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 Hayigateurs^es  plus  célèbres  de  sa  patrie: 
 •En:se:-réfugiant  au  pórt: Jankson',  Philipp  obtint,  il  és!t  vrai,  
 d’autres; avantages importans; maillions  le rapport de  la fécondité  
 dnsçfi, vil  ne  gagna  guère  au*change :-nu|  pàys’,ien  effet ,;n’ës:rpl,us  
 Stérile.’que  les» è,nvirons’  .detîë'  port* magnifique ; ron  ny  trouYe,  
 pour ainsi  dire ,*que,  du: grès  et*  du  sable ; * et  durant  une  jgrande  
 partietde  l’année,  toute  là  contrée ihanque  d’eau-do'uees'Partout  
 àiiieursiqnir:fA'N^t|ÿèllelHo.üahde,,la végétation  dun  tel* endroit  
 seroit misérable,  et  cependant  rie'n  de  plus  richùfsh'us  ce  rapjfort ;  
 rlew de plugtétéptni: fet A ÿ u s  magnifique même* que • ié&iieux dbnt  
 il  s'agit,  D ’innombrables1 arbrisseaux, 1 entremell^de  plus-grands  
 arbres#jS.eidisputent  tous  lesipôints  d^ve'^sol ’ a'ride^tpbrûlant ;  
 ç e^ î «pour  aibsi  dire ,  Une'1 suite -de  bostjnéts ' eflchànBeurs!;'^S, '  
 dfóis'siiÉ; | pele - mêle  diyer^fe  ^pèfeésyde  Mimosa,  rde  C©Ôeà*)!dte  
 Gonc'bypöó  de Mélaleuca,'  de  Sasuai'Hia-, «'derBàhkSia,  de M^tto-r  
 sklérosV^Embothrium,  de  Chorizema,  de  L e p to sp em ^ d ^ x o r   
 carposjj  de'Phormium,  d e 1 Cycas  ,- de-Xanth-orrea,  et  une>,£ajufë  
 d’autres  vé|p*aux,inconnus  en.  Europe;  là-brillent-l|s^5-fleurs, les  
 plus  éclatantes  et  les  plus  agréablement parfumées;fieux f e u i l» |   
 toujours vert, répand sur la campagne un air dèffàjçhéur qui  do'rine  
 un  nouveau  charme  à  .ces  lieux, jj et  récréé-, agréablement  fa  iiûe-  
 Heureùse.-illusion*.aimable artifice,  que,semble  emplôypfiaï nature  
 pour  déguiser'fia  :Stërilité  profonde  dont  elle-- frappat-^s,  tristes  
 hordsf| ||| 
 C e  quon observe au port Jackson et à Botany-Bay/xêreproduit  
 d’une; fipjnière plus;îQU -mpins  sensible-sur  les  divers  points  ‘d,è*da  
 N ouvejfiç-Hollande : paxtqut, au milieu des sables’ brulans /ùrèÿèsênt  
 de  nombreux?  ■ végétaux  jeç#ééfo ,-poUr  p# .  çgntinenL  sauVage,  ils  
 semblent sé dompf^ïe -aux ardeurs, e tà  l’afidité qui le  caractérisent.  
 ÇpiÿidéréesL^ous  çe:!dernier  point  de  vue,  la. plupart  des  plantes  
 de  la  Nouvelle -Hollande  me  paroissent  dignes-  d’uné  attention 
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 particulière:  peut-être  un  jour-viendra  où,  transplantées au milieu  
 des lapd^S  arides  de  nos:départemens-méridionaux;  elles pourront  
 y fournir des .bois utilésfet  d’élégans  bbsqùets!. . . . 
 Le  Chien, et-le  Kanguroo  sont  les  seuls mammifères  terrestres  
 dont nous.ayons  pu-constater l’existence.  Divers  débris  de Baleine  
 accumulés%ofe|!lë?fond  du  havre'* de*.'la  Princèssey  annonçoient  
 évidemment  qu’un  énqrm?®. çÿia'cé  avoit  péri  naguère  en  ce  lie%  
 Quelques phcjqtîës»ont  été  vMs;.çà  étîà.dans  la  nié il,  sans  que nous  
 ayons  pu  en..prendre ,;a,uçun ‘pour  en  déterminer'ƒ espèce  c’est  
 principalement .sur‘une .petite  île  voisine  de.Bald-Head,  que  ces  
 animaux  habitent; ;^<$e$t  dîâp^ést cèla'que. V an.cô)¥;Ver  a  désigné  
 .ce-tte  îïeisQÜsi-le nom * tfe; Ile  aux  Veaux-Marin-sf.  | ,  
 Æes  oiseaux - de- terre* et^db mer îétoiênt,également  rares  au port  
 du,ftoi- Gèjbfglsfiîèt  tqa&‘ $ë. m o n t r è r e n t   dçfian^,  si  farouches,,  
 qu’il"fût.  presque  imposable  d’en  approcher;  une  telle  défiance  
 nous  parut .Etre  lè;:ré§ùîtat  de  la  efi^e-.continuelle  que  leur  font  
 IShabitaris : dû Teste,  ces$teeaux appartenoient aux mêm£^èlp||dçs  
 quê.icëfi^’dontil  a ts^^fëlsjiVement  étésfai%mention  dans fié .cours 
 çet  ouvrage./  Il  faut  enjfexcepter  une^  Sarcelle  remarquable  
 pj|f  ûn  appendice  membraneux  qu’elle  a®®®*! re  ,• bjêpi  et  dont  
 M. LÈsuEURi|arvint av^Sbçaüiéo.up  de peine Ù.|êprocurer quelques  
 individus. 
 DéRous les lieux ou nous  avofsjséjpurné à la Nouvelle-Hollande,  
 le  popt  du RqinGebrgei est, aprèsJa  haie  dès;;.Ch#|is-Marins, celuf  
 qurnôùs a fourni du poisson  en plus, grapdefiabondance :  lès espèces  
 i%4?é Logent  pas  très-variées.;;  mais  elles  4étoient  excessivement  
 nom-Rfeuses  en  individu^- On.yyiêehoit  entre  antres|upe.sorte  dç  
 fqo^bres,  aslez Semblables  aux Maquereaux d’EurQpe, mais beaU-  
 mùp, plüs petits que ces dernfeps,'etqui1.slguls auroient pu  suffire aux  
 besoins  d’une  flotte  considérable ;jjes  autres>éspèceS  appartenoient  
 au^genres}Spare, MullÀ,:Sçqrpëne, Labre,  Ostracron, Squale,Ba-  
 listes;.&c. Unîoeuf de Cartilagineux me frappa sur-tout par sa forme