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14 12 T A B . L,
■ ^Etalages. Partis "du ^fourneau dës^gtbflè^fÇâj
H W W i i H B portion do loU'jafcjra|É|
E
.quand ;el^e.
t'Qnjbe.en^ü^nS^^Cor^ent^enfemble la^figure
<funëtTrémie I2T£.
'Etalon du] Baril V^J’44; * .dépofé à^H^t^(de
^efure^/5vir^,v' vente\dù ^Gharbqn^.dq terre, jdaiis
PaîrisV 4 8'iJlDeî Moules .qui-OQ^fervi ^*^fèb|;^u^rr
les,pelo^tes cle Charbon de teçre apprêté, ve'adji^à
#b'viër ^ ^;à Ja.-.fraude. | 1258, .130®.
Etaïonneur. ^Officier, commis pour marquer &
'étaîorinër .les^efoeV;^^|onMW','Jd(es^J^(gres
- ■ Etançonnage. Etançonnage. des-p^^^^^S^^“
| # $ ’ de Mines. lehs propres - à y .être
employés. yyp. Voyez Epaulement. Voyez Fuftage.
2.32, 370. Y oyez Ramure.
. Etàuçofihàge Jde, 1*. Mine de^/Carron ea Anglé^
Etaji^o^rÿ^Mleè* un ‘ puitfc. -f -.' , ^ 2 ‘.
1 Etoupe. Bourre de chanvre, de filaffe, qui dans
. quelques occalïons peut être remplacée par »du,
cuir :- pour iâ platine du grand piftop^ du cylindre
de la Maéfeine à vapeur, on fubftitue au cuir une
mèche molle bien trempée. ,1 op 1. Pour boüGhêr
d è s p e u t âuflî .Çe fervir de: moufle ’,
| | | | | ^ Mechès^ r - h >1''
r'v Etr^nglpeyStanchée -} ' t( Areine $*^281% Voyez
Areine? / I HjjI _i - ..V ’ 5~; , - -
- ^Etranglements auxquels les ouvertures d|s; |puf
papes & robinets font fujetes. 1028. Comment les
éviter;. Idem. jÊechpchie des effets des étranglements
dans les Pompes méthode dont M. le Chevalier
de Borda s’eftTervi. dans cet .examen. i©6i.;
[î 063 .^é|fe»9nûmportânte de M. de Borda. 1 06$.
' fl -EtreJiLÏonner. (maniéré d’ ) dans les Mines.d*Anjo
u ^ * H *’•. _ I ' '
Y Etrefillons.mmqW^ Idem. ,Leursg^:es|fpr9porr
données. ' 5*62.
Etain. ( Mine £ ^EtkmJ^mmdUCé/dans h pierre.
Minera Jlanni Saxofa vulgÂmylfégU.Jftunatm^p^^
phumptetrâvar^pflmnK^oW^^^in^path^il^r,
. Gfçà&. Nè^doit .pas être^n^^ayÆç^a Minejgp-
xïfîéè ,mqmmé;ê::dans les opiératiohsrmétallS^quèW^
Pierre d’étain. 1237. Nature de^ cette Mine , dans
la Provinçe de:;j3§ | 0:^7. Mine $Étaijp
yxyjlaïlJj]]ée,~MineraCryJ^
lyedrum , irregûlafe plerumque nigrum. TPolf. Idem,
Eontp.de l’étain de.CornouâiUey^au feu de^hàr-
bbnÆjerre. . . « . a\ .: , f -
\, Étain de, glace. Servant-à faire de la fou dure légère
j les Droguiftes appellent l’étain ^de.glace..,
JBijjhutfi. :V oyezBijmut)i.
'$ÿEtat de dépenfes :£ exploitation pbur, la Mine. de
Richard Ridley. Etat de dépenfeslparàÉîlie-
tes pour cet .objetr’dips les^ Mines de^Çharleroy.
■ ■ ■ ■ )ASM
^JEmUjWqirè.4764. Maniere jhcemtçMe^o^n^
«ter par cette qtpMe. k A > 7Wk
.. Étrangers'.:Droits, qu’ils paient à Liège pour -acquérir,
le mçtier. 343 « Que paient les maris étrangers
des jfilles de. Maîtres. Idem. Les meres étram
.geresj des filles de Maîtres. Id,
Étrangers ( Entrée desr Çhjÿrbons Àe^tefre ) en
France; fortie de;,ceux^de^ france.pour, l’étranger
^fôrmé^un objet .important dans l^balance du
)3^^i;erçe. 492*
Etrier. ( Architecture ). iopj?1. Etrier Sufpendu
- ^ rT«iiffi^j^.jrégplateur^X^7*:^ ? P ^ chevHJ«^ ;
erpchèÉs qui en dépendent. •IHem. Voyet Fourchent' ■>
A- Ëtrpke^X Weiiie.) . .
