
 
        
         
		Plu 6h, n.c 
 ‘  PI. I tis,n.°  
 PI. I;  - 
 PL 1ter, n.° 
 Pf. I ter, n.1  
 pl. IV. 
 PI. I Us, n.° 
 pi. JCXIV. 
 PI. M, VII. 
 •  Malgré  toutes  ces  analogies,  la  solution  du  problème  dont  il  
 est  question  së'complique  de  tant  d’éjémens  délicats,  elle  est>d’un  
 intérêt  si  particulier  pour ,les  diverses  branches  de  l’histoire  naturelle, 
   que  je  n’oserois  garantir  l’identité  des espèces dont .je  parle,  
 quelque probable,  d ’ailleurs,  que  cette  identité me paraisse.  Dan#  tons  
 les  cas*,  il  Convient  de  signaler'Timor,  comme  un  des  endroits  
 du  globe  les  plus  favorables  aux  recherches  de  ce  genre. 
 B.  Des Incrustations  singulières  quon  observe .sur  divers polars de  la  
 ..  Nouvelle-Hollande. 
 D e   tous  i f  s  phénomènes  géologiques  particuliers  à,  ce  grand  
 continent,  il n en-est  point de  plus  étonnant, peut-être,  què  celui  
 dont nous  allons  traiter  dans. cet.artiçlçjw  
 .9.  C ’est  à  i’île Dec-rès, .en  remontant  du  Sud vers  le.jt’N o r d q u ’on  
 observé,  pour  la  première  fois,'ces  incrustations  extraordinaires.  
 (Tom .’ I I , pag, 7 j- )m  Hj 
 h.  ;  Qnjes trouve  aux  îles  Joséphine  et  sur la portion du  continent  
 qui  leur  est  opposée.  (Tom.  II , page, u tf.J   ' 
 Dapsla baie dcTÉspêrance  terre  de Nuyts,Jles „compagnons  
 de  1 amiral D eMtregasteaux  furent  saisis  d’étonnement^à'  là*.vite  
 d’un pareil  phénomène.  (Bul. pHil.  Éloge de  Rich e , par  'GijvierÀ   
 3-  .  Quelques  incrustations de  ce genre-existent à la tërrejde Leuwin,  
 particulièrement  sur>ies  bords  de  la  rivière  V ls je S . ’ 
 5;  /  Elles,  reparaissent  à  la  terre  d’Édels  avec-dés  çaraçtjjèifsamon  
 moins  imposans  que; sur les  rivages  de  l’île  Deere# et  dans  la  baie  
 de  l’Espérance.  (Tom.  I,p a g .  1 7 ) . )   ", 
 ?Ä ,,'  On  les  trouve) à  la  terre, d!Endrâcht,  sur  les  îles-diverses  et^sur  
 la portion  du  continent  qui forme  le. vaste  côntoùr  de  la  baie Mes  
 Chieris-marins.  ( Togi.<I, pag.  iio   et  stop.  )  ' 
 :  Enfin,  tout annonce  que" les  côtes .sauvages de  la  terre  de Witt  
 ne  leur, sont  pas  étrangères.’ (Tom ,  l ,   çhap.  v il ; tom- U , cHl XXXI,  
 passim.) 
 Ainsi, 
 Aipsi,  dans  un  espaçprde  .2y..degrés  en  latitude,-sur  une  étendue  
 pareille  en  Ipngi#p^e^Çeûsingulier,phénomène  ;se  reproduit  
 au  fiud,  à  l’Qnp§t e t  am.N,-0>.. de  la  ISjôJvelIe-HoIiande. 
 î^^i^PWSïations.remarquables^ne  spni^pas bornées aux  rivages  
 on  en  retrouve  dans  rintéri#uÆé^es.ueri^iàjides  .distances  plu#  
 gï#4p.oins, .grandes ,  à  des  h a u t e s  q»lu#^o;u  moins,  con sidé ra i#  
 au-dessus  du  niveàjijdfi  »fiQcgan^fliè^pe  {s’f^e,tQ§nt  ;pas >seüie-  
 ment; sur  les 'galet?  ou. ;stirjïlê^ diveigj^prpductjqns  tfiarines^elles  
 attaquent  les,.feuilles Mfc^fruits ,^|f^branchfÊ. et  »le#, racines  des  
 Végétaux,  les ossemens.des  quadrupèdes^epjusquad^rsexcrémensi,  
 fes^arfirisseaux,  les, grands  arbres .fflême’-.bne.-sauro jenh toujours  s’en  
 défendre,, vet  les^rp^êSçflipmbreüîx’' qu’on v^oit jnerult'é^ansj.jJfvj.soI  
 annoncent  évidemment  qpejgeÿie  ôp.ératilpîida la nature, remonte*  
 à  une  des  plus,,anciennes  épp^ue^de ^ ç jn ^ is t^ ^ i^ ,.  A   ja  vue  
 de  telles  métamorphoses>  on Aeroit-tenté  dq cpaijrf*^ec  le  malheureux  
 qu’un nquveapRfr§|^r^mepada, te te de Méduse 
 su^fesriointains iri^ag^1.^,: 
 ,^%Queiqûe vai4ég* quelque .imposans  que  cespfiénpînèpespuissent,  
 être,  ils  meparq^sent  cependantypopm p^ e  rapp.orkr,ltqu||à  ht  
 mqTnejGapsq^t  esj|ap§s  impie qu’énergique  : Iqû'ijlfëïù 
 leisiprombje^ CfiquiHagês iqur pullulent <dajtb.'ce.^îm'cia^£eicu/s  par  
 misons ^ n ia  grève , fournis  à la double influe^e.-d’un *s4& i l tardent  
 ej^duné  humiditépénétrant^ne  .tardentpâs^à^ul^^^  
 dedécomposition  chimique  dans  leur-  s-ikb.startre.  F.n  perdapt  une  
 portion  plus  ou moins  considérable idedei^aoide  carbonique,  fis 
 '*  «  Apie  atoir  cotoye  quelm^. temps  la  
 mer,  je  rencontrai  cet  amas  de <bôij  pttnfie.  
 .dofrLjUdoniie la description  dans.mçs.obsgr-  
 vations minéralogiques ;  une vallee’enfonêéc  
 tntre  de  dunes'de  -able,  était  couverte, de  
 trônes  d’arbres  -calcaires.,  (jâssés  ’vers  leurs,  
 racine,  etdonl les  (toheons debout, ne _s’ele-'  
 vale$| pas  à  plds’d’iîn* pied  de®|tllï|R  Au:'  
 niveau  du  tfrrâin,  on  distinguait les^noeudsÿ 
 tome   h . 
 les touche  fignétssè  et  tôWft'ÇîmTrcT accï-’  
 den^ durables dt. la végétation, qiselq'jtsttigô^  
 avatcntrpris  d’un f  1 titelndrjmàre., ,  ,<Cetfe  
 forci  d£tiuirelTg3jm3it 'tome  la  vallée  jj»e£  
 «fcniblait  se  prolonger«sufles^dunes  ‘.Les  m-  
 oiensfcauraienjfr tertr j^oiîndure.Ies  tracta, du  
 Regard de  jalGoVgo-n'e  fcr un  
 fertile.  «*(il\fciîiV;4Vo’yS^e*'Di_nikecA*"-. 
 Y