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 Telles  sont  ïcs'  fcpoM'é^5  que  fai  cru  devoir  faire  aux  
 plaintes  articulées  par  ïe  Capitaine  Flinders  contre  
 M. PÉRON-,  j’ai  tâché  de me  dépouiller  de  toute  prévention  
 particulière,  et  de  présenter  îa  question  dans sa plus grande  
 simplicité.  Heureux  si  j’ai pu  convaincre  le  lecteur  que  les  
 deüx  voyageurs- céfèbres  dont  les, sciences  déplorent  si. justement; 
   ïa perte*,, sont dignes  1 un  et  iautre,  par  la loyauté  
 de  leur  caractère  comme  par  leurs  utiles  travaux,  de  toute  
 notre  estime, et  de  tous  nos  regrets. 
 Paris,  abut  18 16.| 
 Louis  Freycinet. 
 *  »  On  sait  que  le  Capitaine Ma t th ew  F lin ders  est  mort  en  Angleterre  I e ^ M Ï Ï e t   
 i 8 t4 ,  aTinsànt  mêm^e.ou  & n   voyage  venoit  d’etre  ‘mïs  au  jqur. 
 TlOMS 
 noms  des  officiers,  aspirans;  savans et artistes 
 \  frit- m 
 jEmbarqués <gày,r<  f  expédfyo)s~‘de  ‘Découvertes aux  Terres Australes. 
 A^j^î^l^ffià^&ïécéde r'cP'M. ^  n?om|raes  gëfsonnes qiA,*pa#Vaiscfti de latité  
 fouvpar d" >utfe1'  mord  .'ne*tDnt èa^;âIIées^|liS(^kuxïTerïes Australes, ensoijt"i$$ièe$  
 â 4%e-td!0 Er?^eeV‘disiIe^Utp,)iîencenidî)y4de  la  campagne. 
 ^'■ IVbord  de.  IA  col voit e Mgj]|ï Td/ljpIbïCgp. 8oof  
 Rentrera  Lorient % 25 mars Mc&g 
 '   Njp;©5LAS  JU 
 {  Ee  .dÉ  SAiNTEétetQix ^. . .   
 yPjEjtR£r|kr i l l a u,me  G| w P W :  
 *FRANÇ^S-AM\àÉÆAUI0I.V.s,,t-. Ü  
 i'De  FreyLm m i .’ Il 
 •* J E A^-'A^OINEy,CAŸMA|^ÉN, tif.i 
 1 RVÀ.>C <{£)IS-MICHEL  R^^SARD,.  .. 
 Cjyiîain^fîe  vaisseau-, Commandant <Je  
 ,  ®(»îïA^l’IIf-’dfr-Filànco 
 le  1  - t .  - 
 Capitaine "ckTfie£ait*  ;  dtF>atcjii&malade  
 '<  isin  lp  2 noVeinfei °si^MS'£| 
 LieUtèDît^t dfe|S^s|alfijî faissênrialade- à  
 file-d'é-Æ;ranCB'»0ljf avril’  1 86 l.  ■* 
 JEiÿâ'qnant  de^ais^âü^tàfssC ràlfade  à  
 FlTé-de-Êr^tep^  ayril', ï‘8;è& 
 Tmseigngi  ;  ’fait  Eiaa tenant 
 V ;  ^iro^isoife^cinnm’cM e^ ) 
 ■  i . cpiîjSn4<lft&&&fe grade 
 J  îf|p  £nars  iTOfefc. 
 *  d& 'Vai sSte an» ;/feis s£  malade  à 
 s.  * ,IîèfdeJ^oeicë'’ le  avriI^tfa^Sü-, 
 .TjngéniW-constfuctejur dédira, marine^’  a  
 rempJj^ïè^^metroHÿ' d*Ens eigne tâe  
 vfesearffaejkiis fè 2.^sIpteiTÏÎaïp r 801,.  
 et  O T& .d t( Lieutenant  depuis^ le- 2o 
 '  t i M l w  ; ■ lil 
 TOME  II. d