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 ièndie  l'effet...  ' 
 -  MM.- Péron  et Lesueur ■ dês^pffdfrenr?dLefllle  Raja  aîïqüfeî  ils  
 étjoient  recommandés, ret  qui  les. reçût Jde/da*1 manière* la plu^obli  
 geante:  C e  toit un  homme  de petite  taille, maigre,,  très-vif,  d’urne  
 •fîgtèàfe  oüYè&çfët  riante;  Sa, demeure  --avantageusemelit^sig^epMr  
 lè-cfeinier plan d’ü n ^ o lim e ,  étoit  ombrâgée'par de. grajad^ai?l)ii?,ésr,  
 -et.?entourée d’un  bois‘:dei%e®tiersJ,odeipàlM^ et-de tamarinier^,  
 qu iy ’entrètenoit' unëMquoeJfraîcheur.  De  oè point, omaia yue|||r  
 une/belle  plaine",  limitée  au Nord  par  Idmmense ride'âjifîdei^.én-  
 tâgneè  à’Anmfôâ^d^colline's^dc^ prairiesiierf^e&rgKÔup||’d’ar|^ês  
 divisent cette ’.étendue =en plusieurs  compartimens.qu entrécoi^psent  
 plusieurs -petites’^rivières j  donrdes  embouchures  seîjpyffqiûJ parmi  
 Yëk'  iûa'Èefcàgês.’  -,J 
 '  JM os ï^tats ’ne  târdèrëntrpas  àh|èendre\les.^én^ign('hfèhî^IonL  
 ils J,avpTpnt Lfespin  pour  Sd^dirrger  dansda^cl^AréÆlMfe-quils  
 avoient  à faire  a ;  iisssfïniormèrent sumttiut du  lieu  em-iil falloir all<?§;  
 chcr<her  les  crocodiles  :  mais  quand  ils  prdpast font  aux^M'a-fais  
 de  les  aider  dans  cette  expéditionïfïfeeux-ci .Tressaillirent  dSrorééur,  
 et ^refu sè rent  unanimement  à  oe  qu-on  leur  demande®^ ¥ainel  
 ment  le  Raja,  chargé’par  le   'Gouverneur  hollandoi»  de;secdtfdcr  
 cétte  entreprise,  voulut-il  interposer’ s'om^aufofel^^ij^^ll^ugiis  
 reli^pfe et la  craintê.'l’empoi'tèrent  toujours.  La  s^fes&©|è^u on  
 put  obtenir,  à  force  de  menâtes  d’une  paît,  de  piomesses  et«  dt  
 prières  de  1 autre,  ce  fut  que  deüx d'entre  eux  iraient  indiquerda  
 retraite  habituelle  de  ces  monstres.  , 
 .  »  Les  habitans  assurent qu’il y a des c’rdcodiles  
 de plus de 36 pieds  de  longueur ; ils  
 attaquent  également  les  hommes,  les  chevaux  
 ,  les sangliers  et  les -Buffles,  et n’épar-r  
 gnent même pas leur propre espèce puisqu’on  
 a vu souvent de vieux crocodiles en dévorer  
 de  plus  jeunes.  Quelques-uns  ont  la  peau  
 couverte 'de  coquillages.,  et parfois  aussi de  
 plantes marines,  telles  que des  vives et  des 
 f u c u s , qui,-croissant  sur  leur1 Hos,  cachent,  
 en quelque  sorte,  ces  animaux■_redoutables  
 ‘ sous leur  verdure. 
 Leur présence,  dit-on , rend  inhabitables,  
 dans  le Nord de  la baie,  les  rivages  où. se  
 trouvent les .matais de T o u p i, B énon,  P ô n in ,  
 ëèïïn'a'j et dans l’Est, ceux Û&Lélétaàanollïîac.  
 ^Xoy’.,,pl.:i4).a.tl.a,? parti)!;’  - 
 la, pointe  du jpur,  opjse mit  en marche^  et  
 fuitÿp4«^ns,Jpeine  que  hos, messieurs  parvinrent  à  
 traXq^er,  1  §gaf&j|és. ponts  formés  d’un 
 Ifehl.  troifeMiÉ palmferade-.  1 y  à- xApieds  cÿe  longueur  ;  les  Malais ,  
 au  conpaire ^.^marchpi^^fislipiffirëmMt^que  s'ils, fussent  foulé  
 ^14,, 
 A.qirÿé^ajU■ miliej|rVd une  %e  qui  ûeiîoit  d'étre  inondée 
 to^4^|çmment,  1 a jÎ^u ï q dû?; 4ïffiçu^éjs, plus* grandes .encore •.  
 ffmmpton  n eapou vo it^ p aj^ r^ g^ u r  l a M ^ ^ u n   talus  en  do§f  
 d âne .e^îfw^t^ Lr\®ij>,4^a,f) jam%ei^  au,, mo indrej^fjjaùx'mâk afe}efffpriçoit  
 iu^^aUï^pofi  fangeux  par  Jqîséjour  ,de& 
 f e sSeuls.jLq^cps  gpfid|>^ai^,miIit'uiÀ&.e'»  marais,  dit  M.  Le -  
 ,  ^cherchant p a rm ^ ^ a g a y j^ p l^ q q^ v r ir  de’s^ocodiies,  
 n c ^ u jn ?es.Jpqy.jvenp ,n ^ i^ s  H m S  abandjqnp|s par  nos  cppducjr  
 teurs;  nousojg|j!  ^é^jdinaes,  «cependant  à^-pépéirer,  ^lans  ,un  b$û  
 doi ^tànËeMflduaén!!eà<. pf e a u r s Isenq.par  une  petite  riyrère'.  En  
 U-Qus, a^|d|^n tS g rs s. jup?  pq^f^^ù^ptte  riyiègg,,  fo»nier«un,, coude  
 nous ^^^ouvrîmq^nfin  à^yïqgtl^i^q  pas  de  dist  
 tance^ A ^ r.Qcetfe^ ou^^L^mpa«tie^aÆs|, feau^yoù. il  parpjsspif  
 f e dormi ;  je  l’^justa-i  sur-I^cl|ÿnp  -pc^., fe<  frapper  àû-dessous  de  
 llfes die i ^ lHpimme  ;fanimai  m^ptf|ent#|fe  leMâtë■.  ,je  tirai  d |   
 manière  à  lui>trpmpre^fe:st^ve^pbjies^9'rsa|e|li| et; ,Lyv ^réussis,  ! Dès  
 que  le  m,onstrq|s:M|pnfit  fei;e||é^l,ypulut  se  jetenà,leau; mais.ne  
 pouvan|£>y  parvenir,  on, fe- yit^se  dq%tprè  et, s agiter;; avec  fureur.  
 Son  sangi;c.ôUipit  en  abondalnc^j^t'-'au  bout dfe qwlqÙQs-minuteSi  
 il  nou^»parut ©xes^expirer..  Bien-surs  âl'dr)s,qu.’ji  nepourroit  nous  
 .echapjier, ng.nsssr es ©lûmes ; déj r-en y oygrpau  lendemain  le  soin  d’en-  
 dever  ses*  dep’duiMèsl -ïLesl sèçp;qnst; ?|axi(trog"1 neptües5jdjànt,. pes  
 dieux, humide&'sont  remplis*,, effrayés s4 e  fexplosion  d'une  arme  à  
 feu,  s'enfuirent  rapidenïént>  la ”parmi  jjes  herbes  et  jusque  
 entre,,pQs/jambës ;  .spëctaole, aussii  notuyèau  qu eârayant  e t . dange