] Études, de l’Ingénieur deMines. ■ V'oyezjjngénieuïi'
, Etuves, ou Fourneaux à la Çhinoife. Rangs, pour
châuffer les .appartements. aye,e le Charbon de
terre .,©.u, ;autre combullible. .1279.’ De plufieurs *
efpeces. Kang pay^.Qj^carrelè, Ti-Kung .* Kang e« .
e/ïrflde, dâns; lequel- on. fe tient aMs. ,JC«o-Këmg-.
Kang en %#|iile .ou -à. cheminée i - Tôjig-Kang. Tous ■
:%pis c o n ^ i ^ t s V ÿ P a t t i e s
dqn^^çoni,pjtf^2 Kang. Tdcm/ Détail^de çS^ui v
a rapport à la ^én^u^iodÿyM^®)i^^^^É?'^280.
.Différences;,d^Kang. payé, du;Kang en .eftrade.
1281.. Maniéré' dont, on échauffe le ,Kang. Idem,
.P^çaitèidQ; lâî^ojmqilïànGe^générale
dçs-Grains - & de la mouture par économie , M.
Béguillèt, a infété .à;îaifüitè:M04jn i^émoirpyeiMoyé
de Peking , ;pMiee des
Grains-à la Chineune defcription- de ces Kangs
Chinois » Iqp^paroît,, être traduite-.de cele
été_inférée dans les Tranfaâions philofophiques,
Ijgqui;;#©;us ■ ayons'Tu^^S' § y a Joint le;;piani .
géométral de cette étuve , une coupe dans fa longueur
, umîncbupe ^perpendiculaire danS^^ggeur^
^^^^^^^^OHfdntMé^^tm'M^S S ^ ë a ^ p’lanche
.jçepréfentant üne maifon-\Çhiapirê^pb'ûf^wr^-voir -
la multitude des ■feniêtres; ^aÉin de
faire miéux^juger de là vchaleur' d’un, Kairg .-Epie .
th,ermometre doit être à fept ou, hiuit, idegrés. aii-
deffus de^la'iglàce^î; -taqdis'^qffe^ vdans Jafââiîbn il?
eftàneuf&à dix.
M^BëguilillMc^férve ^due;^la^lfied^iëa^de)j-:ces
Kangs, bien maniée , remplir oit l’objet qu’on fe <
©^^^^S^&ê§^&es' à We^i
I feu du fourneau
l^ ^ ^llen mêmêv^mp^^Sr-;|^C''.ufagesM®ié-
.nagé, ^qlieujdév^hemi^éet’îMue^es .Kangs :imur-
rqi.ènt •même< - -fave^qù^Mué S .
Hôpitaux i dés^^tel^s^^de^tç^es^^mairons
des^i^opitàux^'
TEiiejiteidient du Charbon de terfé
vqu^oHfeéf^jïul^éyeës4fedéfahg^
pqurroit ^dirè-que l?ont,,été le§v-Minesr en fmflè;
I I $9. Eventement du Charbon de terre emmagajinè
-e^U in ^ a ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ . M. VêdqJhijad^p\^oint
cette opinion. 13 37. Particularité du Charbon
de terre d& Charleroy *r aWtdj ^ d^©^yngrj^'-q. f-.g:
,VoyezEluie^Eoh^àj^méiit. Eiph'râJemefttpjLd. grofïè
Hpuille^perd^moins a l’aij-Kqite’^'^H^^é^menue.
1244.
^ Eventilatio linteorum^j%Batu. ( rYe^tiîatioh piff-j'-
fapi&^^r les, ^asTl§s^u^ffmplés.
Evantoir. Qüv,erturé^part-lculim,e-que jm eft. en .
ufage ,vdans les Mines 4’Anji^u^dBjplrad‘qder.pour
obvier au défaut d’air. 5 62. s
-Éi&qi&tions;aU/£pflJfiilz^Hii\Roi.‘ Par^çrêt- .dii'.
