
88 a D U C H A R B O N D E T E R R E
recommande démultiplier les puits ( i ) : voici fa jtaéjhbde, j^u* kqaeljke le Lecteur
doit recourir, à k Planche XLII: la figuré ï , eft le W e in .danÈfequet
©n-veut kire ries recherches j' dans lesspoints #
«rent. au jour plufteurs Veines » <$t la principale .que lon-veat tecpamkie^
» Je procédé rie la manière qui fc» : fur toùté krfikkee de # A., £g
» avoir pereè perpendiculairement enl>as* rie iC jlïfquà.eé que j’arrive à <£#,
» alors: jemarche dans la même rikeérion> ris je pkfiçiiÉie perpendieukiremenc
» un petit puits en L , jufqu’à ce cpl’cm arrive:^. la Veine M H , ott bien au
»fécond lit de pierre ften heid m couche ( eniâte on marche
» encore dans la mêmé, dire&ion ; rit à une pareille diftance, on faitiaU -point;
» M'.f un petit puâs q® tombé perpendiculakekentr envJ, ^àÿenrirok o^Je'pn
» trouve du Charbon de pierre qui s’éLeve rie# én iV.
: » Si Ko*ï rt’y trouvoit point rie cours dé .Charbon: y eë feroit une mar-
» que que les lits de pierre que l’on a.rène'Qnfcrfeerifaifànt. lé .puits ».fojst.aUr-
» deflbus du cours du Charbon ^ rit pat conféquent. il- faut:ma*eh.erc en arriéré
» dans la même cftreâion, faire un puits perpendiculaire m &, dt dans le,ea$
» que L K ne fuflène*pdmiï des coucheS .de Charbon, on le-. trouvera. çer-tai-
»nement rie la manière fùfdice en o- oui eâ.pmim
»Èorfque l'on lait comment les couches o u s ’élèvent ou penchent *
» on- proGede rie même , & l# n continue ainfr en enfonçant ries-îpjâfét rifexk
» maniéré qui vient d’être détaillée ; M n’y a point d’autre différencèsà y obfèr-
» ver fiïïoa qu’en forant ( rik n r ) il faut bien, remarquer* rie mettre de c$té la
»pouffieïè qafon rapporte avec ht cnilfer n f.8 ottn?. 9 , d® kvtaæriere-d»
»terre.
» Cette pratique par laquelle on va, comme: difëne les Âagloi&j*. àïlav décou-
» verte-rie ïa pente des Métaux ou rièsChàrijbûSi parle'iomraèt, eft à la vérité?
» plus dilpeftdieufe que celle des trous dé fbnde;4mais quand la pejsqpifitipn-
’ » p o rte ftr un> terrain neu f, rit quon-nèconnoltp0inçdEMinedeCharbpn.«kns
» le voifinage , cela eft bien plus fàr pour découvrir Izpuïjfance, rie kïpéntpv
»tfes Charbons, ehofès très-effenrid.les à cotuïoître fi ons veut tirer un, parti*.
» convenable de- des Mines, dont il fera parlé plus! au lon g , quand il s’agir»?
» rie la maniéré de bien exploiter les ( Cours ) Charbons de terre lorfqu’ils.
p ont été découverts.
. »Sïau contraire on veut cherches: du Charbon de terre dans un? tefreki oüt
» i l n y a ni mer, ni riyiere à haut rivage qui puifient indiquer l’élévation ou«
« l’abaiflèment- des cours { flo t i firata') couches ou lits ; il faut enfoncer âffl
» hafard , jufqu’à ce qu’on fbit parvenu au travers de k terre nourricière du
»fable (.Mo }' ou au travers rie l’ar^ille (Lencvy rqai r và l’un» ni l’autre, ne
» courent point avec les lits inférieurs, & montent leurs têtes jufqu’au jour ;
( i/Art. IV . M an ière de rechercher les Charbons de (erre dans les endroits où l’on n’a pas en-;
cote fouillé. Ati. p7^0, Terne K
p rit
'JE T D E S Ê J S ’ ï ï. Pà à if; ■ ggj
'PtSi qhandon trot^jMa première pieâ&ou lit d’arrioiS^fp peut exactement
■|piv^irr&’ obferyer.fariirédfi'dh', fort élévation, là marche mèlïta-pté ou fa mar-
apîche dêfcendanÉeiÿl'4 lors||P'pïôce^ej comme il-'a-'été-ditJ, puifque, pour dé-
» couvrir des ^êpçhes de 'Ghalbons1., qui -dans un tèlfellfirip :ÿ peuvent fe trou-
»yerles unes-furies autres, ibn’y-.a-pas de moyen-îplusjfûr què^eeluK-dôBrfàî
d^crjpriqn rit^la fi'gftre;
„ » Eafaifànt la aiëcherché ries J^jfôtbohsîÿriôiti.avéc laitartiefe,1 foir avecries
P jjuits,v-il‘faut4iq|rcher emayanriou dans la di«-
-dans laquelle on.’trouvebqûeiesi ^tetssélavent ou s’abaiftbnt vers le
»„cêntne- rie larterref».' •
ï:j#0ur,peu qçe ^ ^ a it'fà ili'i les principes^furi'Jdfqâèls les Hoüillèurs Lié-
^gepi's ’qprigjiirent dêuh'iexploitatioih, oir tecrinn^tpaque léur^pplîcat-iôh" au cas
riqrit 4 f /s ’agitjjif,ajMmgranri-avantage fu nies ^yènripsop of4 üparr'M»; Tri ewald.
