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 tout  au-ibtïd  des, eaux ,^ .m ê j^ ^ ïq ^ p j|Û « « iin te im . la ^ c h in »   
 dans,=ia»'situation  la jplu&:f}.erpeiidieulaire4p os| fti^ p 
 Tel.  est  'l’appareil*simple,  peu,’dispendieux,  ettsür^tout  dun  
 pipptpl  fàci le ,  que  j’imaginai  po&r  mesurer  lardfep^érature  d e   
 la,  mqry  à.  diverses:  ? profondeurs  ;et  •^oîis.tdey»olatitu<ie'> 'idiHx  
 rentes:  Malheureusemeiît,  dans  mes  premiers idessàis§^|^t3non  
 infortûnéîrcoliègue  ,  ayefômoniàï|itérëSSâiiti  arni ■ M- îiBsPtpïaî,  la  
 difficulté  de  faire' construire  à -fiord- le  cylindre  métallique *  nous  
 força/ide  nous.. fi orner  à  l’étui  de  veftey'au  charbon if’krd^étüi’ ’ de  
 boisi-Cette  dernière  disposition  Cependant  ne  laissa pas «de^poûs  
 donner  lesGCqpaltats  .précieux  que -je  vais.  expOsfer ,ummtraitant  
 successivement  de  la  température  de  fa mer; -a ; diverse® profon-  
 deuBS^iso-it jleiong  des, côteTiet  -dans feiyorsinage îdeskcontintJpS',  
 soit  en  pleine  mer  et; loin  de  toute  grande'»terre. 
 ^ E tT IO N ^ T R O f ^ lÉM E . 
 Tcfhj'érature  de  la Mer  à diikriei^projOndeurspffiaksTCotjis. 
 ,  Les  expérienô^dde Ma^sigli  : |dje^^ ^ k Ë “setrp  miennes:,  
 fur  la  température  ,de§,^apx  de  la meg  à  divgpM^P^Fo^^gj^   
 le  long aes  côtes,  présentent  d’abord  nnq^Æffgÿeiic^M^gipnde ,  
 Tans  les'  résultats,  avec^ceux  qui  ont ^ é 'pb^nuspar  ti^i.y.les  
 autres,  observateur^ ,;,sur  cet  objet ^  loin^||ÈSj pontpîeng, «et. .d,^ 
 aM. PÉRON ,"aepjîis'|OTiHetauï eu France!  
 fit’ exécuter par a» dfe nbs’pftis habile? artistes;  
 l’étui en. cuivre qui vient, ffiêtre décrit. -Mais  
 ayant voulu  se  servir  de  cet appareil  pour  
 faire  à  Nice  dé  nouvelles  expériences,  il  
 éprouva une difficulté .presque insurmontable  
 à  l’ouvrir et à le fermer; pour pafvwr nlus  
 facilement  â cê'büt,  cin fut obligé dé’ pratiquer  
 au couvercle,  un  trou  d’environ deux; 
 Jjgnes  de  .diamètre  prome  à  donner  ipüe  à  
 ¥arrV’ tme; vis  ensuité!*b cru choit *Eétre\ouyèr-  
 turê;  cependant cë ne fut jamais avec  assez  
 de précision,  pour ®ieU.’eàtt’né  pérîétrâtfiàs 
 dânsPinstr{ffiiëfîr6arWs'int'érsiic«Tnevi&MesïMéeaùismeJ  
 *;  ' 
 l En conservant l’appareil  ingénieux de PÉRON, 
   il fandroit imaginer un moyen plus commode  
 ppujrfènner l’éaitiîe^^fé'étf cfli^®. fcF. 
 TERRES  ïAUSTRALE S.  351 
 ^ g r a n d e s ' dfstmcti®it^quc:sj'’établist  ici  me  paroît  non-  
 ^ u - lem è »  ü t f   mais ■ enéirfejtouf - à  Fait  indispensable.  En  effet ,  
 %te de ^ ^ ^ i& ^ S !^ » c |o u B e£ £ t,  le Iha^iSfesfoivages,  à  élevér  la  
 tèi^pératul;e  ! f-La proxïmîté.’des  teirre.s ; 'dont  la  chaleur 
 moyàn®|e=, vd’apBè'SdBs^bçll'esitc^Dériéncé^ dei Raymond , „est  cinq  
 Tofsî/i^li®fènféh^^fqu*e •.  'délié  ïdh^JMotsfi?M^prüfondeur  du  lit  
 -desoisers;  beaucoup:*,mcâès nednudésifbib ;  lanobheentration  plus  
 ^add^îd&lc^Ms-Ærilkkfeili'ÿd’exigfbripé.idéspcoluïpffiô',,  qui  rdoi-  
 iiftis^fèshtlctïs  l^éabMfe’s« lés,plus  profonds  
 rfe^fêôcéân ; 5 e&afîâd l’énbrnfe»' 'quantir§ 1 dlétrés  Organisés ;ïso>it  végétaux^ 
  1 scéit •f.mib’érâüxrqui  t^M|-n.tu|è^fond  etsïqur  paklsstenüqbuif' 
  d’pdé/tèlÉj^iiia^ure ;sl^5éltfeûre'ià  cflife'itiu  fond  qu’ils  
 hahifeiSt ^putqferoît  céniedlrir» à <ddnfeÉr-une' jbioîp'ôr.tiori plus forte  
 dectempéûtàturfe u b 1 fond &StMèrsde-dbn?gïdëili^s^%ue  loin »des  
 terres?;* xouteshcho'ses-d d’ailléaoes.fsmpposs0es;'TégÆlesr. » Aùksi, jj dans,la  
 MéditérranéCùÿîiSiAJjbsME,  etrMÀïiS|GO,  DoNAiTrojcfans  'le  golfe  
 «AichfetiqUe^Ôt' moÎTiïteme «d-ahsdosiïhérd >qui  bkignêlit * la Tcôte  OcK  
 cideptal&lîdb'isfïNduveHè^Hollandêr;ï a^pafenous ^ùshobtenb«pour  
 fé'spirajt;  oui bien .unq^mm'pérâtuÈe supériebré1  à;»cell'dideTa  surface  
 et! de  fakmosphère  où  bieip.paae 1 ■ chaleur  égaie  au  moins  à  la  
 température moyenne, ?du» epotre  du;  la.,terr,e.:. Il  faudroit  bien  se  
 garder d’m  conclure, ainsique  i’out fait» quelques physiciens!, que la  
 température moyenne ■' du fond t^^mhrsoes t la asnen^e que icelle  de  
 Interne a une  certaine  profondeur.* »Marsîgo  l’a  vue ts’çlever qusr  
 qu’à H- a 7^|sjie l’ai trouvée moi-meme  ôiÿYoilà- donc  des 
 résuhitts:-^ p/ér~qui  tendentïà'repobèsérrdéja  cétte  i.déé,:èt  bientôt  
 no™ allons  en  voir  en.;moià  deppldS rfdéc|siE  encore.  "Aussi  île 1  
 Mèéété îïS^.ü.siiME  ,  malgrè 'jsesiipropres » .résultats,  '»qui  ;sembloient  
 dhvoir  le ; coniiimer ' datn-S  ioette  idée,  laScoambat-iLhii-même  de  fa  
 manièrei  fa  plus  victôrf'enæ'': ^MAsisfGüf^iSdttrouva  pareillement  
 fpreé, par;sé^(‘expériçn.^bs 'fer  les  ‘zoo^hytes'et i sur  les  poissons ,> à  
 reconnoîtib  fînexactitudq.de  la éons'équèncebqu’i l avoit cru d’abord 
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