C H A P I T R E X X I I I .
Histoire de l'É lép h a n t m arin, ou Phoque a trompa jTPh-Qca
proboscidea,, N .] : Pêches des Anglo-h aux Ternes Australes.
En fàisânt-un besoin aux Phoques-de venir' se reposer au milieu
des ^terres m ©t d’y déposer ieurS petits g la -nature semble avoir
voulu jks&déSfouer-à 4a mort et -à' 4f ^estrûètron:: ; En, effet'l-safts
auGun moyen de défende, pouvant Èt peine %e,jtrajner tsur 4ëf soI ,■
1 esThoques.,par-tout'doiy-ént-'tomber^dctiïnes .desvgrands animaux,
et-sur-tout de l’homme. Aussi rdùyant également* deux^èh^s
d’ennemis, ‘leurs troupeaux*timide,S produiientfils -en grand
nombre,que sur-ces ilesfék)ignéesTiqn^ur'ees' rO^he^^itairer,
qu’au milieu de ces glaces éterjfeüe-s où ldê^&Çfs; féro cestE^istent
pas, jaè l’homme, plus redoutable encore, n’a pas-'hxâ|oiS.^||§j|r
habituel.
f ,a ; Australçf' devbidw, t^^fligubSe-
,titre, devenir plus’partic-ulièrement la retraite' de ces njanabreùs es
légions d^’amphibies •: on n y a pu'troqveÉ^en^e Wcu^^nimal
férotie-plu&^g-ros -que ,1e chat domestique; e^^èssjj^Ù&ë' hiiinàÔT^V
-déjà si' Jare-^suï les plus grandes teS^vn hâbrte^^às'lés^ îl^s .sans
nombre qui avSisinent^ C’est là querdes'^Ph^ques ^ost^t^i1
leur, empire g '.oestî là qu’ils ont pu , multipliant"-idî|s-pæ^|éÿ
invasions, occuper suOe^sivemeni les MalouiiîeS /%'dù- M, b;E
Boug;a iNYille et PernrTty emobservèrent pldsfèti#--t'r i fc® s
‘remarquables ; rTxistànrd’Acunaoù du Petit-TH'cfuARS , avant
MacartnéY , en découvrit une près-grande fe^pèce ; là ,terre
de Sandwtrh , où les-'Anglpis ont* établi des^chasses' régulières
çontre ees.animaux ; ^elle de KergUélen, où Pagès en trouya de
grandes troupes. Les iies^ïS.'-Pierre Pt^d-Paul 'd’Amsterdam en
ont offert d’innombrables légionf. à G ,o x , à M o r t im e r , au
lord
lord M‘AaGARTNEY ; HAWKINS , S'CHOÜTEN , LE MAIRE , BEAUchène",
Roggers-, ;Mar-i0 ^ s, Spilberg', C andish , Nassau,
Olivier I^&ort , Q uirogoa , D ampier , Surville , Fur-
nea.u k , Byron, de G ^N^S, Battell -, D racke', H outtmann ,
H aGENAAR , ^yRB-ROUîGH,, LABBE , GuYOT, FrÉZIER , VALLIS ,
Barrow , de Grandpré ,; ^ hite / ‘Stator inus , &c. & c ., en
Observèrent-en mille, endro>itsd^cns;eontrées.méridionales ; Anson
a H S | l f 3 i d e 5 Izîjip * ;J,u an-Fernand ez p d§j© o k , Forster , Spar-
mann, .©•ntjiie^.bnnudfsiLtr oupeaux de la Nouvelle: Z é e la n d e ,, de,
1 île Georgl^j, et des îlé&ybu Npoyel-'An à la terre des États ; Labiés
LARdière , iM Am hÈ z -et VAN.cdu ver - en )©mt rencontré plusieurs
'Jjpèces à latprre de'Dié^ eî^ ' afàmuvelle^Hollande :* les archipels
dafcige^ux de Inpôteporiêntale' de ^ d e r n i e r continent en sont
abpndamment^.fournis^srious, en, "aydns trouvé j^o us -m&des à là
baie d‘e I-^ v en tu fe ^ iu r lîle Brupy, à l’île, «Maria étdans la haie
Fle^nièiu^jt©utç^ff qs..îles FurneauxydKle ,S\van , »Waterhouse, Me
C K rc k ^ l’île dé là Préservation , les Denx-Soeurf^ i’île King, les îlots
du^Noi^él-An, les , îfps- Huntj.r|yen hroù'rïis^ent < d’innombrables.'
tnbus^Dej- nouv^le.S;, tro.upesvdeti ®fës singulîj|rs^.animauxrse* ’sont
||Éfer,te£«à notre '©b’è:rvati©n sur p l ‘ iivàge's dé l’^ D e « è s - > sur
e#ux ^|s-éphànef et dle t Kâreb ipd|^P_fef|eïleü ' StiÉïançôis,
dans le port du R o b ^ a o ^ s ç / derràèr&lie mon« Gardnerk la terre
ièi'Nuyts.et dans-4a baje|dm Géographe à la-Æerre dejLeùwjn; l’îlù
Rottne$t, Ijle-Buàehè», l-’îlç ^erthollet,- à la terre„dÉdels; (en étaient
pareillement, GMùyertes jvenfinî; noust.a^n’sj retrouvé d ê ^ e s amphi-
bçft^àla terre d’Fndracht ^ùada.la baie desv.Gbfên&ùnarinsùsm l’î%
Depucb, à la (terre de Witt, et’ jusqu’au* miliè0*dés^bégions ‘équa-
torialês Australes. Ainsi-doR^i^mi^s’^pbur ainsi dire aucun point dê
cpg immensejlc,entrées qui ne noii^|isse, de|Hsp.^®b§ plus ou moins
grande?^des troupeaux plus ou moins-jnombreux de cdtte famille
dp Phoques,aSÎ peu! connue jusqixIà^ré^Ênt&k qui ne;sauroit manquer
un jour «dp former une 4e/principales, couplesdu ^ègne' animal»
TOME Iï, ”s £