
d u c h a r s o n d e t e r r e
belles employées dans les,Machines ■de-Hou.Ülerie^Cïnf de c^genre'trelfc eft
dite Poulie ' -m o b il e lorfqü’elle peut s'approcher oiP-séloigner dw poinnfixe
auquel l’extrémité de la corde eft attachée.
Les Poulies-fixés t i iu g m s a t e n t point la force-d® la puiffimce : elles ne fervent
c u à changer les dirë&ions & à diminuer les frottements,, qui feroienttrès-
eorifidérables f û la corde ne tournoie pas avec la-Poulie, & quelle fût obligée
degliflêr fm - un cyÜndre immobile ; car il ne s’agit guere avëc cette machine;
que-du frottement-qur fe fait delà Beulfe contre fon effieu, frottement incorri*
parablement plus petit que cèliïî de la corde fur un cylindre immobde,
Ainfi fi une puiffance foutient un poids par le moyen dune Poulie fixe , la
pùiflàncè fera égale au poids. • " , ‘ ^
iLnen-eft pas de même des Radies mobiles } fi une puiffance foutient un poids
uKâfehé à u n é Poulie mobile; cette puiffânc&fera la moitié d n p o id ^ il^ g ü 'e
' la direéiiori du poîds>&'celle de la purffanc^fetont parallèles ; car dans ce cas.le
diamètre de la Poulie mobileeft un-levier dù.fejcOÉd genre yflont le ppmt d ap-H
pui eft à l’extrémité, la puiffance à l’autre extrémité., 8c leîpdid^au centre. |
Quand une puiffance foutient un poids àd’aifë'd’une .poulie dont la chappe
eft immobile, la puiffance eft égale au poids. Ces,Poulies^ nommées Podiesde
renvoi, -comme celle quifè voit en jeu, Ph-XXI, changent la direaion.* &
empêchent-les frottements que feroit un cylindre-immobile. i ‘ - - -, _
, Si une puiffance foutient un poids à l’aide d’une Poulie ,_à la chappe de laquelle
le poids foit attaché, les cordes étant parallèles, la puiffance n eft que la
niditié du poids. . • , -
ï Si une puiffance foutient un poids à laide de plufieùrs Poulies, la pmffmce
éft au poids, comme rffhitéHü^îf^bîé *<îu nombre dès Pûuries.d.en-ba*sî'*ï ^
La m ^ lic a tlo n des Robes eft extrêmement utile e f>M é b h a n iq u e ^ g u r
aider', foit pour accélérer le mouvement; mais' elle entraîne d un autre côté une
plus grande quantité de frottements, qui peut q u d q ^ e f^ e v b n i^ fi conftdé-
iable, qu’eUë àbforberoit la plus grande partie de la force pouvante
” D u E fM t ç dG Ü e s -M u t i n e s ' - p i î / y ' r a p p o r t e n t /^
Le Treuil ou Toûr,lettre S , PL X X X V t t , eft une machine fçrmée d’un
tylindre ou t ’eft-à-dire , d’un morceau de bois de forme.çylindrique,
appellé auffi Tambour { ï ) , qui repofe fur deux appuis inébranlables..
| Les: extrémités oü tourillons dit cylindre, 'font difpofés de maniéré à pouvoir
tourner facilement dans les deux trqus ou fentes des appuis.
Cet enfémble forme le Trefàl ou Tour, c’eft-à-dire, un^gros ■ cylindre^u
(i) SttlSédianique, Tmfour yénMiotTymp*
nus, Peritrochium eft une efpece de Roue placée
autour d’un axe ou poutre cylindftç$k&9 au foin-
met de laquelle font deux bâtons, ou IqvitSt* fipl
foncés. afin de pouvoir plus facilement tpUfner
l’axe pourfoulever lespoids qu’on veut enlever.
Voyez Axe, d%Qjs le Tourneur. ■
effieu
E ,T D E . S M S M I N E S . IL P.ARt. f a
e% u ^rticiâUérement fafcbce.Qu Éj cylindre
Çajlele à dans le, milieu de,,e^ |y l|?^ ç ,.Uner0Ue fixéeperpen*
qjkulairement. ou/^e^pârres en trgvysjpoude faire tourner
< & fouVel' dune
TOic.dan?J ^ p gnrJtreuil placétffijfil^ bouche du
S.unay A WÊJr >t B lk X X X N lI t
2 ^ ¥ e- B i
L a r?uek ^ la- PuifIance lam a J / lt e '! entt|ibent
dans le u r ^ q lu tio ^ le tambour > auquel eft' a ttaché qui, fou«;
tient.le fardeau, & qui le le v ^ e u - à -p ^ à ?mefore q u ^ s y l lp d r e r tq q ^ 0
^ * 1 ' du J | F » '|, 'i ’| l^ ^ aura} pa^ouflq l^cirGonférenbe,entiers
S P B H le'P9ldS S S é g a l e
cylindre, O
eft'lfqrt. petite ^ektivementÿaufp^oids qujom^euü rele-
Ver, il‘Faut ^ p o u r% if yta^ lq u ili^ .Ju o jé 'ra'y o n
ment grandÿ ^ e t p é d r ê ^ ^ ^ n ^ n i e n ^ -e ^au gmeo t^fo ripmbrè.des
;^SU®S * * en tnuruer les^Unesiur lesta^,fre^gar. le- moyen
^.ffimts & d^ i i^ | , k & | f n4e-nt la maqhîne .qompofée,, de Cmple qu elle
étoit ;jonqus -emparlerons àtceè 'Article. |
cea W ^ ^m m e .àû ta n t de rayoL.d/un^mêflfi'rQue^tm yoi't
bouc,produite’ par la f o r c é e s J e v ie ^ , eft nrnms.utjÿrm^mrè^èlle qui
s’opère par. la roue ; mais auffi le volume des leviers eft moins embarraffant.
A xe d a n sk.Jm b ow r, ouEJfüu "dans, le Tour; %Ôuô] d a n S j^ ^ ^ a ll ’ ^
| | &M./mÉlement Tour : Axis in Peritrochio.
C ittê Machine, ekploÿéeâJlever des poids ,'éft cbm'pofé’e d ^ ^ e c e de
■ ■ H P o ^ cÿ lin d riq u e ,, qui lu i e f e î f c f è n ^ à u f o m ,
'de 1 3X2 5 ce rcyhndre pofé h o r iz o n ta le S fl ^ p p e l l e T ^ ^ I M l , & le
tambour.fefnô)É^6x l c , ^ : ^ • rVi:v‘f ^ v : : ; v V(
I e. , y « S cylindre, fc » c p d ^ e S a ^ S B ^ i t de tembonr -
portent,le nom’de rayons., en:Latiri Scytala.
, Bâns.te.mouvement 'd uT o u r, une corde iè-roule fiitf‘Ie-cjHindj?èi‘& fitic
imonter le poidj.
On rapporte à-f’effieu.dans le,Tour;toutes;lés m a c h i n e s o b i l ^ r p è » ^
n i l eff{«tfè.fetetpar le moyen d’une-circonférencélüttambburîîè^ï^un
cy indre, donc la bafe eft dans le meme plan que cetü^êif^oriféreiicecomme
ydans.lestMqulins, les.CufeJa^ les Grues. ,
S i> j ^ «ynne ie'''raouven:
a dSlîihpI
WÊfBARBO^VS t£RR$, ê â p a.
8 p »
Sffkw» fe jüfa.1
gifèUé’à tiers-poiatt -
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