des jeunes filles a pq fixer son choix, il éô. fait^part.îfux directrices;;
et cellés 4 ciX après ^’être- assurée sr.des qualités- morales du .sujet,
consultent à son égard le goût partieulièr» de la jeun^personné,
qui peut: le refuser ou l’agréer.“ Dans eq‘ dernier .câs, les parfe'fas,
«sLelle en a ; sont invités à-juie espèce.-..de conférenced©ùd’"oh! di&-
;C;ute!: les Avantages ou les* inconvéniens de l’alliandtëjî proposée!.
.S’ils y donnent: leur adhésion?-, le mariage ‘ne tarde pas à se .faire;,
et nous allons, retrouver ici; une preuve remarquable de la s&gessê
et de la bienfaisance qui caractérisent toutèè as^Vinstitutions* trop
long-temps méconnues ou méprfeées en Europe,-
Aptésiavoir multiplié lesisacfifîc^piaurj^ducatidn^e^saîïîiables
enfans, le Gouvernement se donné bien dé?garde.de.les abandonner
sâu" moment qui va décider de jeur sort,futur ; c’est alors, au contraire,
qu’il fait éclater sa générosité la.plus grande.* Chacune dé ces
filles, au moment de se marier, reçoitomddpt? quf consiste en des
cpncessions importantes ,' auxquelles'sont" attachés des trohpeaifx
e t dea esclaves; pour garantir,t.en quelque sorte., >.cettè ’donation
solennelle^ l’épouse du Gouverneur.et celle du-Lieutenant- goui
arerneuc signent le contrat de mariage, et c’est ainsi qu’en établissant
leurs jeunes élèves, elles restent encore leurs protectrice!:çt. leurs
amies.
; Mais ce seroit en vain quele Gouvernement angîpxs-feroit. d aussi
grands efforts, pour: substituer dpssfamilles honnêtes jyia-population
infâme et corrompue qu’il fut obligé de porter d’abord à la'ÎNOuvelle^
Hollande ,, si lés préjugés établis ; ccfeitre l#l‘;çojoniepouvoient se
maintenir en Angleterre et dans iç reste de-l’Europe. Sans doute
il pouvait s’en .remettre au temps pour faire justice de .préventions
; aussi funestes, et l’exemple de’ses col oniestf Amérique auroit pu lui
prouver qué Ces sortes de prévenions s efiàcent rapidement.
Mais je Gouvernement anglois a pris, pour parvenir à;cé but ,
des moyens non moins'sûrs et beaucoup plus efficaces. Purger la
population actuelle de tout ce quelle* de plus impur et de plus
ifiER^S ,AUSTRALES.: fa n
%bj éç t , i agcrcgtr e ? chaque ' j quî£> par dqs;colons de moeurs honnêtes :
qu if a mis;en ppgéi^epuis quelques années, et
ay^epi&'tel*sÉic^sqti’ilane paroît hnpQssible .queues préjugé# établis
contrej/jq; colonie du- port JaçÿsM^e^putiénne-nt epcore pendant
yingt an^ÿèipLce cpf if pour a tte jq d r^ ^ u t, A mesure qu’il
\%eut fopd^.ünr établissement - sur' un;nouveau pointa, ce sont Jes
hortimes^de;,p Jusmaüvaisdmjoefqs, ce. spnt les tfonvîctsjes, plus cri-
mine|| ^q'uÿlon pjnpl^éÀlfaireÿSi'prernijeK dgjfricjieïnens ; ce. sont
p x qui soht;tfhaf%és,dps|.traVauxJep"plus,pénibles, et souvent ils y
succombent.Dautres.famiJles moins; perverties -jouissent bientôt du
frtuit de ûe|travail] qui~pe pouvoi^être' achetéï-que pâr Je sacrifice de
quelques individus.; et sans doute i i vaut-mieux que cè soient ces.
^.-LeSi Angiôîsïîint Ifonoï ifn itfiffl» semant
aJ>,pOy1,Hü,nter M.BU IU^S
\ ta fin-dèda meme annee, il 5nl*envo^é
cl’LujT[ï|ÏL une ddrouie an Vanal lXmtrtcash
n am , a ruttfcmite-Sinise h terre- dt LîiS*
* méff^Istiÿ^^^gSae^la 'yitfe-*âe* H o b a r t
by q f a
' S < $ 4 , le coBgnel
pÂÎ*ERsifh partit d^^M|y;poè^aIIerrétà-
blfnuife ct^prri^idàns Jte ÿort’D'alïyiiïjIfè, a-u
la t D iém en L a ‘‘ptégjÿM®1
v 1 Jf.'cjiri-'pr-Ltïî^TïS^^»Rn'î9de.' 'y0^ i1
T fl f t n |tse|le> Je.’LaùncesÀ%n£$üi deî^j^Sfen^1.
Ia^capna|ei!(dg£d&j6yta|épâu.e b dnpd tmjïs-.
Ë B f f i y?}-: F v oyaeÀ. to Te rçàf
Austraifs-*, taiA. ~I^ êag..c lx iû f a ^% M J
établissement |Lp]us injéïessajnt, 'et
%'fij?15 lIîl^0,'îa5f sous^)us?Fes; rapporté dest1
#Ç}^W<füj,A'atrcaijîm%icé 'en i 8 i j dans'l’Q:
des m^ntagnesÇBki|es. 'Âpkl|,,âês peintes
1 IÇ^ICS> Uf AngloÆ^ogf enfin j.arve'nut-a
franchir cette barîine Jamense (ffr paim-^reSl
inac(.ds;!jle.^.q,?oI au-delà , .dit 1 ^ ( ,o m p «
jneur JyfAéQU^BtE M h s'a foefatwn
•îouvertes faiîlSuà'IfO-uest ^ïi%okihgfif r ZÎ/^/Kîj^
% ,& P e rare tfeMa.üîé,’ ^jën arroséj'feiîe .en
P t^ t^ ^ ÿV jîa s o a r s '/ ç y^ iis^ ç ij^ oie* et
» pfna'rdsL-pigeom, % - e |
t a as
^ ^ o i r w/ i tT
sw r îsé i tq^^ ad encp
J lP ^ «,f l 1 n
gflur/ëtwftiÂ
K ^ e , p a . . . r j ^ P e * à W . '
» 'q i3 r.rên ë p . v-teMpAMaf t
^^rte.^t|itKde.mdandpiieii|^rUst >pfH* .fâ-
. » ferttie
■^’une/ ^îAis
am ÿ ^ n t .^ 'le ^ e f lc y dé Ja p0-
que,sur%mpbirfééfëvé/dp^tf<lbâtie |
^ X ^ ^ | a T A 3°r<2^ 3 o'f'(fe }$-,
j'on
I Esje.de qaçiy.XVoye? 4?emo&e$fuJMuseu7h
t ’> hL. $ ' *