
 
        
         
		été  naturalisé  depuis- piu&i^rs  années  à  j’IlêT-d-er France,  où, o p l^   
 trouve  maintenant :qiv afew^dagce.dans  ffsrivj|q3Sretï dant,JfiS >vfr  
 viers.  Divers  estais  ont été déjà faits  par  quelques  personnes pour  
 1 apporter  en i JforQpe ÿ  rpais j )usqviïp  Tons  ont  été Ainfr^çtuQu#*.,  
 ce  qui  dépend,  selon moi,  du  défaut  de  précautions  convenables  
 pendant  le  transport.  IÇ RéRONn’a  pas  été plus  heureux que-ses  
 prédécesseurs ï  cependant i’inutiüté de  ses  efforts  particuliers, loin  
 dé décourager  ceux  qui voudroiept  renouveler une  tentative  .aussi;  
 importante7 ?doit. au-contraire  leur  faire  redoubler  de  zèle  pour?  
 s’entourer  de  soins  plus  miputieux  et  plus  complets  ; Quatre  ou  
 <^®q  jours  avant  dp .mewo^ouss  v-mies,  AL  Pjêrqn  reçut* de  IVE-  
 G|ré  cent  petits gouramys  qui  forent  distribués dans douze  vases,  
 cbacun  de cinqà sia pintes de capacité. Quelquesruus de eespoissons  
 moururent dans  Içs premiers momensde  leur transportsSiir te  iVais-, 
 seaoÿ néanmoins trois.jonrs apres notre dépailL il  9% rfstoit eséose  
 quatm-vingt^rei^ vp^oi5smtjQim dun§ santé:|u^feite- Npusaî^ions.  
 i ’espoir  de  les  çonserver  jusqu’en;  France. *  lorsque,  avant  d’aÿfùr,  
 atteint  le  travers  du  canal  de Mosâmbique,  la mauvaise  qeaiit%d&  
 l’eau  donnée  pour  remplacer  une partie de  la; leur,  eeea^ionnâiia.  
 mort  de.tous.ees  animaex.sUP^  fXèepîfon,' 
 Il paroît que  jusqu’à  ce  jour ies^ariations. subites,  de  la  tçmpéJ  
 rature, et, peut-être tqtsibles^tages qu on éprouvé-dans  
 du C  ap  de  B onne^Espérance, où B. règne de^ùps^ t^%^|cbqfiet  
 de fréquens  ço.upsde vent, ont été  la  cause de la mort dçs g.Qeraniysf  
 qu’on  a essayé  de  transporter  en Europe. M,  PÉRQ,N.u:v,ok  pris,  des  
 précautions  pour  éviter  ce  premier  inconvénient-:  chacun  de  ses  
 YS^es, couvert d’une  gaze  légère, pour  empêébgr  que lesspcûssons,  
 en  sautant, ne- s’échapassent  au-dessus  des bords,  fot  enfermé dans  
 une  armoire bien  abritée  de  £ air  extérieur. 
 Je  remarquerai  que  la  putridité  de  l’e au-,  toujours  mor- 
 «Vÿ  aecthrrater 'dans nos  rivières,  et'procurer  ainsi  à notrepâtrie  une  nnurrUure.pett chere,  
 »  exquise,  sàffiBre ',  et  très-âbèHdattte, i ‘fe'  f 
 i p p   S E R R E S 'A t^ tk  lÊ S .   299 
 teîîe'^poùr  fes^oîssori^, pourront  àisémént  se  corriger  par  f  usagé  
 dés fifoès^ter$bri)%L)ôxirà\M si ^généralement connus  ét1 employés'. 
 dévrort-on^émer  ègal'emenb  i’üJagede  l’eâu  dé mér '-distillée  
 ;  Mâtil'Mé’i’jui  vaüdrféit  râié&x'saris’  doute,rCè  seroit  de  faire  
 de frëqüefteS’rdâc^^  süPl£lï*oute i'êt  d’y  réîiouébler -souvent cette  
 provision;  - If  mé’  Semblé  d’àdl'euts:  que - pfS1 gourâfrfys- •embarqués  
 sfe'notre-îbotd^éteidnr trop4'jcaH^s'^s  ïfâvëiecft  guèfe  que' 5  à  
 4npouces  de -longileuià)!  queîfes/vaseséqui les  cfontemoiem  étaient  
 trop  petffsrèufm  que -cès  înènèé^têlsÿéuissént dû  'être suspendu»  
 par  un  mouveftient  de  G ardian-,  fait  aveëcde  simples  cercles rrie  
 barrique^, ipmfé éviber'que  ræsÀnimUÉx  ne  vinssent!,  au ronfiâ^sè  
 heurteï fetintre- les  parois'.  A   cMs.', féflexioûs.,  que  l ’eXpérienCe- m’a  
 iuggéréte^m mé paroît-important, polir  lmilité.des  voyageurs  qui  
 v-oudr oient rcnoûréletëes mérnfes tentatives^def joindre ici quelques*  
 uns  .dès  pré cept^qued’illustre  M.  m  ':&Â.Q&æàÉfi,  arinsênés  dites  
 son Histoire  des qmpsstms.  ■ 1 
 dit*! âûlteüf^fMpfûr^éràÔfffl transport  
 èède ■ îëps. ‘ animaux  {J^ftoèssafosf  e s t l’hi v e rra  mo’ins  que  lé'froid  
 »  ne  sdit •tîèè-sigburèux:  De  printemps  et  IWfonine  le  sont  beau-  
 « p H  -méfes 'qfite'  la  saison  des- frimas ;  mâir f f  ferit  hoiqoiirÿ  Jes  
 to-préférer^ à f  été.  La  cMiè^r’âdroitbientck  frit péril tfes  individu»  
 »'«écCoutumés  à  une  température assez! douce ;  et rdkilieuts  ils ne  
 t>' ^esjsteroi-ent  pas  a  1 iiifluetîce  finie ste  des  6stge&  qui  fègnent  si  
 »  fréquemment  pendant  f  été: 'A 
 »  'G e'st  en  effet  un  beau-sujet  d’obscà-vàtroh  pour  fe  pfeysiefon;  
 »  que  1 action  dé  l ’électricité'  dé d’atmosphère  s&r  lésl hâÊîtâns  des  
 x  eaûx,  action  a  laquelle ifesOtit C’ouniïS,  fion-scÙlè’ïiileiiïrloï-squ’o n  
 y>  les  foroe  a  changer  de séjôür, mais  encore kfirsqïï’ïls "virent indé*  
 »  pendans  dans'de larges  fîeüvesuôu  dans  des  lacs  ittunètiséS, dont 
 |Éj|.  “  « rm^iéj pmdum  dréfe  tes fak  
 Æ|éAG£;PEJDE,  oA 
 P p   2