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 troublé, qfie  lacertitudeseulede  la fbibiës8jf$àé.âlle, de* ces  animaux  
 pouvoir dissiper.  | 
 Si  les' émigratiôns^périodiquies  du  Phoque  à:;ta3<^iB,p®  poen^ent  
 évidemment qu’il -répugne aux (.chaleurs trop. foBtesi  il  est une  autre  
 particularité de  ses  habitudes *qui-, l’ann,once;jégaleip©Hfc;'Lorsqu’uq  
 defesanimaux  repose .étendu isur  ta,  plage-,  et, que  la  farce .»des  
 la tin s -d u   soleil  l’incommode,  on  le  voit  soulever  à  diverses  
 reprises,,avec,ses larges nageoires antérieures,îdetgrandes quantités  
 dessable  humecté  par  l’eau  de  la  mer,c e t Jefijeter  sur  son  dos  
 jusqu’à  ge. qu’il  en,, soit  entièrement  a^ ive itiq^ ’est  alors  sur-tout  
 qu’on seroit tente,  avec F o r s t e *r , de prendre  les ELépfaans marins  
 p our  autant deg^è^esaoehest  rd 
 La plupart des sms çxpbieurs paraissent êrie peu*subtils dansées  
 amphihi^liL^aplarissemènt de  l’oeil,  la densité^très-remasquabiede  
 1’humeur vitrée,  observée déjà par M.  X>abillarpïèesé^ la densité  
 non moins  extraordinaire  cristallin,  tout annonceJqu©d’organe  
 de  fePtf%Hapa parfaitement  appropriébà.  la  nature  du ^fluide», dans  
 lequel  ces- animaux  sont  surtout bdeaânésjàl vivrep;CSjt,,ypar  ^pjà  
 padînd^peu propre, à hiemilcs  guider dans  un antre  élément  :  âdssj  
 n©  peuveet-iis^  surtout, en sortant de  la mer,  distinguer le&igjgjjg|gg '  
 qu’à de  très-petites  distantes. D ’up autrçqqté,  le  défaut, d’auriouie s  
 contribue  pein^tre à   l’imperfection  de  lemr?buïe‘*  qui  paroît  #tre  
 assez mauvaise. 
 -JLes ’ ÉJéphans  marins  sont  d’un  naturel  extrêmement  doux  ©t  
 facile  ;  an  peut erfer sans  crainte  parmi ces animaux fô n   n’èn  vit  
 jamais chercher  àsfékneer: sur  l’homme,  à moins. qu’ilssnè fussent  
 attMpljti ou provoqués dd fs  manière  la plus violenter,Çem’èst  pas  
 seulement  sur  le  rivage  qu’ils  se  présentent  avec  ce  caractèrede  
 douceur d td ’inhcyoeqcefsauvent, m’om ditlesipécheHrs, de feuïies  
 Phoques  d’une  espêc©  infiniment  plus petite  que la   leur, Viennent  
 nager au  milieu  de  ces  monstrueux  amphibies,  sans, què  ceux-ci  
 fassent  le  moindre  mal  à, ices  débiles  'étrangers.  Les  hprames 
 AlfilX? TERRES’  A U S T R A L E S ; 47 
 euxmêmes peuvent  impunément, se  baigher dans/les  eaux  ou  les  
 Éléphàn-s  ^etrouvent'ïréuîd^sans  en  avoir  rien  à  redouter,  et  les  
 pêchëu^^îaôeoutumë^J^fàire»- Il  paroîfâuss'i que ces animaux  
 srint||iÊ%tep|i,M<eS:?;d?ünivéritab,lê'-attachement  et-d’une sorte  d’édu-  
