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 Pi. XXXil. 
 Pl.’xxXiVi. 
 coquillages /  tfente  ou  quarantfe  é5spé^|;S- dfÉpon^SiAi Antipâîhpsq  
 de  Gorgones,  de  Oellepores,  de Retepores; &cv  '".plusieurs  A ctinies, 
   des Ascidie! srogifîiëfësv’dix  ou-doti^e Holothuriés,  de  feèltés  
 D qçîs,  d’élégantes Am p h teu g , plusieurs A ph ro ifesM e s Néréides,  
 dés Planaires,! & c./&c.  Uaèondance^çittaoïïlïnaiïré  animaux 
 se  rattache  à4g iie   d e s^ iïo i|'.è t  dés * plantés miariné^hüomilieu ;  
 desquell^^s^|fib1^ gélâüriëy|^fiennën^G|m^Gher  leu'rr nourriture  
 et  leur  asifé.’^  •n*'''®  '3® 
 1  Considëféei^O'US  le  rapport, de  fo^bsiÿ|pfee?^ie  lf-homirie,,  lés  
 productions  2o o lo §^ e s 'r^ont  nous  venons  de  parlas ^resfetent  
 de  nombreux  et  impôrtans  avantages.  Les  Kanguro#  ^te^J’Ile  
 King  ont  une  chair  plus'  tehdfê' et' pids?sâVourenséf|ug^êeIlètles  
 anirifaux  du  mem^g^rd répandüs W r 1 d i r o n t  rnentyd  
 le  Womhât^3 reduit  à  fêtât  domestique  par i f c  pfcheurs- Angtôis1, -   
 va  chêfcRer5 pendant; fê  jour„auWmitiêu  destfdrê#,%la!  nourriture  
 dont  il  a  besoin,  et  rentre  le  soir  dans Ua" cabane  qui  lui  sert  de'  
 retraité.  Animal  doux  et  stupide,df-est'pré'éifûx p aH M # iN ïé îfè  
 dé  s a c h a ir ,  qui  nous'à  paru'préférables  
 animaux  de  ceTFégions.  La  làngucdes  Phoques m c » i s t ^   
 nous parlerons dans lechapitre suivant, est regardéeparies p e {^ |^   
 'comme  un bont&mger.  Le puissant Gasoar,  hauted e^^ 22*§$fe&  
 mètres(5  à, 7 pieà^V donne  desoèhfsÆ  la grosf^fedcVê^ de l autruche, 
   et  plus  délicats  qiie  ces, derniers  :  la  vianddâe^ët  oiseap  
 antarctique,  infeSriédiaire, pourainsidire, en tfed é liédA o q d ’dnde  
 et  du  jeune'cSçhon, -est  véritablement-etqüTSft  Les  iimombrabîes  
 trouvés  de  Cormorans,  de  Pétrels ,'  de Mauves4^ d e   Manchots»,  
 établies {Sir té rocher des Éléphans marins et sur fîiédont d dépend ,  
 fournissent,  pendant  une  partie  de  l’âhnée'/  dés  milliers  dceufs  
 presque  aussi  bons  que  ceux  de  nos  poules  domestiques.  Enfin,  
 les  crustacés  divers  et  les  coquillages  q u i pullulent  dans,.dés mers,  
 complètent le riche  ensemble  des ressources  que  la  nature  icrpre-  
 sente à  l’homme.  , 
 téwéqç5  d^sqpisser^rqpidenaept  le  tableau  général  de l’Ile King ;  
 cfg^i*  aux  tr.ayqux |pt;  de  nos.  périls  qu’il  faut  nous 
 attache r‘ maintenant. .»J’ai  oejfer'apportpsque^  le  io   au  soir,  les  
 naturahstesMitoié.ét  partis  pour  a|ler| Rétablir  dans  le  fond  de  la  
 baie^des, £1 ép h ans. i $l»ée và  la -celte  orientale  de  l’îté,  cette  baie  
 n’a^pas |ÿiÊâde  deux  liepgs^d’^vcrture^ikeit'.se.termine  au  Sud. par  
 t é | p a u  ^ p rd pa rtla pointeî00jpper. .Beaucoup moins  
 profonde  que,fa  baie  des-Phoques  qui  luiÿèsivfopposéfiy celle .dont  
 n»s^parlo^ a  |e  p|!éfeiêux7,ayantage^d’étre  plus  à   l’abri  des  vents  
 d’^agst^ ;  „m'ais  -pnè  n’es^ g n ère, moiiap dang#.Rauafe ^ ce  .que  nous  
 dirons  dans  un jn-St-anii suffira ..pour 'le . proWer.'-Tout  le  fond  de  
 cqkpjjbaie,,  l©|sgpe  nous.y  abordâmes^  éfoit  couvert  d’Élépbans  
 marins-jqui,  par ieur .couleur  brune ^(sèvdé;t,aGhp..|ent; fortement  de  
 ‘ïÇ^Msda''grève|d>lanchâ_tre,  et^paroissbjent de loin comme autant de  
 g^sspsi^^I^'-npires., A^no.tre  aspect,  quelquesjtps de,ces animaux  
 ^tif^ront^Kvpopssgnt  d’affoeux.mugis|pmens^;  d’autres,  au  contraire,, 
  ,^estèfépt,  immobiles  sur  leysahle,  et npus  regardoient  d’un  
 atéindi^Kentiet. calme.. 
 A   peraq,,,nous  .commencions  à  dresser  pos,*  tentes,  que  nous  
 P^ ^ ÿ a ro îtrgL   s jx t^ ^ en r s   A s s o is   -qukyenoiént. mfcms^faire tés  
 c k é jûm P   pté% ©bligeante^q^de  nombre,  étaient  
 deux Liandois  déportas  pour  opinions ,p o liâq u e s^ t  condamnés  
 à  la  plus, nûsérable Condition.  Le  chef; dé*, oesÿpebbeurs,  nommé  
 Cati^r.,  nous  apprit  .que^  depuis ^treize  molsj,  iLé toit  établi  
 sur l’île  ay.ec'dix  hommes pqgr  faire  la,pê^ie;des animaux marins,  
 e,fepréparer,  ayee  leur  huile  et  leur,.fourrure |   ]a  cargaison, de  
 quelques  navires,destip.ésjpour  la  Chine;  qu’il,aÈtendoit  avec  
 d’autant  plus  d’impatie|i6|.|ces  bâtimens,  que  tous  les,  tonneaux  
 qui  lui  avoient iété.-r.<y»is p^ofont pleins ;depuisj:foing: temps ,\et  qu’il  
 se  trouvait  réduit-.à  l’inactiyqé  la  p lu s .| i:| |n t r a ir e - in té fo ts , 
 -  12 decembrob  sur  les  trois:h4^rçs du  sojr,  à la suite d’un  vent 
 impétueux  dïrS.  O.^  nous  -vîmes Je  Géognaphe mettre  sous  voiles, 
 PLite,