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 ÿâtjment  venoit  deperdre^n^^ê^s.grq^S; ançres;.iJpnrdp;,jp4t>l.e  
 avoit  été^coupépar  les^rpches^ 
 Dans  la matinée  du 4 y , : l’ingénieur  Anglo.isj M.  Grimes„,v et Je  
 capitaine  An: Cuntberk^d,  M.  Robins^  vinrent .neeis^èndre. \gs||.ê  
 souQnôs ^tentés,  et  consentirent  qbligeammenL .à -partager - no tre  
 frugal' dîner.  Ges messieurs nous apprirent,- sur  l’expédition du  capitaine  
 Flinoers  ,ies détails'snivans.  Peuffe jours,ap^sjrtptre*arèi^ée  
 au  port  Jackson  .  cet,.officier; étqit,  paçtEa\^^,^fei4^eu.x,“navires,  
 theJhnstigator. et  the Lady A^/i^Avpûu^a|4g^,tejmiper^reconnois--  
 sanee;de  la côte,orientale de iarNouyqlîéÿÉlalIantle  tarda pas,  
 sufiiçesTbords  dangereux,-àisetrouvèr  dans.la  situation  la  p lu s^ i-  
 tijjne.  Après  avoir  perdu  une,partie 4e;*esian*g|^rM..E‘k«n*© ers  
 avoit  été^ contraint  de  renvoyer  saf ppserye '^hÂ^adyîM^m ,:fa  
 qui  il  n’en  restoit -pas, une^seulepget  qui par  cqnse.quent,^|^^u^(it  
 hors d’état de^continuer  le, voyage.  Ge .dernier  payhe  étoj|,rentré  
 au portj4ackson.la,veille du.départ, du. Qumbenknd.  E^n!sJa;reeqap  
 noissasce^périlleuse  quai  venoit  d< |g |eu te r 1 intrgpidescapitrajîje'  
 I ’linders  avoit -fait  quelques .détouveMes  importanjtÿ^et^otani-  
 mentpelle d’un très-beau p o r tv o is in   du.cap :Capri<p^çi. 
 Tandis  que  nous  nous ,entretenipns.  encoce  a^fc-^lçsi'’ ofBciers  
 Angloi^nous.vîmesirCparoître  J[e~ Gtjggmph'er,^gui  dWd-arpas 
 à  jeter* l’ancre,  mais  dans  un  lieu. différent  de.;ceiuEquil  g^pit  
 occupé, d’abord»  N os,, vivres  se. trouvoient- çpuisé^f.nnp’us^n. attendions. 
  d’autres avec une grande impatience,  lorsque nous aperçûmes  
 une embarcation qui partait du navire .et^se dirigea^ sur nos tentes.-  
 Nous  pensâmes  .tous  quelle  nous  apportonsie^ecoursaïdont  
 pn  n’ignoroit  pas  à-bord  du  ,-Gpagrapke) que  nous  avions Je  pLus  
 pressant  besoin  :  nous  nous  trompions. ...  •  Le  (Commandant,  qui  
 Venoit  .se  promener  àr,terre.,  .n’avoit  pas  voulu  laisser  embarquer;  
 dans son canot les vivres que  le .chef de, notre table;,  LhariiîoN, 
 avoit  destinés  pour  nous  t  pne  telles in^lfeèncJPKbusi  affligea 
 d’autant 
 d’autant  plus;  que  |§|rat  diQelel  annonpoit  une  tempête  violente  
 et  prochaine ;* el%féêliàta  dans  la  nuit ;* epû  {$êogrMphe,  après avoir  
 e^epre  perdu  ses ancresy futtobffgé d’apparerllen de  nouveau pour  
 ,s’eB&i-r,*a« milieu  fff%iÆênèfee^v|^sdè^détrpiFde  Bass.  Dans pet  
 appareillafe^nous'euiùfestife malheur  dêcùpèrdre? notre.,chaloupe,  
 qui jse^|r^uvOit^dai-»vemorque ?autm®m.pntiOù* Je.-* câble ‘ fut, coupé,  
 et  quE&t -mise|én  p.ièc,e& e t ^ ^ rj&vgéë;avant  qu’il  eut  été  possible  
 <^ffæpêmbarquee.  xAu mâmbinstant ,|ïlî 'êfatp'çud'Gtt iesi gcàoches  
 du' gou'Vernaii^d'eilà^corvette  lurent ggd^ésf-par  l’effort-, des  vagues.  
 Leqciel ?é|pittmoiriO>çh^fgés'e^|giî©si nuages*  la  glûie« tomboit  par  
 jo^rens;  et-les Æafifie&tle RO# SvQ.vétoienpsi) vioienMs ^(ÿulil  fallut  
 amener' toutesJes%vçiijési,^èi mettre à  la  leupetit  fo c ,  la 
 ppu.'iüojise-'ft  lejdq£  d’artimcmseulf igept. D&ns'Geîderaier ouragan,  
 la  igoektte  Anglois-g# ne ,futpa s  „plus, heureuse^que  h^Çéôgrâphe  
 q f^ s a vd ir   perdu-ses  ancres, ,elles ^ tro u v a i pb^dleinent  fprceejà  
 prendre  la.fuite.'?  ■ 
 ■ ViTandis-que  notre., navire-, -ainsi  battu  par  la- tempêté^- erroit  au  
 miben-  des - >réciff-e v^q^io-ts. du. détroit^ nqcriç, propre..situation  
 devenoit- a  chaque dns tant plus  critique.  .La itente  où, nous* logions  
 MM.  L iesghe^AuEt --, ,Lesueêr1% moi:,' mise  lambeaux- et' renversée  
 p ar< lies. rafale s ;■ ne suffisait pluspour nous garantir despndées  
 quitiouâiaGcabJjoient  jour êt nuit;,.mais .©ë^désagEéapent n’étoit  rien  
 en^p-mparaison  .de  la  faim,  qui  ncmsqp&eê|^it.  jLes:  vagues.défer-,  
 loi.enttavsecitant  de-'violence  le  long-/des la .grève,  qu’jl ;e û t   été  
 imppssible-- d'afi-fr-y  cherchai' J es* .co qüMIageaaiont  nous  aurions  pu  
 nous-nourrir.  Tous les,animaux 4s’éto:ientretir,és dans-leurs.^tes„. afin  
 de is& sous tr a ir e-a ux--t o rr pn s, d e pluiequi  tomboientdu, ciely  et-nous  
 manquions des moyens^ nécessai^| pouçles y poursuivre.  II. ne  nous  
 ^eçtoit' aucune  espèce-de, provisions ^dfip;o.un comble'de,peines,  
 1 éaû  du ru-isKeauf .pêèsi duquel^ nqsctentes; étaient, dressêe-sy contenant. 
  un^.,tf§s-forte .proportion*.d’oxide vddvfer,, .nous  donnoit  à  
 topgun  redoublement d’appétjt  désespérant-..  .  .  Nous  dûmes alors-  
 TOiütE-11.  -  -  " '  ■  '  1q