 éatiàh partiefifrifid.  Dans  le's. premiers  temps’de  leur  arrivée  sur  
 i’île,  un  des  pêchdüàs^Angjois  ayant:-,pris -.en  affection  un  de  ces  
 mammie ?', “dbririt  d^st^kuiîarâiSes^qu^h  ne  feroit  aucun  mal  
 àisbn protégé:rLpng^tempsfyari milieju dufarnagerÆe Phoque vécut  
 paisifile'- ee-  ®urs  J-dipêehéur  s’approchoit de  lui 
 pour  le^êàr^ë^et.-dàns peu  dé àhoiàpl  étoitis# bien  parvenu  à  
 l’^p|tÿ.Q^j,ïqùf|^duYoitrïmpTLmémewsèlüi}®ionter  sur le dos,  lui  
 enfo^eddèahras'.dans  la gueule Jlé  'faire’verjir énd’appeJant ;  ep  un  
 pSot »frçeri animal dofciffe>iet -honnÉaisoii;' tout  pour  i^mpfdfecteur,  
 e t ^ t e o i t  1tout'Ædë^sà'‘(pa,rti#ins  jâmàfe pffefiserde^rien.  Malheu-  
 fëusinent dépec-heur  ayant^êpvquelquêd^èrfe/altëreâtion  avec  un  
 dê&‘é î c amàrad'e% ïdèlofi^ei',  par'uné^l’àéhe  ë1^4.f^©è Vengeance^ tua  
 l#Phoque/addp t if-dé>sori  adversàim^eiiri’es^pças ’seulement  l’JÉJé-  
 phant marin,qui  se> distinguéépàrxe  caractlrerdîmt'elligehcèlét  de  
 dàüeeür  la  plupart dêSfàùries'ispèt^rdÊfla- mëîfie famille  le  partagent  
 avlà  foi,*,- dé k^lûtéursjdl'pùs  o n t(odnservé  plusieurs déaits  
 pàrèfl|;à ^çlui  que je Vffïsde rapportera: ■ (füel'qdë'bofis et quelque 
 teccipJdBtidjg^lfnam  >  voeeque  
 Jftgéfepset  '■ Spect'acùlifi  edhi-, 
 biicb^t^thi tant iriùinditt%^eemi^/fiohiineivocdtiB  
 ksP?H%- CX4 RI  R ON B JE i£  T, 
 P%l§pJ” 
 < ^Yid{< ego  in  hac  wbt.  (Btin'onjâ ƒ   Jtitkium  
 ’^iJ^in.sic^Çfriumfoj-antoj  a  quo^ptr U tam  
 Europam torahebktuxÿdnstitutum, ut adwofnen  
 cûjusv’ifr.i •Principis*  èftrîstim’f ,   Icèw^gaiïdio  
 fijfectus  quid voceobstreperet; ’et -contra 
 aanpntito.vel  Tvjrcâstoièî- heretico  aîi'quo\plv.t,ê  
 obinutèscbret.  Quàmodo  'canes^ tèrrejtres  eliati$'  
 Miédtijinnhuil.-'LYSSES  ALDROVANUUSa 
 De në* jours (^177^, il patut'«i ^<mi.s 
 un  Phoque cïe ph-. d<j2cxlttinurr... [6 pleut]  
 de longueur, «J^wjfdu^^.MVslABARoà  
 DE  LA( VER'N-I,ÈRE,. riïedèE'iWde,  cette vdlé,  
 Si’çmptess'a ;d-’adi^sser, â  M.  PE  Bîï-FEON  les  
 ^MÎs 'Wans  ^«'DoOle (aXIaHvoïx  dt  son  
 i>>ïnaitre,,MH ^renoffi-ieUe  pesmoo"1 qu’il  lu*  
 » ordonnçjî^a  Jiots .deM’eau,iipour le 
 Vcàtejs?çr et-ii Îéch,er 5  f o s ü g ^ ’une/ciiaiê'  
 » ael]ë JJu;soafi;ë dëïseSjnariVies;, «W:coêdnc-'  
 m teur.se^touGihoïfi auprès de  Jbî  lorsqu’il- était  
 (  B-UF^qNpjSBppléînent, 
 toïrit- \ I ,pk(g irjj’ffi ) -,1, 
 ■ ^E^h, BüffsÔN  lutmêirie a fait des obser».  
 vat,ob':  '■ fameù-x  Phoque  à 
 ventre Blanc ' fr'koca Leucogaster, N J , qui fit