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 ünë  suffé'  de : petites"  anses^-efe  avant' desqueiid^te&t  une  longue  
 traînée  de  récifs.  La  baie  Cftffareltf  a.- six  milles 'de-large ^  eii^est  
 profonde ; -le  cap  Motard en Torme-Fextrémité1 occidentale. 
 Vis-à-vis  de1 cè  Cap,  à 4 milles  environ  au ;£ud,  Se  trouvenMés  
 petites  îles  du'Géographe,  qui sont âû nombre  de’ siÉy  toutes'* environnées 
 de  récifs  et  de  brisans.-Ges  îlessunt.’basses.; tlésertes,f%é-  
 i i l^ î  éomme  toutes" celles  dê?ées ’«régions,  èt affectent  cOmme'ètle§  
 desrcouleurè-tristes  et  sombres ;  la  plus  "grande  reçut  le' nom  à’Ile  
 Bafbïé-Ikiboeagey  et  les'deux  plus  méridionales  -furent  appelées  
 îte  Gossdtïn  et  Ile  La n g lh •,  A   fOuést  dudcap  Motard -,  l^rtsôtë  
 forme  une  longue  'courbure',  puis  elIeVavanee  en  un  grand  Cap,  
 •Ijüfe^übus - ipr'pns •.•aoæàbié-.-f4p  Malouèt :  visi-àVvfè’‘'*fet4 la p e tite   -t/è  
 Coquebert - Monïbret ; plus : loin >  en  remontant -vers le   -, rgît 
 le cap* Ohoiseul;p\v& loin encore, et  dans la direction d eTO .M  O .,  
 Vavance  le5 r%?  Vien/wék'Ae,  sauvage' e t  .déprimé  comme  te ;rest-e  
 des  terres  que noué  venons  de  décrire.  LeSufAr  Rübenè 'sont''à ïpêil  
 de  distance  du  cap  Vien; elles  sont -très-petites,—o u ,  pour Mieux  
 dire ,  ce  n est guère  qu’un  amas  de  grosses  roches  environnées :de  
 brisans dangereux. 
 Cependant, à mesure  que l’on  continue à^Ssavaqcifr veîsd’O  uest,  
 on voit  insensiblement  changer  laiCdnstitntion  des 'tërr&'S'*;-'déjà,  à  
 la  hauteür  du  -cap  Vien,  elles  laissent  apercevoir  queiq&erîtMdês  
 d’un  second  plan  de  Collines  intérieures,  et  leur  teinte, •généralement  
 moins rembrunie, affecte çà et-laquelques nuanoes#égèrfement  
 Verdâtres.  La  composition  du  rivage  se  oompliqle  davantage  
 encore  à  la  hauteur  ca p ïG ir ard, qui-gît  par 
 australe,  et  par  13.00'  $0'  de  longitude  orientale.  De  -ce  point  
 jusquàla baïeDenon,  le  continent présente-une «suite  de  càps-'^lus  
 ou  moins'saillans,  qui  ont  été  désignés-sous  les -noms  d'e  'jG'ap  
 le  P o u ssin ,i‘£ ap  Lebrun  et  Cap  Van-Spaendonck;  ice  dernier  en  
 l’honneur  du  Savant  professeur  qui  a  si  bien  mérité '»deshfetelâ&es 
 naturel!^  non-ieufjemettt  pan  ouvrages  dont  il  les  a 
 lui-itflême  enrichies,->imai^..'éî€l|Sè’.:p # ^ |g r a n d   nombre’  d’habiles  
 â'rfistèsf''qu# a lff)¥telésVp o ur  eljfes-î-  
 ¥ L a  haie  Jàèlpon  îhillm d’oii^twlïè';^sur  une  prd- 
 Tdnd#^q|fé s^ub1, -  diykriesf - Vo^urbsÆ ^eUikl-oi en t  indiquer] 
 vers-1 le  fond* dë%ë%è"?ha-^  quelqtié'èorrên t  intérieur y 
 Ou  -plus  vrâisemblahlement/^déïJfqhelqil^GritpC  d» e aUM Salée,-i p l us  
 Dul''ihoîhs;,prolë®gée  ’ dans  ,#s  terminant,  comme; 
 ëe'Me,  de  l’anse  To^fMre,  pàr ^ dfsVmarais-  eféàduls  i|W.én‘orme  
 ihôlëhne  de'(flanfféé%èt -/de  fumée.  qûr>.’4p|^it^4èiærère  ;,çfunes 
 •pt non 16fn \dw;éap é^r'/^'xyfent' à -l’appifïfdtèî jeette  derûaèæéijSUppo-  
 siîi&kj.1^ 
 D'éôap Mansarâ jusqu’au  cap 'des.Adieux, 4a* teere-continentale  
 se^cd.xnÿ'Oie  d’ùné  tebrtevdp  falaise shb4§sfes y *ytéif^^leVesiÿp%s  et  
 jaunâtres,  qui  -ne?,présentent!"que  deux’-points  remarquaMes,  le  
 capfSmiffM '&x.  le  tàp tCtfuc&nMây. Laipptitedz/g  Ramedï^esP à  pe.u  dé  
 distànee^et?  à FOuest dfe'éeWernieroiné  miltes*; pim? loin, le v e r s   le  
 Sud, •'gisent tfe's&'îles dbabour donnais^ petites# environnées .-'de  bri-,  
 sansj.^sàuvage^;  déprimées } !tstérjlesi,et%fedéseî;tes,,  ,cdmnjeî| toutes  
 celles  de ices^pdragèsrdll'  en dst > de même  desVquatjh^ îfeS;- Monté-i  
 not-te,  qui sont àîy'voud^ieûelfda^l’C^èatÀi^e^^é^dea^e&f ^ 4'  
 ^•lieïtfés'au 'Sudî du. oap^ des Adieux ;  iFen-.est.dê .méinie'iencore  dd^fC-  
 dernier .càp set  'dë; toute  l’ébendkb  de  cptés'jquhfs’ÿ   rattache^!Soff  
 à d®sjÉ| .soitiîà-J’Ouest. 
 : »Blusieur&t-fois ;  dans  le'cours.dé.l’hist'Oire  de  la.^erre Napoîébn-,  
 j’a'i'parlé  de  la  force.des : lames:»quiJA-risenK  te*  long’ densesÆvag6s>  
 et  j-ai  considéré  ce& phënoméne^GÔmme  un«résultat  ns^éess^ire. de  
 l’immense  étendue  d é su n is ,, qui,  deWbtte  partie  de  la Nouvélle-  
 HoMandëi ,sé  prolongent-,  -sans. aulçuné>^^dêf?td;’inferruption,  jusqu’aux  
 glaces kn.t ar cti qu.es. * Ce   .caractèÉèl houléuic,  et  violent  des  
 flots  nous  frappa^kr-ît-out  dans notefeinayîgati00  des^^e^Joséphine  
 au  cap  des  Adieux..Malgré  le  heau  temps  et  fervents  modérés