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 Jgeuses leO couvertes« de  Bois*;  il  s'erVoit àiissr^^ëtriïire  lés  -mo,us~  
 tiques, qui,attirées'par-fécial  de'la flamme^ venaient*s’y précipiter  
 ■ par  rayriâ^ék  *' 
 ,Lës  vieillards,  rangés autour  du  foyer,  sembioient présider  a la  
 fête. BientètlesHaissesÆommeneèreikau sonde quelquesipstmimens  
 simples dt particuliers àî ces régions;, qu accompagnoit le chant-même  
 dès danseurs ;  leur  vpixtjuste ,e t   gradueè  sans  art r-f  exeoffoit^dél  
 morceaux pleins d’harmonie*, quoique d uneEaoture■ un peu«sauvage.  
 « Nous  admirions  avec  quelle  énergie  ces ., insulaires, .e^primoiepit  
 le caractère  de chacune de leurs danses ; les femmes, sur-to,ut, modif  
 fîoient  avec beaucoup de grâces les airs  qui indiquoient  le  change*  
 ment, defvjîgures^ propres à  émouvoir les diverses-,  
 peindre.  Ce'tableau  piquant  et  animé  le  devint.encore, davantage  
 dans  léS  pantomimes  guerrières, ' auxquelles.  Ie^pstum%^u^§^  
 prêfoit  infiniment.  L ’obscurité  profonde  qui  r-egnajp autour de  
 nous-,  donnoit  à  ce  spectacle  quelque^pfiq-m^lç^férog^^^lljiout  
 après  un  chant  triste  et sourd,,assez comparableun^ûgïâsq^uf;  
 Eés  Malais  sur  deux  rangs,  pressés  /Eéa-uns.contre.je^uixes;,  un  
 peu  courbés- et  représentant  des hommes,  qui  vont  
 d é f i ennemi  pour  tâcher  de  le  surprendre^  levant  
 posant doucement, marchoient accompagnes  çhan^.j,^0^br,@. 
 .Tout-à-coup,  et comme  s’ils  eussent  atteint  leur.s,eppeinis,  ïlsys^  
 lançoient*  qn  poussant  des  cr^  perçâns,  tellement  pgplop^||^'  
 confus,  qu’il  étoit  difficilp.de  ne  pâs  en 
 reprenoient  un  air,.calme,  évoluoient  de  diverjes^ manièresy,, et  
 recommençorent^lés manoeuvres  qu’ils ^voient  dpjà^  feftes, >jus,qüà  
 ce  que  le  besoin  dü  repos .fb  fit ^entir*; Wfà 
 tôetté  leté  àgréabîe  se/-continua  fort  ayant  dans  la  nuit  et.  ne  
 lafésa  à  nos  voyageurs  que  quelques  instanrs  pour  se  délasser  des  
 fatigues  du  jour  etIse  disposer  au  trajêt  qu'ils  «.voient  à.faire. 
 *  Journal  4c  M.  Péron. 
 |ÉsBé'r  d^^|s;*graîidïmatin  n.as,amis  commencèrent  leurs 
 ptébaràto^dj^déipart.  A   6h,  ils  prirent  congé  du  Raja €f9£É|j mirent  
 en  r(yitt|ë)pp|yliÆ^ist]|g^g*j ®|4»®pug|iiés^ésl’aimable Ç anAga  et. de.  
 pIuïi©u'ls|ÿpers'©nrK^s id‘^|^,|siùite^|; qui  y^lnrent  les  reconduire  à  
 q 11alqiiatedfctancei1:ÉlytÈb/augna©nIAwhydn A© impagnie  ajoixta  beau-  
 à M.'igàjieyé; iu^@lî^|^^i^deheyay.dfeï|^iî.de§js^épouillesiLdu  
 crocodile, î<k%&it ? p,qh||!j!jj!j^  le ctenoit  çomme.. en 
 lesse,  mais  au  bout  d’une  corde  de  yo  à  60  pieds  de  longueur,  
 gÉint ril  a-VOit  peur^dg^a ^ ouil 1 en .TousMls'ATa»!ars que Jlqnden contra  
 ^fcïwquteyp^iéàTuSfpar le^erjs. Glàyceux ^ÿe^corte ,fS^|fiu,y0ient  
 |à^^pr,éclpiîati©n-  boi^| afin  d e , pa%e|yi& ÉÉ pluS|,grande 
 #]ji<dan t t'^plass i lxl tv d , e » . c j ï j i Ù f-putat^e'. -.Lia. fille.' du R^jai s-’à muk  
 sort',b©au.céppïdêî la frayeur?, d4p:,&§>> p aitvr^}g4n,?|^,ptd ewp? fuit e pré#  
 ;pàgh^f#iâii-fo^|pit  matière, «àib©au,4©up  depraisanfep^i^  
 f:iâArrivée,'aurî.les  f iprdfede^la*:en- ibi r,  C a n a p é  .snfrÆsposa  
 à  quitter nos^ amis ;  ceux7ci  lui  firent  de p^tfigcade^iç, qu’elle^ejf.ut  
 ^VéeqMasKfilr elle,me- put  ieurq^E^$p|eil8ppime.pr^Vîe.|d^sa;A^eQn-t  
 ndtesancÂ'n.qjurîlBIrpanier^àA^feMsent  habituellemento 
 Ap’rèsdeùr avoir  faièfSÉCadtêfixkelfe, partit au grand^galop, ave© sa  
 ïs«ite!,  et *disparm»-!)jeficâtocommet un  traita, 
 t^No^VQyàgouï^^msuiviren’t  leur route^ÿepâssantyi. à  très - peu'  
 près,poedfe^tn^mj^jchemins;quifikavpièm3syïïvrk d’abord,  et-.arri-  
 yèfént. à'  Coupang  au  milieu  d u v j o j i r y f a t i g u e   et  dè>  
 'chaleur. 
 . Malgré"  toutes  les* précautions  .qu’ils^avoien^ipyises-v la, :peâu  du  
 croçodîlekavoitt subi  un  commèîicemenéiîde putréfaction«,  qui  em-  
 pêefiaî absolument  de : là.iéonsertyen ;  il ..fallut  la  jêterj à. la-, mer r ce-  
 qui  catiSa-un  vifi?regpet!:àoeeüx; qüi- en  avaient  faifrsla  epnquêt©  
 au  prixidê1, tant ’de'.pem'efô  et  de ^arige^Æe* !squelfeîité-‘de  l’animal  
 fut  donc  pour  eux* le..seul  huit de  l’^péditian/i §é|ih  venoienr d©  
 faire ;  ils  s’empteâsèEea^’en  nettoiyeiides: divài;ses‘ parères ,ej;  de  lesl  
 envoyer à bord.  Transporté .déduis  en  Fràhee,  il  serstroiive main