:■ B es llèita ftlmê^jïi 1 e pe|ic s^bint i # , a rencontré, rir| 'Gharbbn4
?riohtjtljéléyati0n |f e J ^ ^ 6i f t i ^ ^ e 'F' enFuÿ, l’ëèû)ncàméh*^rie. riüu--
g^pjéfepteAauOu^mBtâS-.'rÿuàlité';1 iL.paroif'.biemÿl;U«> naturel dte
ptGcédfft a lo rIfîc rn fe rïç ^ x d u ,,in 'êm e ,bure i datjs lâ' partieUMplüs baftk-'dâ
npimagc ,'j|gpur- aller^reneontrep .en mon|:atit.toute§,« les p e in e s qujl^peuveitt
^jpaftquefepi^ÿpîir ,étéy ùiÿèri^es. .pat .l,e, bure : j les#!anches Ï I , III $$Vt.A8ç
p X I I I , • d.e la Ile .Partie., mettent dans le , plus* grandï*jou^a,Supériorité1 rie
la,mecbod(^^égeoÆi^ar^aeniôés’, pour paflèf d’üne'Veinéÿ dans une autre
fan|Sre|punïh ^ .au tan t dp puits -rié ;jo^qs',qn'il y-a. de Vèinès.
^ ^ ^ tte ïrép é titib n de fouilles^confeilléerpar M. Trievrald , entraîne viftble-
ment uîferiéMnfe q u i, dans le s endrqits où les. mains-d’oeuvrês^rocoheres ÿ
peut ê r i ^ ’a>utant>p|us.cônûd^».blequ’plie eft^mul^pliée pour-„quatre, ouplu^
^purs^Ujjes-^ c e p ’eft.ipas inçonyçment. vj) il.a^^rapp.é„un autre
»|^ant"a®^uede^*K^r£Ç|de l’4qadémie de S to cM io lm ^ ü i/^ h e rc h é %
îj’é f e 1 y ^ Y ? rél^ 1 dahs >Ies .Mines d e la ;p.rp.vipcei Schonen .^u S,canje-i
£1 f e J ^ d^ bureS Jia^tarrîèïe-fùr-les couches mêmrâ'
rie ^ ^ ^ .g n ,tto ^ ,t3tous de .foq^^ voyèa page 39 a , jélçignés. -les.^uns - .des au~
rie .J^H&UïSri|gntaine_s. d’uzrapw r^ces jÊ^|gSn^Xtu^ei|à|é^éMiftanCe les
unes ries autres, forment qntoiangle^ qu i, par la rçatçhe & l’abailTement .ries
Y eines ,|^ndique.(^riireélion ries .fau ch e^ 2^). Il paroît p.at,oe?klie,’mpus ayons
rapportai l’articlerips Mines .de Chatbop^d^Angleterre, IIIe, de cette IP
Pairie«, page $99 ù qye cetto5|papiere ri^jflger de l’iflpÜnaifbn des couçhes,, ef|
-M ’ prariquée dans ce Royautne : ^ 1 ^ df^^^ta|àncesri§î%%%uçlles
elle a fon mérite ^ l ’avantage particulier qu’on doiü-lut reconnoître, eft relatif
aux. pays , où les Vei^^s^fe^oié^itirrégulières. rit fùjettes à-ries?îferëihs : on
I 5C*)ï*oîCeme Afelume des Mémoires de l’Acâ- I ïappertée à l’article de la Géèmétïié fouteriiù*
i. idémre d^^ede, pagejujy.^ 'IgWBT , 8e>éi
^ Auteur en a don^g la^^^^onflratiQn | ■
WÊChabJIüW ^ e Terre. IL Èart. P r o