Confeil du 1 2 toutes des demandes
:&:.3çonteffations.-#. procès. civils & criminels,
furvenüs & à furvenir pour raifon de l’exploita-;
tïqn >dés Mines,, ; l’Edit du pois
de; Février 1722 , font,évoqués au Confeil.
Intendant de Province.
Excavations. Dilatements. Su. Abftert feu.
Exemptions de, quelques $xpïts, pourtles bateaux
en Fàffe-deboucs. .. . iK 635*
Exemptions, libertés, privilèges, dont |e^ Aff©"-
éies;, Maîtres , Marchands faifaut l’oeuvre Qu-'
vriers*.mineurs ■, font fkvôdfés.. en. Lq.; Boi;
Charles ¥19 dès l’an 14 13 > ‘ après ^âvok. iporté en
faveuï
■
D E S Mm T 1E R E S.
y r r S P S K *4 *î-
.•recherches très-curieufes, far M. l‘Abbe‘ AiüeUon,
1 Millet ™ niei'e d° “ t kS AndenS exPIoil:oient les
m m m & f o m m n l n i i i i ! .
de°s2F ,h ? 6 , ■ri lSlr 8sS- M- Quitte . Directeur
nLTer TqUeSqefe,ren iiSuedE’ a da^ l«
r \ r ^ Ml f ge de Mines fo 1 t ent bn i [I
toutes les facilités qui peuvent dépendre des Jufti-
.ÀC.'d j y l ' *bil.'* de I r.epie-
nenrs (vo -ez jtt -i ien,) f lit dëfenfe i ces Seigneur
‘ de naçiieilèr ie M neu'Çs dtevfpnJR j.. îume,,..& a *1
employé^
dans ces trava ittiVoirf/
.■ ? I erraine. K«j)c a- a i Fu i es
^.u'r.ma- Voyez Fapeur, Ær.
1 de terre ren_
• : , r11 fV 1 « itü
r d S r i M l trôulh
ta U in .J.iN .i. Iti V U '-H st
* H B E k a . n..n oe „>» (,,-UH HM H r
feignement de fa qualité', n y a Ëxi B B I B
jB fe.ufe,qflfe|(ulBiiureufe, %fto r^ cgK àd e i,;ÜÙ
la qualité,:pri! 1 1 ve du ( iharb > i de terre, x iy j.
Î_ \ 'iî' or leéliaufS ge d‘une ceitiù e ra iniere,ileft
encore aifé de ne reflentir aucune impreflîon, ni de
1 & d’“n feu dans lequel'il en tè.
du Charb >n de terre.-(M mn ). Voyez Odeur. ,
- , U -, t? , qui. eft fenGble du i
diüerentes lubftances : elle eft produice par une.
d:?ecartérJes inestif s aua-es les partie
des corps, & dès-lors l’expanfibilite' ne peut appartenir
qu'à des corps aâuellement fluides. Expan-
î < ' A V r 9 i n F / J - ‘rneau , Ven \ . I
txpanfibilite' du Mercure. Voy • Mircare H
m & * r " u l n & <-‘E r,' ' J-/'.
ffiÿ-jV lie.que fuit la i u | l a q u e l l e les par
ties d un corps,expanfîble fe repouffent les unes les
J p r , c’eft upeiffiiee dé la re'pu'IGon que ce orps
•forcé par la compreffion à oc uper un efp icj*
E{.l.B5ÎÜt.t.'l. .J llllf .dlnTlÆlïir.. n,TrT-r’ r h c C l B
la compreffion vient à cefler , avec une f uctci, >le!à
aTj.0^ e^QAi pi iv. 1
' Dos notions, données fur 1 1 xp îli
biHté , il ;réfnl(e, qu’un corps expanfîble eftélafti-
que psr cela même a lans pour cela néant soins que-
. H [ H I H M H
? V ' ,r‘Crf '
f en
Ërrôp éi^u; 'c. , dan slt., MliVe^Ç
laiflënt à délirer beaucoup de chofes. 9^0. Comment
ce
’iï. P 3ur obfervati 1.1 bnroaiétrîgTsW^
m^poqS^MfSOTm$[erÿet)ii|àdè-
«-■es diOl.ii>sid
4? la journée , dans trois diîerences profondeurs
L * - it’S ^ViG^ùMl WeP?H
