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 souffrir  de  les  mêmes  vents  de  la  partie  
 du  Sud qui  nous  a vaient  été si favorables: ;  
 et  ce  fu t  alors  ^ir-tout  que  nous pûmes  
 apprécier  davantage  toute  la  sagesse  de  
 nos  propres  instructions.  Apres  avoir conversé  
 plus  d’une  heure. /wc  nous  ( «  Per-  
 » sonne,  excepté M.  BROAyN  ,  ne  fut  
 33 présent  à  ma  conversation j avec  le  
 33 Capitaine  B AU D I  î î   (8) ,  ainsi  que  je  
 » l’ai déjà dit 33) ../g CapitaineFLINDERS  
 repartit pour  son  bord,  promettant  de  revenir  
 letlendemain .matin nous  apporter une  
 carte particulière  de  là  rivière Dalrymple,  
 qu’i l   venait,  de  publier  en  Angleterre.  I l   
 revint  en  effet,  le ÿ  avril,  nous  la   remettre, 
   et Bientôt après mus  le  quittâmes pour  
 reprendre  %   suite  de ms 'travaux  geégrar-  
 phiques  |pag.  , 
 la   L ’ile ; principale  d e. ce  dernier  groupe  
 (  te  leur  archipel  Berthier 33  )  se-dessine  
 sous~kt forme  d’unimmense-hameport ( «* II  
 3> paraît qne  ceci  doit  s’entendre  de filé   
 43 pTInstleWyà j .  Indépendamm ent detoutes  
 ces  ÎÊS,  il  en  existe  encore  plus  dej^g^t-  
 autres disséniinées-aux environs delapjSnte  
 Occidentale  du golfe,  et  en  dehors de  son  
 entrée  : chacune  d’elles fu t dfsignéepar itn  
 de  ces  noms  honorables  dont  notre  patrie  
 s ’enorgueillit  à  juste  titre h  S pag.  3 25^),  
 Fin.de  la note de  Flin.PERS  ): 
 iiifriM.  Péron  assure,et  cela  mène  
 >3 tf^ rè s  rnon  asAoiité,»  qu’il  n’avoit'pas  
 •fo'ëté^Jdssifefe k  PInvestigatàrde pénétrer  
 ^•derrière  les  îles  Saint-Pierre  ét  Sai'nt- 
 François  (pj. 
 *  Non- pas  de l’île  Thistle ,ljmaisC de  l’î/g ; 
 b  Y,oy.:h.  pi.  2 ,  atl.  2^  part*  L. F. 
 ...  (8).M.  PÉRON,  comme  historienidu  
 voyage,;a  dû parler enncàh. collectif relativement  
 aux çqmpjpraigapÇP?  
 faitesà notre expédition,par M.Fl i ïÏDERS.  
 HJn Capitaine ne dit-ifpas., souvent ,• Mous  
 avons jeté LçJoChA .telle h.eftr.e ,v^£|^di^que',  
 idans f-gxtrême rigueur, ildevrpit.dire, Le,  
 Çjpef de timannerie'a jffôfe.loch,, eiftr.-Saps  
 doute,  si -M.  PÉRON^qpt'Pé1  croire4 qite  
 l’expression dont  il  se(ser,vpit .deyiend^oit  
 matière à réclamation, il eût écrit ÿo^grés  
 33. -avoir .cqnyersé^plust'^a^rh^prft.^y^./g  
 33, Commandantè fc.  -donc - ce 
 changement d^ns, le  texte^de* PiÉRON ,  et-  
 demandons en\uite qi^eile^^is^mepqe.Ie  
 Capitaine, F L m  DÆ RS ye û fcpju .^é.du i ièv.dg  
 cettertoumurâpè-.phrase  ppur’moi-,  jç  
 p!ëq vpi? $.uçunç, 
 |p)  ,M. PÉRON a  eu-iiÊtî^San^tdôÉlifj..  
 Wedgéin  Flinders.  -la ¥ i1  '! 
 d’affirmer 
 d’affirmer  ce dont  il n’étoit pas  rigoureusement  
 sûr,  ce  que  probablement  il  
 n’ayoft  entendu, dire  qu’aux  canotiers  de  
 F l-jnjoers  qui  avoient  parlé  avec  lu i,  
 ou,  plus ^exactement encore, qui avoient  
 parié;'avec quelques-uns  des' Officiers  du  
 f   sj  Géographe, car PÉRQN, à cette époque, ne  
 sàvoitpas Fanglo/s. Certainement il aurait  
 • 'j étéhien mieux,Iqi|e l’auteur eût distingué  
 exacïémqpt  ce  qu?ayôii,dit  Flind ers de  
 ce  qu’avoient avaïifâ  ses  matelots  j  mais  
 les  uns  et les autres  discours lui ayant été  
 rep o r te s ,  nçûyqit-il  faire .une  telle  dis-  
 „  pnction*  On  comiendr 1 qu’ici  tout a dû  
 êtie  pour  lui  Ie? résultat  de  fa  venue  de  
 FLOpE-R^ .a jbord  d n ’ GM^ramé  Én  
 K  effet, J lluôuis  qu’on .lit 11 éài*pfis  note  
 - à, mMur é ; 3pç> m m e- n t  sai oH*préd^émént’ 
 ,  ce qu’averti38: M. Flinders ,  ce qû’âvoif  
 I   dit  \1  M owN , ce quü>ôiLuk  tel ou  tel  
 f|i  -âp  ns! LeCaffi®ineJFLÎ N D E R s ’é toit 
 0.  le  chi/I dfc  tAptdiUon  tout  ce qu’on  
 ;  t  a' ùi^Ér  îe:fait  de  sa,  visité,;^ dû paraître ■  
 fûdîàp,pàiifeHi«r i 
 Si11 onéoullîit,’ail 1 rsie.  une exaùlhude-  
 si'niiniAieHse/jld:îîis.'dss  ’éh-oses àqaéiiprès  
 g*  hivgfii’ïijntüj'v  iFa  qu’à  examiner  la  
 | g i y | n |  .d^fa'tfe^ d^ FujjjpEiçs.,. qt 
 l’on  se convaincra  que cet  habile  navigateur  
 n’a  réellement pas pénétré  derrière  les  
 EI  -ib^ S aa^ P ’irre. -Alai3 àquoLbonde telles  
 supti|ités$i^fe^n^éps^lraïeaaiÇ conduire,,  
 g   qUtffi^oiA  plus,  que, PÉRON 
 asété un$,pe®i£dus|, pu,,un  ]>eu, moins bien  
 instJ u 1 r -ttlc’ liuislml>je-^qs opératioin  des  
 Aoglôn*'su^aJcopC'du. St. '.C>i.Tdé,Ia Noü-  
 .  vè/fe-H^fflq&^4 ; 
 .flfâSMvenôoe^pfutOTqu'étle^bût* de  Fhis-  
 tèTÎefe de  notre’  vojfage' itfétbit  pasi,  ne 
 TOME  II. m