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 çqndamner.  Maihieitfpsement >  les  nu mes  préjugée  cartsepven#  
 1 au jours  un  trop ' grand  empire  sut. .lui f  car-,  au  dieu  d’adopter  
 le  bétel  des  naturels-,  leurs  hains-e®' leurs  frictions  
 huileuses..  il  a  recours A des moyens analogies,  ilIjifet  vrai, mais pluS  
 danrrgrcuy  p ou rra   constitution,  et  sur-vont  plus  impuissans  qUe  
 ceux  Tftfil  néglige,  o.u  qué>daêïne  il  dédaigne.  Aussi,"  voyez'dajis'  
 les; Moluqufs  ces garnisons  cner-vées de soldats Bataves :  vainement  
 l’or  est  ailé  du  fond  de.  la  Germanie  les  arracher,à  la  luu  fuit  
 s^utaire de  leuars  iorêis. ;  vainement  leur  eonstittuirian  robuste'  leâ  
 défend, pendant  quelques  annétes-ï-contre  eette€aeiion  énervante  
 de  la  température;  ejlle  parvient  bientôt A  les  dompter ; teuéetfte  
 langueur,  cet  épuisement,  qui  s’observent- .d’abord  dânshla plupart  
 de  c%s  soldats  transposés..aux  Indes ^  suffisent;  ag^êz  pour!  faire  
 reconnoître  les- victimes  malheureuses  de  nos  -usagés,  eèsurAou/^  
 de  notre  obstination  à  repousser  ceux  des  peuples^étîângerjr, ioife  
 mem© qu’il^  nous, deviennent  lè  pli^.nécessaires^ '  “• 
 “Tels  sont  tes résultats  particuliers  def mes,  r^Sexiom. s|l$ l’usage  
 dÉBNél,  objet  qui  auroitdû,  je  le  ïépjôe,-fixer  davantage  l’attè-h-  
 tio n -ifl. in«iteites:euTPp4ons  transportés  au mifieù  JexèsCEégionl*  
 lointaines:  L ’expérience,  au rester,  est ici  d-accord  a\c*c  la  théorie#  
 elle,  a, _ser,vi  (te-  règle  à  ma  conduite, pendant  tout  te-temps  que  
 je  suis  resté  dans  ces  parages;  e t,  malgré  la  foibj|ssé^de  ma  
 constitution,  malgré  les  travaux-pénibles  auxquels  jieùpe 'livrets  
 tous  les  jours,  ma  santé,  dans  fes  Motuques  s est  soutenue  trèsq  
 bonne ,  lors  meme  qu’un  si  grand  nombre  de mes  malheureux  
 amis  étoient  malades! et mourans. 
 ;;  C H A P I T R E   X X x y i . 
 m 
 . Méxhpiire ju r  Ja  Tt  'a /<?: W A.ce >  s°d  
 , à  de  eran^i.  ;  ^fqr  PÉRQN<  • 
 D e  t o u t ë s ? ] ï f r i c e   M0 , , p e k   doiit  les  
 vésultâts fOierd plus  i f e 3^ » s^ / p lû ê^ lu lf ig^   qifè  céllès  d@ntje  
 v a fô^ < ^ éu p# fi« |È è î*r^e-ôf@%gà'|é  donnéél j&ëté  
 ion ssm '5® î f v a f i  afciôîïs  afnït^h^i^Éll^Wu  milieüfdêd’Geéak ;  
 élte^fournirohA ^^featüralfsM 
 iËlâti||ffs ^ l’hs^îtâti8ffi^?cliK-(?^^®-ii)ü#d'^îmàff^'nSS®^| Wgêb-  
 Vlogistc et, le  l^t^i(p^^’-ttro'^ ^ » ntM’u^m  fâké-e ÎÉk  faits Bêrfeîâs  
 la^.|u:opagapi§ji ;||É la  g-ha-teS au  milie§;  d’état 
 physique  intérieur'  glohekjaolpt If^ ^ iyjaliéns déplus pro-  
 yfoj 1 ( it rcmamfoéjëlf&eu\ en t$j jérae < js^uperfici^  
 en  un  mot,  ij  raefet  -aucun^ cuuTc  <pj^  ne  puisse  avec  avantage !  
 if;çvendiquéryl^|y"ésuIratV1d( s  itpqu tÎPne e ( je ^çy  *gç rire.  Combien  
 'don®  qe  doit - chi^Æs'" effè  surpris'' du  pè^fi’nïtefêf/'’qu p&  leur  a  
 f :cfë#néJfu^ü% éeÿout ,r 
 ; / s i-G T rG K ’  ##e M-è r e . 
 Teinpérâtùre  de  ta  Mèt  a  4a  sUïjfrâfë. 
 Les- èxpérkftd&dxgr  la  t^ p é ïa t^ l id f e   eâux  dé  la  iîfeftpnnvent  
 ||é   f^®|^'a  sa^sirfâçe^'Onvj.^ id ^ PtdÉ)nd^ns ''^lu^^u n ltà it^ â n d è â   
 aurdéssohs  ||e ;©e%te-> mê«e -surfaGe.., 
 Ë^JUe.sfpremTorcs  sans *douf(^^pït  facite^vâ^rèpéter';  leiâs  résultats  
 doivent  etfeV.à ’^^ ^é^li^^^t^^igl^t^êuXç;  Il  suffit,«pif,.'effet,  
 de  plonger  un  thermomètre ‘ dans#éau ;>(dte  fy ' teisser'-asséz  long- 
 S -^ pla