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 sç>n$  au  ISJprd, de  la  plus Septentrional é  des  lies  Lacepè^fe.. Djlns  
 j^ffeposfoon  dMgpreuse,  ii  faissa tomber l’ancre pour attendre  i*..  
 jour.,  L,aVitesse  du  courant  mesurée  a  son maximum,  pendant  la  
 nuit ^ llo it  à .près, de  2 milles par  heure."* 
 Le  11  avril, nous traversâmes  de-n'ouveàu ce  groupe-de bancs  et  
 de  récifsVqiii', fors  de  notre  première  campagne;  avait-été nommé  
 par  nous  Bancs  des. Baleines. 
 D ’innombrables  légions  d’oiseaux que nous.vîmes  s’élancer,  
 le  nfiatin,  dû con tin mEt.yers1  la pleine mer,  et revenir  à îa nuit  sûr  
 la  grande  terre.,' nous  firent;®Supçonnei; qu indépendamment ‘des  
 Jràuts-iipnds  littoraux  parmi  lesquels  nous  nous-ta^vions,  il  em  
 existe  encore  de  plus au  large,  susceptibles, d’assécher,  en sur  
 quels^oes  animaux  vont,  durant  le  jour,  chercher qpieyâoumture  
 plus  abondanfoet  plus  facile.  ; î 
 L e   iv2  avril, nousdreçûmes un  cirage  violent  de  la partie du^Sud  
 qui. nous  fitlchasser  sué nos  ancres durant  la nuit. '  , 
 Le  1 3,  à  la  pointe  du  jour,  npus„ôâmes  connofesanç^de  plusieurs  
 petites  fies auxquelles nous donnâmes  le  nom (ÎTles^mériaiit  
 Nc[u§  distinguâmes aussi,  àinversés.répri^S*  qui^ques partie^duh|?  
 terré  que  nous  présumions  appartenir  au  continënt.  -Cp'fot?n|jpis  
 eps parages  que vint aborder,  en  i68&*Je  célèbre D ajvieier  :  il  ne  
 mit  cependant  pas  à.  terre  sûr  ce  point;.mais;  il  alla  jeter  i’aEpfe  
 dans nùi4 .baie  que nous n’avons  pas visijééLçt  qui  gît à?péupfef<|isr  
 tance dans; l’Èsi du mp Ëgv&feé: 
 Pendant  la  nuit,  nous  eûmes  beaucoup  dJifclairs  très - vifs,  et  
 une  atmosphère;  extrêmement humide  et  nébuiei^é ^circonstâncé;  
 fort rare  dans  cesparagespainsique  nous avons  eu déjà  l’occasion  
 de  lê  faire  observer  Id ^ d e n o t r e   première  exploration  de  cette;  
 eoteP^ 
 Le  avril,.dans'la matinée Pnous eûmes encomja terne en  vue;, 
 mlis à une  trop  grande  distance pour pouvoir distinguer les  détails 
 de,-la côtjfoNous'  passâmes®^nuit  au‘mouillage.  Un  orage violent  
 .  fit thass^^ww^jp^^*oiÉ^qui  f&Éigüa  tellement éOn^éâlle ^què  Je  
 •iendemâmM rompit- a  l'appareillage ;  l’anCre  fut  perdue.' 
 peu  de-tettips< après* que  nqUS'fûmes;^oüs  voiles foon  
 aperçût  la^ferre;  nous la  tét'ônnûmes pour  tjfoe  île  de" deux  lieuef  
 , #ë>dongÜ%iri; ét  qui  fut nommée  Ile  Ckfierdli.  A   neuf  heures  du  
 matin,  nOus  nous  rapprochâmêsLd’un  bantPâpfolTéterîdu,  dont  la  
 -partie Septentrionale, qui est rocailleuse1 et-â fleur  «feàu; était, alors“  
 entièrement làjseç ;  la  sondevr|&ée à petite distance, né trouva point  
 dédond  à  Un  banc dé fûbld^ous  f  eauj-t-terft à‘  ce  r é c * 
 s^prolongé  à  grande  distante ;  noûsfne. àrOyOTs| pas cependant  
 qu’il  aide ^|vfoîndî&''à  frfé  CafSarelli, 'V^plaqueffe  toutefois  il  §e  
 .vÆrige. 'N^ds  avons  derigné -cefoangér  spt^l-e  nom  é&% éeif Brué,  
 du  Chef :de*; Timonnerie  dû  Çasiearrrmi, ;jfeurîe  hofome  rempfi  de  
 -^ d isp o s itio n s ;« è le cp o u r   la  géographie*.1  ’ 
 Sur  lès , trois neùrës, la terre'futd’e ri-ôûveâU découverte de  l’avant  
 à houC.Çt bié|fjck* nops  la rêponnûmes  pour un groupe dîtes  dont  
 f i i î e ,  Ble-jfdM ;  io ^  de  rrotre^câmpâgneprécédente,1 “nous1  avoit  
 par# tenir aû continent* Une  brume* epMlserqui  régnoit  a  fJio'rifcon  
 a ?tèîtè  épdqùè,  lut  câilse 'tte  cfetife ^^feùM^tegulré^f qui'  n’a  pû  
 Éfjé&rè réellement, d émontr ée * pour’ nfefe qu après! afoistilssion dOnds  
 relèvemens' et,la construction de iMs  earfe^pitest * pour  cette raison  
 qugde  ptsemier; volume  de' eetfe  fLsfoire’,  ppg-  i j f ,   mdkjue fauA  
 seûrént au  Sud'du cap Molieny-tirie’&aé Berthektd qui  n’esitee” point  
 '  etÀe.fut jamais  quefantastiquefo Yoy'e£ ’ terKàMpgénéml à  la  fin  de  
 ëeteolume, ) 
 Apre|| noias  être  éloignéfode  la côté; pendant  deux  jOÉtrs,  nous  
 nous  en  rapprochâmes  le 1  soin- du  i*8cavfil,  à  te  haùie'ur  de|  îles  
 ^Champagny.  Nous  ràévâié'es;de  nouveau’  tee  groupe'd’îles  et  la  
 partie  du  continent  qui  e d l^ '4WsÉfë';^Hfîus  fepéîhîes-  ensuite - fe  
 ■ bordée du large,' Durant  la nuit,  nqûs  eoeies un* viol eût  orage,  ac-  
 . compagné defortes' rafalÉsfj  qui  soufflèrent  successivement  de  tous- 
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