
E X P L I M — H
Fort crochet de ffet quhfattaehe a ude ^l a
| ‘ |ch^cpoiS1 tirer 1 e G’dlhiof lbfCjU^eft.chargé.'
;P l 4sNtC,HE X .
XJjlenfid.es pour élever /a Houille au jour, d l'aide
de moulinets, treuils ou. tours établis à la fuper-
-, fick dts j 3ur.es.
Coufade , caiffe .la'- plus grande de toutes celles
employées à élever des charges de tlouil’le
. ■ v ou.dë Çhaibon, fufperidue à chaque coin par
de for testâmes qui viennent fe-reùnir à un
anneau auquel s’accroche la maîtrejje chaîne •. à
-fon fond extérieur qui eft lepréfenté à part,
• a côté, ;eft implanté dans le milieu un autre
: anneau très-fort, pour ;pë,uV'Oir y '' attacher
. | une chaîne dont l'extrémité venant à être
,. % attachée au - Vay , exécute une- forte manoeuvre
’d^W'J'qppfè à .part dans la-planche .XXL
ju Demi-Co;tfade pour demi charge" , & dont la
coupe eft:repréfentée à côté. i:.f
P i ^ c sæ . |
.. Fers (Pairage« Toc-feu. JJfiemfhsr, Pairage , ujlen-
j f c à Jeu , c eÉ-a=dire , dans lefguels on tient du
feu allumé dapsf la- danger du
mouvement à ,l'air ^ e ^ u rd e s Mines. ,
Toç-feu^a grillage, fufpchqçi:?pâr quatré.'chaî^
nés attachées aux quatre coins, & réunies.,
ç5 comme celles du Coufade, à un anneau auquel
s’accroche fexcrémité d-de l'a .chaîne,
qui dévale fur un ,a la
bouche dû bure %akage. Leu/Figure de. la
-- Planche XII donne le détail de' ce qui à rap-
. * • port à cët uûenfiJe. •
■b 9 c. fchauéfeons de fer à pied.& ihns- pied , qui fe,
. fg|pén;d©nt #ë la ràême maniéré gue ié ^^^ .
• ^leu^ mai?<t^'\ rie r£émpW^t; pas rôp}ef auîE
. bien que le to/cfffeuà jour â. f*v_
r; jP L A 'N £5S&B X I . ’ '
| .. Ujlénjîles pour débarrajfer les eaux des ouvrages .
, , foupejfdijis*.■ / -
F & E Ml ER E C t AS SE.
imi Tfjf.ent toufoÿrrs doits les ouvragés fou-
- terpams, ^dejijjiés. â~fran^oner Mun endroit, à
un ayireles eaux qui. ne peuvent être jp Ipp portée,
des pompes.
it. Ghyop. Gpo$£ tonne cerclée 4e fer? mQntée §c
1.. attachée à demeurei fur ^n $plojggï-
9s Chyot à roues s c’eft-dirp, monté fur deux ai/îleux
à roues , ceintrés en depii-cerceaux pour em-
brafler une’partie du-cpjps du ghyot,.comme
le galhyot 1$ met : îeGUyot en traîneau
, ainfi que le Gjiy&p à roue, a dans fy
partie de. derrière 3 représentée pour Tjjh &
pour l’autre 3. .une .Quyerture à laquelle eft
adapté" d^ns fio,térjepr qn clapet .de bois fai-
fant l’office de Soupape 3 .ferfqja-on: vient à
ipoufler Ig jghyot dgns uri. çn^rpit joù il y a
ael’eaq, , permettant à feap d entrer
dans le gh.yof , & empêchant fa fortiè
vlorfqu’il eft empli.
Dans la partie fupérieuxe dés Gbyots, op voit
une ' bonde qi^f^e^iQg^ui^. ^âuçfeipuv^t.ure g a ffé e
lorfquon voiture.le ghyot, & que l’on ôte quand
bn^yéut*lé y^pîper. ..
Tantôt les Ghyots' font traînés par les îfie%-
cheupc;,ÿ f | ^ ^ :\tp|agès vdé ila 3Îes
vuide : tantôt ils font traînés â la fuite1 dup||y, _
en même temps que 1e Coufade monte dans le bu ce5
.cette .triple befogne -.fem .expliquée: &, rendue ifenîg
|ïbie id^ps' lés iBlanches XXI, 'XX-YI' & XXVII.
î L 4 iPx,4 foc#rjS, .
Je f f c . -Seau Ie .pius gros p'P.nr ld fervîce du
pit :Bpwgno;«.
