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 /.ai.  Roi  de  Sojor ^ïN a b â ^Léb ^ ë t fe   R$}a  d’Amâssi-,  étaient  de  ce  
 nombqqJ/Cej  dernier  n’étôit’rppint ,énéow,enterré,  quoiqu’il, fût  
 mort  piuÿours .mois  ayant  noWe tetour^Qnim^u^dit  laÆu^uide  
 ce retard.,  qui  tient. à. un>. usa^e^in'guiie:r$établi5<^aqs4ç  
 *' Lçs^ -obsèques «a un ;”pffoç’e* Ma]fe|Js|^font -iei  avec•beaücoûp>  
 de  pompefl^pn ^eulem^ntÿ-leg.principaux -sujets^du<  M-onarqüe  
 .  â&srstent*à  cette  cérçmoïii^ ïliaiS'le^Rpis^êè^ili^s^^en^ient  dè&  
 Méputatip^:-;ie;sïagen's  dè^Ia  Compagnie  HoIiandpil^iét-lë^pXip14  
 cipaux  bpurgepis,.métis'de  Coupang,  ne  manquent' 'jamais-de  
 trouver/  L^ . çéqemonie  dure  quelqèefgjs  huit jjours b pendant  fêss'v  
 quels -on. doit  nourrir  toüs-Tles^â,ssistans.‘ ’On  conçoit qtt-il  -fautlpdift  
 t oe|a beaucoup de,buffles, de cochons*, dp vqlaiil.esyRipais,demlust»  
 ’ r j l  faut beaucoup; dfor,  parce ’que- la plupart de -èéi^qbb vlënnent^à  
 l’enterrement, à  commence|i,par-l’agent,principal de ks'Gon^^ràie,  
 fi,doivent  rqc'eypir-une..plaque-ddtGptluiétal.  114ÿ.^aî'<fM?'plaque®de  
 différentes^rândeUrs,  süivènt  l’importanbe^du'pê|^^pagdbâuquel  
 on  le ^destine  .  nous’en  ay.ohs  \m  qui  pisqitnnenv irqi.i*c4nq-tl®jiti^-  
 .  1 d’autres  trois, d’aptres  deux.,. Les*p;j3ti?t êtrang^5mç;i^oivent;|wint  
 d or-^m^l^.anien  donnera  tous Jes^utres, individus  prés,e$s'&Ge  
 sont  bes^sujets  ou  mansia.  du  défont  qui?  soni>: obliÿoM|d^appprter  
 leè proyisions.  et  f  or . dont  on a besoin ;  aussÜa difficulté  de réunir  
 ,  tout; cela  exrgë  d’autant  plus  jle  temps,, que  les  spnH*plüs 
 pauvres^Les  funérailles du,Souverain  doivent  en  consiqquenqt^jnre.  
 difïer-e^sf jusqulà.ce que ^es spjets §ienp fourni  en - t o ' t a l f " É s t  <  
 r néq^sàire.iRojir-  procéder^à  son  enterrement.  Or  il  pasjra^e  
 de voir ici  des Rois dont le corps restejëxposé;dans. by maison régale»  
 péèd^nt quatre  ou cinq'ans,  ayant.d’ètre  m|s-cn  tèrresDurantîéette1  
 période,  les  femmes  du  mort  sont_jobligées de’ veiflér-; tour  à  tour  
 auprèsi.,du  cercueil ,_que  l’on  tient"  constamment  couvert  d’une-  
 dçaperié,ÿ|| ëhvirpnné  de  flambeaux  allumé!,.  : 
 Ce  cercueil ést  composé  d’un tronc  d’arbrecreusé  avec  soin,  et 
 /fermé  avelc  une  planche**.;'omeïjduit 'extérieurement  les  jointures  
 '/avec * une ;,s,ebtë:déf^  crois;  d’un  mélange  de 
 ‘chaux  vw-^'fei^dé^sueçé!de-paMief.  ‘Ainsi  enveloppés,  et  malgré  
 la  chaleuŸ Jexlrèmè’ diB/èhmat,  lÉ^'ëàflavres- ne  répandent  aucune  
 mauvais a  odeur  autHehprs.! 
 Iv%èsqueltousdés]Ro^Walais' ^e&;enèirdnsfdp: Coupang  ont chez  
 eux un  ;4|Y,eâ^épùfcr,âi  d$nV lé^ueb  leûrs  ancêtres^  et  où  • 
 fl>^piven^ét||M^ê^é| un1' jo.ur^Mx - même! > Ces “caveaux  sont  
 bien  entretenus  ep’tgardéÿj^ui^è^nuit  :  quelquès..Rajas  ont les leurs  
 à C 4upang«]|nêmd,>-è^lp|d;e‘>prétf)gative/ est cdhsidëfeè  dans le.pays  
 cqhmrô urb grand  honneur. ' - 
 '  Dû- 9 a aA f '3 {toai,  dé||te:i$b=a r^   tranSp'ôr-  - 
 tçr :à^'|||lp|rj^M§%foçk; d é;s  In pi é t er  nos provision^'de  * 
 -Ça%Ragflf;-  pësj^,jëtsfno;|É|k^^  magasins  de  la 
 CompagfoM à *up ‘pti^aisfÿrinable -, ^aMibqùe 1le| bufflePdonnés  %  
 en  ratior||journafleré|et;comme  rafraîchissement^ ’nos  équipages: 8  
 Quant fà||^éHqui ^ u !  .é|oit/pèrsfpnneWhqüs  préférâmes/ de  traiter  ,  
 dl|^tem©nt a^ê^l'ês .Rajas ..de  notremonnoiSsance;  îes^ollandois,  * 
 .qui-* tol|jnp®:|||pspéQhangas > de' petite val eue, n ’eusseûe; pas: souiferti  
 qüCvmpùèrfh^o'ns îd&  la *!orte'  -l’apprôyîsiMliëment  de mqs  'vaià-  
 ^ ^ ^ fVpulànt èWriffêja^Sftjouir, dut „bénéftge  quj  en  réèùltoit.  
 c<;L e   a4ion  .aperçût rà*Jferitrée  dq^^ ba^|| auvî^ordPcfq  Simâô,  
 un..navire,  à  tfdis lïiâts,  qui  faisoieM'^signli^de  détresse  :  npu's!  
 -no(usM empréss,âmes, d’envoyer; leYgrand  canot-^ G ià& d p îïe   à  son  
 bord, pour  lui^poçter‘flg*êb0:urs.'huëknôûs^pouvions  oflrir.  Ce   
 bâtiment,' reconnu qjour ^c,>AmérrcàfoT.et^fi||-f e‘ üdiiimoit the~^  
 Hunter, ne.put  arriver  au'mouillage,.que  ia-lèndemain:  R  vemôit  
 g e   1 etablissement  Ro^tugais >de  Dielyi>“J s î l r y l â ‘Sëptentrronale  pf ï,ati.i  
 de  Timor,',èt;%^bi^ohà^^deçireîièt‘de  bqjsÉlè  sandal;Son  équipage, 
   attaqué pqr'les-pliis kffiêdsê^^MémffôV^v^^pntefrie  et  la  
 ||eyre>,  sd^ o^ vô it^ rè sq fe fê^ ^ ê fffi^ /d é trü it.  Trois Rèfomes  '  
 seulement  ÿ|ltoient  debout^ fe ^ aùtrcs^étôient  morts  ou  dange-  l 
 1 wÊÊÈm 
 |  part.