Ehül-b d'MSB.:.h i ^ P V. ).c3-\M i
ié iéfeente. Modèles de ces Procès-verbaux au
1' ,s ■ , H |
d’ouvrages fouterrains. 833. Voyez Vifites. VoYez
E/?imafio/w. 7 M
E^ZoifÆtion des Mines ^Fentes d
'& Filons, completcement de'crit dans les fîx premiers
Livres metalliei, par Agricola • f e ®
g & ;;sd *u î id ^ ^ M f f ib d . j s k chapi.re r r i;
B& Hahp m Tgt.4 M M i.iSe trouve Kr’ ce f i i S l
dans 1 line ydopedie ,. au mot JWÏne, Tome X
c,et odY:rage.:, les 1différents articles’
^ U‘ con“ r"ant ^exploitation, feront
p °rtes a ’eur Pla“ dans cette. Table des numeW
W .? s > S peuvent^fe^p jifer des c iVffi Aces u
« S daBS,ce '•Wss/tement compa, é du tra-
vail des Mines dans fes différents âges • le Volume
des Mémoires de l-AcadMdgsInfcriptions & '
Belles-Lettres, pour l’année i 777 , des I
k l'XJÉ&Ofc ÛS-WÈRUS. II. Part
affila' cohft®
f.u l'!^2'Ÿ ’1*^ l raoz4I^fciiptb)n d 'f,u ll^A ;iiS l
^«floimun'des Mmes d$èk1i fm $ 'A ' à t e l i
meme. plan. 2o3 , 4dx jufqu’à [a page „5 - , Forme
de
Proprietaires de Mines ,,pour la conduite de leurs ■
fouilles. 623.-Vues du Gouvernement François pouc '
. q n e o u r a g e r , de
Jîomrnai d expfeteièm ,- • ■ ,g.? 9 ..
1 * V v ' Wir, j'tn r iy îd . V>JV^ « I r f » » .
Mnes.m S m é m ê ^ m m ^ A i s ,
Un pelades îc f-VW s a plfisUT ■
F fahntn'îmte détonnante. .
MM ,r( j v*.
Exportation du Ch,
1 inomenil;trjîff JîjC 1 1 ni-t
#ueÿt .dèfl^Uler, 8erdefMMrê.-.<'CQ^feAll^Sûi '
ou la quantité. .685. Du Fotez en géne'ral. (îno.'
îtt^traiSeiirit'Noifliqi'iêjr.riiî'lbn .êtdfeïivlë'LvIffat1.
!Ll,tl epren.tur^dè-Muies jttÂlürbeh yoj
M ^ H i l,nr r-r m\J tr^és.|ir.ir rié.-.ilr3S.-,;f04>i»
P Bire-àWn^rfkVre'Àrl.
grand Bure , Bure de charge âge. 245. Voyez Burej
. EMimiipit du ChâSmdaré hs -Mm&, ou qhârf^'
; | P « ^ S " 'P a r Min'&s e% W ^ | â e f f lea.te(
Pi ut ,s ™ Iever en une joutne'e d'un puits de Mine j[
elt relatifau nombre des chevaux, àla profondeur du
Bure, fur-tout^Iafforcë de la machine d’extra&iony
• 37. Eftimatiom deJa-charge de l'enlévemenc ''
total, auquel on.parvient , en fîx heures de travail^
da1s las Houilliere deLiege, ver.ih’ui- .hev.rix.'
> 1 1 W W W
Mu Vaj: ,!du.GJiioi . u n No fWB ifio yiafeS fM
de ces VaUknx en ipa c a cülie r^ ^ ^ ^M à f e ^ B
1 Pr^ei?te ^1:-© q ' ce calcul ; nous en avons été
^feuits depuis ce’^M ^ b n it rd uW fâW « !®^ !
ciffementaux mots-Co^e, F«y, GAiof. Ëxtrac^
tion journalière * dans les;;HbùiIIieres Jdë Liege. j
8 j8 ; 8pp. Supputation. ; » r Id. i i i s j
-, t^nqhveidais U GhifÆV'rt-!de3s'Ôhvr^e' dfe
M. Delius , un femblable calcul, pout les différentes
:i:^P^ès,^en!ever"lëslminebkisv&Jqs4‘?ir^*'«j
1 de» Wt»i* ttoiWtO-Mî lU à Vfcti
caftje 1 01 douz heures de H Ë M H i 838^ Ev »
EÛjg pto-
L 11, 'ÿïfi?fw ,s| cent Pleds ïÿ(’aPPréciée '61611
boilleaux., mefure d?Angers. )
isv-
.Mtnes.a Anyergne. r 9I
K 1 6