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 est  presque  entièrement nulle; avec: f  ess’ Chinois:  Des  étoffes  gros*  
 sière$i-de. co to n ,  du  poivre ;  du  sandâi,.  du  câlin ,  du . r i z d e s   
 tripans,  de d’opium .,  des'; dents  d’éléphant, :de  la  cirey sont à-peu-..-  
 près  les  seuls  produits  que  i ’Inde  et  les  MoIuqueS;:fournissent  à  la  
 Chine ;  et  ce? objets;  àlfexception  de  i’opium  et -du  sandal,  sont  
 généralement de peu  de valeur; D ’Europe,  on y transporte, quelques  
 draps,  de  l’azur,  de l’alun,  du soufre,  de  l’étain,  du  corail■ P'aun  
 petit  nombre  d’autres - articles  de moindre  importance!  Tons  ces  
 objets réunis, équivalent à peine à la  douzième partie,du prix d’achat  
 des marchandmjÊ -embarquées  sur les vaisseaux* Européens',^ le  reste  
 se  paie  exclusivement  en  numéraire,  et  fesvnégOcîânÉdfes plus  iris*'  
 truits dans  tsfè genre de commerce , estiment  de ->4®  millions^  
 âü  moin^ j.-lé>" tribut  d’argent  que  l’Europe-  et ^l’Amérique  pe^enf-  
 chaque  aûi^>$fe0 hme.  Qu’on  calcule maintenant  la  progression  
 de  ce  commerce  depuis  trente  ans,  et.  l’on® sentira  que  si  lespror  
 duits^des mines du Brésil  et  du Pérou venaient à changer* de  dfrec*  
 lion, fccommerce de-l’Eur-ope avec laChine seroit bientôt anéanti. 
 Le Gouvernement Anglois* plus ques-ses foibies rivaux  les-Amé-T  
 ricains  a  et  les Danois,  a  dû sentir combien  les  bases-surdesquelles,  
 repose  le  commerce  de  la  Chiney^sont  ruineuses  :  il  n’a >rien  
 négligé  pour  le^ramener  au  principe'général.^desééehangès>^ [ et* s’il  
 n a   pas-complètement  encore  atteint  à  son  but,  du moins  il  a-ssus  
 se  procurer  de  puissans  palliatifs contre  un si -grand  mal. 
 -,  Les objets d’échange pouvoient être  tirés dédlEurope  e'lIe-mêkie. 
 î *Kégoci,an? habiles, navigateurs écon.omes  
 et courageux , les Américains','depuis quelques  
 â’nnë‘es-, sont devenus des rivaux'mcommôdes  
 pOpr les Anglols.  En partageant avec pes derniers  
 le bénéfice dît commerce desjottrruresà  
 k  côte N. O, d’An*ériqtfe*.etîe bénéfice plus  
 considérafaïe encore des pêches dugrand Océan  
 Austral,  ils -sont parvenus  \  multipfiéï^ leuÀ  
 relations  avec  la  Chine,  et-à faire  redouter 
 leur’"concurrence____ ^  éjàdes  njajntes  de* 
 armateurs  Britanniques  se  Sont  élevées  à  cet®  
 égard ;  déjà des lmoyéns -6nt-été .pT!.d|pSp 3ti  
 Gouvernement  pour  exclure,  les.. Américains  
 des mers "du  Sud ,  et  ruiner  ainsi  leür c’oni-  
 tnerce .à  Cantoung.. . .  . V:'îÿaiTs de,„tahleàu  
 général des colonies Anglaises aux terres Ausr  
 traies,  nous- insisterons plu? en détaijÿur  cef  
 objet, intéressant»  | 
 ou--des  autres  -parles  -du  monde:.  Ohét  pour  le?  premiers  quç  
 l’expédition du  lord M A c Ar #^eY ^ t'spécialement  résolue.  Sous  
 prétexte  I fe s fc f | |p | ,  à  foiré  ,  l|éj-i?âisSe,aux-/?'  Lion  e t d ’lndojtan  
 furent encombrés  de  tOjUîê’- jejp • q4èipô%;(itkïi^îs  pouvoient  offrir  de  
 Pitas  précieux  et-de»plusppàrfait.en produits -’.d^sol-,  desfarts.et  des  
 manufactures.  ,Qn  fit-"naître  av,ec, adrés^ëydte  fréquentés jefççgsion?  
 d étaleç:cé's.ô‘bjefsiauxyéux dès Gh i  i 1 es !- Macartney 
 formera e  e?t  £o>tçé  df’ehviio-rïy^tó-r--> ifoie -putf i-ôsjiiyer >àfo; ; nation,  à  
 laccouPjrle  goatrd’apcune  d-^S-oh^sés-qu’il âvojt apporté^ dans .ses 
 tgfî^ôuF  çetqui  concerHe^ès'tproduictioins-étrangèjfésffl^Anglet^rEe  
 yjent  d obtenir- d ^ è 4c§^ptusi''împojta^V-;Êùi^ ^ ^ |^ s  fourrures  
 optîgt‘é>de  tópt  tpmps .(fuR grand prjxfàlâ'CJine, A ^ ^ ijjC a n a d a ,  
 f  malhefoeusemehç .perdu pour, fa  Jakô|â|M!f#'.  de -Mmérique  
 donne  les pelleteries  iégplu^bjyi^k;-fos' pi ustfac^g^hteipr.  
 A   la payeur dèiléUrs/oibles é-tjfolis'séniéns ^Pès;;a;iy^ge's.f4Mipspa--  
 gnolsyen^Yoient  fait  long-temps  le-'principal  CQtjiiyierçe i, -sans  y  
 dônnênfgêpen4an,t  touteP|Wfens;iqn  dont  ily ê s^ f^ ÿ tib le i/S o u f5  
 des^'préiè^tfes^ivôfc-sJld’Angieter'rè  arme  toutyàv-jcpup,',  e n - i^ ^ .   
 une  des plusjbelfosjéfpforfo,  dit:yANCou,yER  luirmêmey  qu’on  eût  
 ^côr^y g i^d a^v se spor tf^ ef  profitan^degaHtefr^uÿjpt ;(fo  ia-fqi,  
 b(ksse -du  Gouvernement} Espagnpf prisjàj^dépOur5vu,,  elle,  le-forcè’?  
 àîMi> livrer- lé  port- de' Cox#;celui  d£#footka-Sound,  foyen u je-  
 principal  entrepôt i düldfcta m er ce ' dqsifou rfopf^yÿet,; à . r ec onnoî tre;  
 en» faveur! de la  Grande-Bretagne,  droit  illimité »de  trafiquer  tqpt 
 le  lbng  du rê^te, de  la ‘)è|qï|tf d’Ajné-riquejap’Nôrd  dd^Ôotka. 
 Dans îe meme t^efnps | l’Ai^leterr^éta’M^èit' à la Npu^le-Hol-  
 Jandd^d^ colonies,  qui, ^ous  un  rapport  ,semblabje, Jyi  garantis-  
 sWehydës^avantagé^  plu^'précieux  eppore.  Tous*lesC voyageufs,  en  
 effet.,  avqient^^sujc.cesslyerniéiit  parlé, de  1 eporme.apuenee. des Tha?  •  
 cSées^ ’etr dës‘ Cét^cés  'yerS^jès ^égionS' Australes'.  Les "fourrures  dés  
 Phpque?,„sansêtre,comparable^ aux pgjletèrâ^.de la .cpte N.  0 , ;et