M. Ton,ReaU )tQXi%r\t ^pnur^Ia papaçité un milieu entre
B :feilfe ;& les t&n#> ' /
C. TznTier , „moindres tonneaux pour les Torretr»
a , b. iV«iIZej P dames de fer ap,platiés^ dont ©n Ce
fert pour lierpnfemble les pièces P^^rmént
;P^
Elans ^ èMmfioM des Machines établi^
âiq^^er^dç' ^eé MurPs*
Ç e t t e partie d ; e p f l b n t i p J l e - p o t f t
J une foffe de , qui demande un ét.a’bli&
fement folide &“ à demeure ^tepplifte, comme on
Hern^ ou .forte charpente
qui couvre & enferme toute l’ouverture S ÿ bure,,
- & qui fera déyelçppée. dans la Blanche fuivante.
Af^Principale„dqpendai\<^ejduh^î^4^ e ', Treul
©uitambour vertical, fur lequel feroule & fe dé»
1 rpül'eia^çhaînè, q^éleve^8a«gdefééîîd ^Panstë-burè <,;
foit coufade , foit tinne, en paflant fur différentes
unes, appellées RoUei dw B«re 9 ’
fon ®T®/M.whüre^duJ^^ÿzS^?Ie^l^ fur le
eft à propos' de remarquer en .pallant que le fau-
c'bnhêâh'ainfi que' le tambour doivent être plus
exhauffés qu’ils né le font ici ; ce gruau porte dans
fon bec deux polies qui ;détpip#ênt chaîne de
la direétlon en droiture , en alignement des roHes
du bure , lorfqu on.veut par le ou B«ïfeuxl9
ofrpûx le^Parfî-bure xhorreriès eaux.dlptuî
veine ou d’une foffe fupérieure à; laquelle ^pjï .a
donné communication.
L’Arbre 50.11 Ù > e , eft traveEfé dans fa parti«
■ inférieur e dé pfeieurs hras -de teyiers- auxquels
s attellent.les chevaux pour faire tourner
le tambour, & faire' jouer la chaîne qui va
-r. ©u fur le bec du fauconneau,.afin' de xhorrer
par tinnes V'’-0^ ^ * W rojles < du bpre .pour
élever ou defcendré les Couffades. - ï
B. Stiket. Befâ. Vu à part, N°. i ^ ^ l . V I I I , SC
ici attaché à fa place.
Fig. 2i : Tambour oit axe du • Treuil, dont le pivofi
fupérieur garni en acier , eft fixé fdhemenfi
dans un chapeau qui- tient à la charpente, & le
piv.ot inférieur eft implanté fur-une'crapqudirie
de fer ou de-cuivre, fcëlléë au milieu,d’un*
. pierre marquée en pMfâi par, dès poinlsl ”
Deffous le Herpaiz, jpg. 1,, en continuation de
v l’fDéil du bure caché par le plan, on1 voit Je
prolongemértt^M’ub- hùjî-è. de forme ovale
■ a&e&é ^u ^ Bdr'ti^ku^ ' , & revêtu en maçonnerie
de Teft dans
quelques occafions ; on ÿ ^ représenté le
& m g i l M M w f c h e s.
Çoi/^de montant ou defcendantj-par-lepioyen
furui i^étllië dar^s'
'>dsit@|^u; H er naz.
3 • Vqé en'
des ■ •
fouverture intérieure dujhune , du
fàuconneau , ^Jfii'.t'âmb®tur ? d(é Jrf,pierr^ fç'e'l-
lée dans le fol, &'-.©,üi eft implanté le tam-
' A 'bour, du Sr/Aer & du pas du Bure au Ma-
nege , appelle auffi Trotoir : ce plan du manege
(i \ \ J .... .1
PÂ’ î î ? '" 1’ 'n? at- PtantâhiM*
r nommés ou graKrfej 1&/«rei qui répo
ident aux côtés, de la veine, deux atifre
; . c° tes pl“s étroits, aufli correfpondants entre
euX' ’ ' a9:àmés cfiarfer Ma/iirei diftingués
H entre eux par deux dénominations diiféEen-
te ’ l une fUE Ie h lut du pendaj , nommée
(F* Mabïre d hier,-ou WTh r i i on pe i g ,
' I u rç »n p ÿ -jA i dS®Iin>- d ' ï u eitjcp-
pellée iWa/iire defcendame, Mallire de defcente, v
, Mahirc d'.avallée , ou Maiire d’ara/-pend«ge!
