é faü  Sùd 'pendant  les  journées  
 feüivàriàtèsd fé 8juin, ents<:'s’ëtant un.pëdffiÛléê versd’Ouesf, nous  
 pdiir  n®b^bafahfeei;i;1fl&sI ^direction  opposée |  èt  
 j|agnêiff|e  j\oiil§soùi^b^^é^fe^©tMrirfencser .hosi'opéfàtion^géogl^  
 pki^ëi^lP'ô'û^Mip oesÉÉÉ^yo.;Ji||<^uïrS,@ir,; dsWbanes'fd es  Holqjhu^  
 ri^^maiS'-nboectKélù'Tr^®®^  âneflane 2ë@nhdissâni£eà,iinbn'  plus-  que  
 fpCte rfd^qui  les  avoisinent,  leiCèiflmand^^^^^bulâht  pa&s’enA  
 <ga gcr* dào^fdç * ‘pwâ^Sf.dàn^oeèÊlg^iqui  auroitent  indubitablement  
 fptgEçl é^b ôaüocfepj ’sa* maadhe.^ 
 ^Parvenu-de-1 2  à  de Jatkuÿesrèb e 24& !  ;1 °n gitudé, 
 il  G£ ‘dm;glër "direciènïentitf^^iàoëpte ;  que  nMil vigies.laperçureng  
 feén&ôt'dë  llï^itjà^nous.  La foibMssdÉe-x-ijféme  de  la briseme nous  
 permit-,<pàs \ toifefbi«î^ph%commendef  l’éypi'oiatÏQS®  ayant  cinq  
 Lenfes 'du%birf#t: ai«ix>defl©tlnae 'Obligeai de laissentomber  l’ancre. 
 i La' partie ■ diü’ '■ continent ■ qudmaùàlâvèè.ns^èii'“ ivfue-, ^înou-s,, restok  
 alopsà^deux 'heu^^^/|lsiân645i«:|son  a’spçoL  triste',■  sa  hauteur 
 -moyehn^ieb^es!  contours' uniformes;  le3|pl,  peu boisé*  et  coupé à  
 pic pr^’du rivage,  t  à l’intérieur!quelqües arbres 
 haute  futaie  qui annoncent moins  de  stérilité  et  de  sécheresse ;  
 mais nulle  part  nous  n’avons  aperçu  un  lieu  propre :au  débarque-  
 ment.  On  nomma <t€ap  Ruihière  pointé  fa  plus  rapprochée -de  
 notre mouillage,  et  Iles Lemeur 'deux  petites  îles  basses  et -sablonneuses  
 gisant  à  quelque  distance  dans  l’Ouest. 
 De  ce  point,  ja:,côtë:se;développe  au  S. E  ,  àpeu-piès  en  ligne  
 directe  jusqu’au  cap Dusséjour.  Il  nous  fut  impossible  de  la prolonger, 
   le^'vèÀts  dedâ‘kiéfesonfîiégiîanilS^sBftrouvarit  toutsAfait  contraires  
 à  la  route  que  nous  eussions  dû-suivre  pour  cela.  Nous