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 2 5 et. le ecap> Deshouhpres,,  par  3^° mj$\  Toute  cettes?!ëienduè  de  
 dotes est èxtrémementjbass,ete,&îsabiom-eS.I4Fles bauS-fôridsp^ktiï  
 nuent.â  s’y  mqhtier?en  grand  nombre.;-'ett.M.cÉ.  Freycinet,  
 quoiqu’à  la, distance  de>é$àh4milles,,düu  rivage,  navigua toujours  
 par/4>~3>  2j  et meme une’bmlsdiet demie  d’eau.  . 
 ^’Cependant,  à  mesure  que; nos-compagnons, -s’àvançoient  dans  
 l’intérieur  du.golfe,  ilsïw>y©ient  les  térrés^ë-.-rappr qcheiy “en formant^ 
  comme  le dit*  d’une.1 grandë/riyi§re|  déjà  ‘même  iis1  avdient  
 ■ Fdspjoir dëfStrë quelque  dé^ut^rtè- impoff^nte, lorsqu’en-arrivant  
 à  l’extrémité devaste  enfoncejp^nt,  iik$ïe  trou^èdébt 'terminé'  
 par des  terres -bassé^iiet  noyées, .sans, aucune apparerikeÎ et’ouvertnre  
 ou  de, communication  intérieure .u Sur  c!§  b^d||îSd^%"â§;eux,  
 vivefet,; sans doute., plusieurs hordes sauvages^,car on yéajl^çut un  
 grand nombreîcfe $eux. 
 Ainsi  trçôipés  dans  lepr  attente, MM.  FRE^,^t^è‘,5Edet Bo;tgiV  
 lAn-^ser-,sejT.epoiïèrent  à  la  cote  occidentale;"dit  .g « f4  :  dsi  y  
 ^ C onnurent  bientôt  le  cap  Dorothée,  qui 
 milles  au  large ;_il  forme,  avec*le  cap Ded^o'uhfo'élx,  une.  grande  
 baie  quijACCUpe. tout le,fond du golfe,  no us avons^^riifiâ'ée 
 Baie Caioline. Le_brassiaggs’y s.outient^entre  froi|aèjî^çi®q bradés  
 fond dé  vase et. d’herbage. 
 Après-avoir passé  la  nuit  du  13  dans leÿenvirons  d!ù  çap.Dok)*  
 thée:,  nos  ingénieurs, prolongèrent, fe-  lendemain  tcfutp  l|4?ô’Etion  
 der§pte^qui  s’étend  jusqu’au  cap, Craffigny^,'p^xA?^'^^}%P-àe ..deniA9  
 ÿ i '. Au-dessous  de  ce dernier  point,  le  rivage  se  renfonce  en  une  
 baie  peu  profonde,  de  1 p  milles  d’ouverture  environ,  et  que  
 nous  nommâmes  Baie  Julie; le  cap  qui  la  termine  au  Sud,  gît  par  
 34°  4p7j  et M1.  nommé  Cap Amélie.  Toute  cette  dernière  portion  
 du golfe est assez saine, et  la sonde n y. est pas descendue au-dessous  
 de  4  brasses  et  demie; 4e  terrain  en  eft.aussi  plus^lfevé  que  celui  
 de  la  côte  orientale,  et  Fon  y  distingue  quelquefois  des  falaises 
 rougeâtres, 
 rougeâtres,  qui,  sans, être.fertiles, présentent  pourtant  une  assez  
 belle l^gjÉatfohy â 
 '  Cfe|$*à  l'a hâdtèuf  àUmàp^Peühtîe  d ’Arè que  les*bancs  de  sable  
 et feafeauts 7 fonds1' commencent ^?‘!sc^montrèr  de  nôuveau ;  ils  
 contidutenü presque ;;s#rïs, interruption  jusqu'au*-oz/ Adèle, par  34°  
 y8’;  ils. spfode vent dànsTé^tid .de \a.bdie%Dd’cief, èt  se’ projettent  
 àLprè's’d-é  dieux iHuêS^eh.’diVant  du  cap$l^Rochefoucauld. De  la Ils  
 forment  unie  ceinturé*redoutable,  qui  se  dé’fèloppe  au  làrge  des  
 'terres'dans un'ëspace de  tWfàti'Cmilles -,‘ et vient'expirer  à* peu de  
 distance  à\y  pàpf Elira;  C’est  à  ce  dernier  point  que* se  terminé  I  
 lè golfe  Joà^»hrne,'par--3^?"ïÿ'dè  latitude Sud,  et pari kpÿ0  22/  
 cfe&Égitudé  du méridien-çfe/Pàæis ; »è’esf aussi  là que comménce  
 lèfdétroit  de  Lacépède-,  dont  nous  àvonsH précédemment  
 parlé, 
 ‘^fNds  compagnons'le  traversèrent  rapidément  dans  la  journée  
 du  18, eh  prolongeant" l’extrémitédSüd  de  la  presqu’île-  Cam-  
 bkjérés/ qui  n’a  pas moins  de 4® millës'de forgéàp Sur ’ce point. 
 A ^heures  du m,atin,  ils  doublèrent  le  cap  Elisa ;1 bientôt  ils  
 tombèrent  sur  un  banc dessable .trëlféi^idu,  qui  se projette  en  
 avant  àri^c&p.d’Acpüesiedu ,'ét qu’ils dépurent ^évitersqu’èn  portant  
 ,r©  à  12 millfes âu  forge.  A  six 'hèufe's  du’!éoir',dii>se  trouvoient  
 par.  Iè-travers  d’une“ seconde  pointé',-qui  reçut  lè  nom  de  Cap  
 Mêm,  et eh avant  dfe  laquelle  trouvent  qûelqüèsNfblîlîpsI'déta-  
 ch^sïqitlè‘pëifut^qu’à  la nuit  tombante  qu’ils  atteignirent  les  îles  
 Vauban,  à  l’extrémité du détroit  de Lacépède,  e%  tout prêt  de  la  
 pointe  d’entréè  orientale -du  gêlfé-Bonaparte.  Cîèt  îles  sont  au  w.uir.ns 1 (4,  
 nombre  de quatre*,  dont  deux  très-pétifes ;  la plus  grande  d’entre  
 elles  reçut  le nom  à’Ile  Laubadère, en  l’honneur du  brave général  
 qui, en  1-793 ; défendit;^vaillamment la place de Landau, le chef-  
 d’oeuvre  du  géniède Vauban/ Prèsque^v-is-à-vis  cette dernière  île,  
 est un  cap  remarquable /défendu  par une  traînée  de  brisans  dangereux, 
   et. que nous  appelâmes  Cap Mornaÿ.  Plus  loin  est  le  éap  
 'ij  11.  M