Dans la longueur intérieure de ce bur.e,J%. 4,
on a repréfenté les différentes maniérés, dont
les parois ou d&Airei. font foutenus depuis
le haut jufqu’e® :baS',- ën maçonnerie , & tou-
to’ jours en brique, 2 , 2 , d ns le pays .de Liege,
lorfque i te rrein n’a point de roc ; avéc dès
• du.falHnes>idans les' éndroits terreux,
" 3 ’ SW&-i'feti(w'ldtr p i . t e 1 ^
‘ •fi $. S'on du Bure < n du Hernaj raîneau
; long , être>it , èntouré d’une forte cH îne,
chargé de pierre, lorfque le Cou/ade montant
pefe, moins que le CouJ&de defeendant. Ybyek
|
H ) < i , i T h F
' P^ediwiiK- iîiiÿ.e en 'BjTitjS^îSwInîîK^WÇ
que i élevée à la fuperficie du t irrein fut;
L*.,; les rebords du Ji ir-tay ou1 bure d’air ig.e b b j,
:"'i. .eim^lilgplus amom-pendage du grand bure,
:: ■: i é.ievée feï^ni^ innée 'dan^flmiPtraieripS^tn-.
-p "U* ulwii*7ÿ<>5nrv 1ii^rii**tjuîo'ir?ifu*'fciLa1[ns
?. u te h t ^ t ] i l nont if*
defeend. a ne : le petit deVidôir repréfenté- à
l’oeil diilÆii/toy, à 'l‘én,di®it|où eft la porte
de la chetteuFe,. .& en pîanY^^^deuouf,''-^
f i MutadleaWfépaJgfpn du iloyon ou tuyau de
defcente de la foffe d air ige d J , par lequel
l’air extérièur eft porté au'lbas du grand bure
, & d«- i dans to le ouvrages Ci. E>ù^
s r d’airage cotumumiq le encore en pluGëurs en-
’ droits dans le grand bure par des taillements
ou pierçiires . dont o 1 en voit ici une au.deffus
de i , vis-a-vis le Coqf 1 le : le feu ainfi porte à
volonté dans;tout .le'trajet du tare d’in âge,
dilate l’air de la Mine, le rend plus léger ; que
*". 1 a>1' atiuofpliénqu.è: l’oblige par-là de monter f-
& ™ s échapper .par l’ouverture fupérieure,
tandls que Pair.de l’atmofphere'.s’introduit
, Par d’autres ouvertures pour remplacer cemiCcî. ■ ■ a , ' ‘
P l a n a i E ,'|y [ I I. fl
en perypeSinc de la .charpente, qui f i confinât.
P°“r le grands Bures ou les grandes Exploitations.
A A A, Toltuféi. •
= >,;7
e. Poulies ainfi nommées parce
■' q; Vles répondent à I oeil du .bure , & que
1 ce ifunt elles qui conduifent dans tout - le
trajet de la foffe à Homîle les chaînes aux-
quelles font attachés les uftenfiles ; Celfelles
ont environ trois pieds de
*art 3 monter . I autre à defeendte les chaînaL
c. Rolles, vues en profil.
ü f ** gB lM Ë U H M M M S K iS K ^ i fQiiss du Bure.
Petit Cercle de fer.
• P'. H -Ë X IV *
’ ^ FtfZîée, force mouvante'^nt'ï’effet ÏÆ
!^^|vicriit ■ fe dé»
\ 'îp^bher.^htf^oyé^’ën 'pênte d’où fon veur amenet
| Ife (G fijô t & le;
A A A ^4. B B B B. Ouvrage de charpenterie
fer-van t à’.-
h G.r Dans
lés *
; r-'; J S
■' ' lauT-re, & fervant’vde’' - r e n v o i ,, Ilfe
■ -ÿpfée ôe même entré deux petits- fupports
D ’ , X? ,',à faid'e'‘du.Gottj'oii F . ’V o y e z 2 3 7 »,<
&> ai Jambes ou mutants vus de face, accompa- .
gnés de différents d’év,el'oippemeats deIcefje
charpënre.’ Le'^êhiw çifr 'àppapeff eff^MnaU''
fenhMé^aîisHa Planche XXI.
Î. Périt herna% ou petite machine à chevausii,
•d » A . Rolles du Bure. Poulies , dont Pians, eft plug,
-jV ^aiptotr rap^'
ï '^ortfà Ta1'chaîne’
vf?^chaî|^We^plpffeurs,’ , ayant; àuleurs
i ^es chevaux, & qui peuvent fe multiplier en
' multipliaat.'lesleviers. l vï
ffig• 2. Porre d’air^ge entière , qui s’établic,à l’en-
tiée’des galeries pour communiquer Paix de ;
’ ’ ces
, fupportant par le;"hau®
^ une impte çÿavërfë.
Fig. i. Benvettrejfe. Meneufe ou Monreffe revenant
• dü Paire^atx'ïlurë , pour recharger/.eriSgro^^
** L’autre herwiette " I
3. Mencc/ze , planche tqui lecouvre tout le eh«| '
min conduifawt, du bure au magafin.,.
P E: ••:!
Fig.' 1. Hernaç }a rouiïgen
'Bigy 2. Mernaf â Bros | yq. feul en face /ifblé d« '
^'^/toute fa charpente. ;