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 d’obligeancte,'  vint  de  lui-même  leur  offrir  dès'sfcpeos,  du  laits pt  
 du  riz;  .  * 
 A   pfeu  de  distante  d’Osapa  KitkilyHm  dëeôuvrefprè^du  rivage  
 deux îles^ Eàsses/ombragées par-de  feux  paietu^r^ à demi plongés  
 daiis-Ja mer.  La  route  présente-.ici dé>, plus  agréables; *aépects  ;  sur  
 là  gâüche,  de* nombreux  palétuwêfsfi;v.dont  les  branches  rares  et  
 pendantes  suffisent  à  /pêine  pour  produire  une  ombre  légejei,  
 formenr'cependant un  abri  ou. viennent  se  réunir  en^f^le  d iv^ .  
 .oiseaux  pélagiferfs.  Quand,  à  l’instaiht  du  flux,  les  eaux  seaev&ijscnt  
 s #   la  plage,  on-les voit se  réfugier, dafas- çétté- Lbrét.marffièf® our  
 y attendre l’heure où  le retrait de lamei  leur  permettra de Vhert Fi'er  
 ail milieu  des  roches  leur  nourriture  accoutumée. 
 A  'droiterdu  chemin.,  de magnifiqu^.^cocotiers  balancent/dans  
 Iqs  airs  leurs  têtes majestuetis'es,  .qui  dominent  multitud'f* 
 d.’arbres  de  plusieurs  espèces^  chargé»; de  fleurs  g ljd f,  früjts^l^  
 l’ombre  det clesl arbres  remarquables, par  fçur  taille  et  ■ par jcu r  
 beauté/;’  croissent  de  nombreuses  lîangs',-  qui ^ ’#©vânt  jusqu à  
 leur  sommet,  forment  autant  de  colo^e§j^>er^UBô/ Par - tout  
 règne ‘une  douce fraîcheur,  par-tout  aussi je  plus proforidysilenee;;’  
 diverses  espèces  de  tourterelle®  l’interrompent  quelquefois1? par  
 leurs  accens  plaintifs  et  amoureux *-et  la  doüclfmélâncolie  qu’elles1  
 foht-éprouver daps ces lieux enchantés*, remplit l’ame d’une  émotion  
 involontaire. 
 L a  route  jusqu’à  O  sapa.  Besîâï  est’ tracée  au milieu, des, bois  Içs  
 plus  agréables.  Le  village,  bâti  lui-même dans  la forêt y occupe une  
 assez  grande  étendue, de  terrain, |>arce  que  les  maisons.sont,fort  
 éloignées  les unes, dès  autres;  il  ne  contient pas,cependant plus  de  
 crois  ou  quatre  cents habitans,  parmi  lesquels  on  compte  quelques  
 Chinois.  , 
 Nos  voyageurs  passèrent  la  rivière  d’Osapa  Bessar  auprès  du  
 village  de  ce  nom,  et  se  dirigèrent  ensuite'  vers, JSfonsouis  par.des 
 AISTRALES.  269 
 chemins  étroits/et ; r ocailleux-  qu’entrèeompeht "souvent, de profonds 
 rit IVEwÉROfN  rapporte; rq^u au^delà^1:âeMCons@uis ; une'troupe  de  
 /chenaux, g a^fê^jkré^  (unfîâs’sez  singulier^flpec- 
 ’:tacf&f^La'liberté/dont  animauxiidit-il,  le/  rend vifs, 
 impatiejffidans  ieui'W&ojsi'^^piensÿ  |p^^feétp;daris  leur  course:  
 ,viennent^ii®|/s’cloign^V  le'urs  gardiens:/  sètÿànt fd&m$è4'putf  le®  
 ,'épaufesîi du5 ychéval rqui  ppirf|/ÿj>|p|'duigentaus/ifm  sur  leurs 
 awaees/^plâsseni  tnjtro  f^aibrcs  a^éylâr.VapLditej de,la  foudre,  et  
 ,inân<ri'ul?rë>tt ®s;fra]»dêS'3cQursiet/ftâtÆé*^x^Cù^ll^à,^rf'S#f,  qu’ils  
 çcA/iïKm m  es? arbr<té?£p 1 at* y* --ui  h ii'K^p‘asssâ^êf’, "fet  c ourent^ ou'-polent  
 p:ourjflfà^.wp  Cp^thaiasi  qu’ils* ràb 
 ^ietot/les^@he.yàsux|'éé«£iés iduit'niùpe^lv^aséée'î uiip/l^gè/eté  et  une  
 oe è u O n t   rien  en Etn tjipYftn’offre  le  paraJl^p  cayaliers-,  
 domine  fes-Çèntaurèscde  ’i^oeW^bembleim  ne  faite  qu'unc'seul  
 rôorps  avtèllfe cheval  qu’ils:Imdnt.eïitt^ai»? 
 îsM enw fîef %^àto^/||»llagfe^(ieyP''eu- ,ff’importaneé&£ 'furent '$$$  
 traviɧés|pai  ;nfl>^oA âgeur s>/ quM^a|sèrojfïf  epsurte  ia  
 rivièredde  Pa«»^wÆz/5 lçlent|de6ii,bords^niaK.<iagcu>.'m^|!r|fesehtt  de  
 Ifèmbreux crocodfle^puisd^^fèAdirentyq^ü/^^>ha*mP^tx d’urife  
 'foiblevë?ênHue, mais  richgÿëependant;phitÿf^^ t jJ^ufpli de.  cannes-'à  
 Mter-è ,t^é/màis^ft .de -riz. ' Continuant  IfeüiArou>tehàtiÿ; milieu  d’une  
 forêt  ils  iviren|^&ë^iyement|%S'’?;%i'lkgiesr;de 
 ■ Paftamoutti  et \dpÙ-ùbetb,,  et-parvinrent?-enfin  à, la^pefqe jvifje  de  
 Babâô/bterme  principal  |^|[et|r^oyagé^|j|ès|^y,oir >parcouru,  
 depuis  Coupang,  une ^oùté  d’environ  huit  lie-Ufe^jl 
 Lèur petite  caravahè/|>yés©»toiÈ®ielqiiq ^h'Os^ de  singulier :  les  
 'Malais \jui  "séfvdddfit  cPes'Ccjrte  ,  n’ayant' p'oürfet'ôùt^ vêteînefit-'què  
 des  pagnes  drapt||P d’une  manièr^^racfei^^^Mont  lè v en t  change  
 oitf à  chaque  instant des^IisS  rappeloienHâs/êz^ bien, malgré  l'a  
 'sjniplicité'du'. bagage, da^marche*^^^|'pâtriarcl^p voyageur s Idont  
 parie  la Bibles-;  l’ombre  religieuse ^^-fSiêts  répandue  sur lascèney