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 3? géographe*  son grand «^notetl’éqhPii-; 
 ^ page  qui  ' en  td^posoîf  l’àrmërnent  ~ ? 
 : »' avoient  été abandonnés,  et  pràbâblêk-1j  
 ». p e n t  jqndiqs.  ,L çT .Ç|pitaiiie  
 »  avoit  éprouvé , Tdarfis  le  dçtroit5deBass_, 
 -ij un  violent  coup:, de  vent* r,J.è’efoit ~îe  ‘ 
 » même  dont  nous  .avions  ressenti  les  
 » effets  le   a i  mars,  mais  à  un  degré  
 » piiis- foible^dâhS  lèïiâéMàit dé  l ‘Lnvçs% t   ', 
 »  tigator \  II  fuj  alors  |épa^  de  sa, 
 » çonserve. le  Naturaliste  ;  mais  ayant  
 '»•eh  9èjmi&- dfejl terrer  JftrroMmes‘ î%t 
 temps  , jd   pvoiti ^ p ftï^   fei  ï  
 »  çôte  depuis  le  port  Western  jusquîau  
 »point  de  notre  rencontre,  sans trouver. -  ; 
 »  aucune-rivière j  aucune  ouverture  ou  
 it abri' propre  ay  mouillage.  Je  lui  de-  
 » mandai s’il avoit eu  connaissance  d’une  
 » Hf étendue  que  l’on  prétendoit exister  
 »  k  l’entrée  Occidentale ,du  détrojt d e   
 » Basa l il n é l’avoit pas vue  me parut' 
 »  dputer  de  son existence réeHe. 
 . » Le Capitaine Baudin me fit part de,  
 f«> ses Heëbuvertes k la terredeVanDiémen, 
 ».etaussi dp.sès'ériiiques  d’une  carte an-  
 » gloire  du  détroit  d é ifia » ,  publiée  en  
 y>  i lo o .   II  trouvoit  que  la  partie  Nord  
 » du  dëfroit  étoit  tracée  d’une  manière  
 » fautive  ;  mais  il louoit  l'exactitude  des  ’ 1  
 » parties  Méridionales  et  des.  îles  qui  en  
 ».sont  vdtslnês.'  Lui  ayant  f i o è f e   une  
 » note écrite sur la cafté même,  qui indi-  
 » quoit quela.côte Nord du détroit n’avoit  j 1  
 » été  vue. que dans une  embarcation' nôrt-  
 »pontée,  par  M.  Bà s s ,  lequel  n’avôit-  
 »'eü  aucum moyen-exact -de  déterminer  !  I 
 *  C’est  le  détroit  Lacepède  des  cartes  .feasjiçfJjsça.J  a  •!*»*&) 
 soit la  latitude’,  soit la longitude,  il en  
 » paWtréfoMêy'fe’à^àrtt.'pâs  êiîcore  'fait  
 » attëstÜfî st  ‘*c|ëîâ.  Jè  lui  dis  que  depuis  
 »XGÙ%vojtpufelré' d’aùtres  cartesîplus’ dé--  
 »  taillées  du  détroit  et  dp  ses  enyirons  
 ^ et <jue  s’il Voulait nàvji'girér dq|?©diér'të-  
 » aveèf-mor pendant 
 »  pqriEercl^t^qie  fendémainitaatm  ,  un  
 » exemplaire,  en y joignant  le mfém’éïr'é  
 »  explicatif; (La  «eboSeHéfant  j 
 »q^etcnirnai  avec  M.  Br<sSWN--#jï>di d”  " 
 »  J'ê'Ifîis ,iMtpèwsioepris  'd r a ^ ^ q u é   le  
 »rCaprtÜio'e* Ba u d iN  ' n^eul  fait  attcünfe  
 »îtenut]'fe'j«^ûi  connoitre  l’objet  de  ma  
 »  piesenct4 SiiîVetfefcore’in a in n ù e   ,  mais  
 ■ >9,<j&ufmelriI“nTt p a n il^ jliis ’disposé^  me'  
 »qfonjici  des i& tiiïclio ô s,4je fiis heureux  
 »   de '[essIreeëvou.  Le  fendemam  eeptn-^  
 ai  dihnSçj^  b lh cn rs  ayant  appris  de  n îc f  
 >r-faaqoUÛs"que  Pdbïet  dè^mon  voyagé  
 33„1Épjt aussi de -#irq d |s v décdnyefÆ.es , "il  
 3>tènj«igna plus de  curiosité.  J e ^ rn   dis,  
 4-el’ûne1 fnaniîsrê  'g é h é r a l é - ^ f ^ '1 quelles  
 »»avoîensiété ragSËj opérations,  particuliè-  
 »s-rwAkfï dàns  fes-îdeux ->gbMs?Fer  la  
 33t{|Titüêfe{àlaquellèqe' ^ éM j'é lë v é -d k h ÿ   
 *:fe|plüs  gr-and.r^ndlqbaî lâ^ituktfomdïr  
 ^ ÿort Lincoln*■%* d ù * fe i tîèùvoit dè ’l’eau  
 »dgu.ee j .je lui montrai lem p JervTs b,  qui  
 une 
 "  preuve des^afraîelussetYieijsd.ju’on  pou-  
 M V0^ ^ P [ 0CUrer  sur  la  g ta n& iî e   c q u i  
 »   est opp’ÿeé.-k,ce  cap ,  je  fjui>fisjVQir les  
 »  chapeaux*'®  peau  de  kanguroos  que 
 *ï  (ï*f:Réihai‘qüons  que  Flenders * dit  
 erpréSeteèhricî n’avoir parlé de^es%p;é-  
 rations  qoe  d’idre 'inahîêrè'’gènérifé-Jet 
 rélittivémeht aù'xgôifèîr:'e?iî'liîle:des  
 Karigaroos?  "%B 
 *  C est  le  port Champagfiy f e  ckrtefe'tfîunçoises.  (  |^ $ p l .   ^ 'a t l ;   z.e  pàtt. j  -■  ”  
 b  Capî'd’jétlembert  mü'plïrie^^fe'' 
 c  L’île  deS” Kanguroos,  ou  île  Decrès  des  cartes  ffaài^dfeeai  {  même-pioche j. 
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