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% -de jîx pouces, d’épameur, fur laquelle on met le miserait de fer ehy-mpfçë”aux
» de fept / luîit'i neuf i'-lix livres ; on le forme en dos^dane, donc la perpen-
y> ' diculaîre abaifee ‘âkfonMefc ,a‘ eriviron<trpi$*|)ie4s.
t» Cela fait ’f;èû a une des extrémités .en y-portant quelques
» cbarboti^îsÈlurriël^a mefùre quple feu gagne en avant, on^r^ou vre 4,es.tqiit
îi aleéti'ii pèuÏÏîer dé charbon &.la cendre qui fe trouve-autouf,, afin, de con-
». centrer la cbilêur. >11 'feu^plpfieurs jours ayant que le fetflâi$£énétré taiifg
», cettfc maff$, laquelle eft rôtie fuf^famment après cetteÿopé^iîionoe^{fe
» prend aldrs|ün.elow^j&réu^âtre, & reHèmble;àtunmin'gmi<defôriordinaire,
» A ClStopT^ comme le èharbon ne brûle«pas fi aifémetfijqtfe cglui de
» Carrôh , on y rôtit'le minerai par un autre procédé jqtfir efiÿà^feq-près. Jé
'S‘toême.' On a dés fourneaux à.peu-grès famblables à ceué'dont or^faip ufage
» en“ Anglëteïre & en France pour’brûler la. phaux ou le Charbqn d.e. terreti
w on met le charbon & le minerai ïùccefiivement, & l’on en grille d(e cette
» -maniéré .auffi longtemps qu’on veut,».
M. Jars ne fait pas mention du déchet qui fe trouve dans le minerai qui s
étéfcfoumisà cette,opération.
Il paroît d’après fobfervatiqn de M. de'Buffori , ^e^McÊabtit,é,^p®atier8
humide bu .volatile que la chaleur renle Ve à laSîjnè' afeifer , eft entgeîîéral à peu-
près;1!d’ùn' fixieaiiai de don poids total ; & il eft p/ïfüade(,que i?fi*on l|sgrilloit à
un feu plus- violent, elle perdfeit gncore plüsV..
la fonte * de&Æimrais en gmt/rql., "
' C eb tains métaux l e fondent très-aifément , & ne <foivMt,pour^AÏîdire,
que .paflèr au travërs-du fqufùeîàu tiêg^ufion : a&iîèiesme f&lfonTdeiK?fqnave|'
peinsy & dotvênhy féjoumer tfès-lo^6enips ; 1 en'êfii, tels que ||fain St^s
plomb, que le.feu diffipe ou calcine &t/change -promptement ’^ pÆàux ,
tandis que 3’aijrres réfiftent plus fortement à fcn ■^49n* Les fourneaux R
fftfioh doivent en cpnféquenee être^'anjdogues à’ la.nat-fee -'dés'ï&iïnes eu des
métaux que Ton a à traiter, & piï)poj^xp^^^ÜurT^hâutëii.r'r& ®||{pacité à la
durée & àTintenfîté de la chaleu&au’on veut leur*'1 fairp éprouver : c^idifféren-
• ces "deThurnêaux à employer à raifon dg. ces ciçconftàncëSÿ n’eitt-rentfpour rien-
dans mon objet.
.. H nous fuffirà de remarquer que? ceüx dont on fe fê rt, font 'de*Mpece
appelée fourneauxf^revtrberefi) ’."ceux employés pour les minés de plomb
& de cuivre dans toute l’Angleterre,,où-on les nomme cupok, y/àifemblable-
, (i) Aijnfi nommés , de la maniéré dont le feu
ÿ y conduit, âk dans lefquels la flamme ^réfléchie
par les parois du fourneau ou par d’autres obstacles,
ne peut s’échapper librement, & eft dé#
terminée à retomber fur elle-même ou àfe frapper,
continuellement. Cette aâionfrev^erbératrice de
la flammé ,ia? donné lieu de diftinguer quelques
fourneaux fous le ûti&dfyfçàrneaùx de reverbere ,
comme ceux où Je feu excité par l’air qui, entre
par le. cendrier dans de foyer qu’on r
chauffe y porte & réfléchit fa flamme fur 4®
qui lui eiVfOiUmis , fans circuler autour ; -tel elt
le grand fourneau Ariglois, tels font encore ceux
employés à l’affinlge.
M IJ £L ■ — H W ™ J . O . P a r t . • I a o r
ment à caufe de leur conftruétion voûtée en coupole , font aujourd’hui généralement
adoptés dans les travaux métallurgiques, parce qu’on y exécute avec
avantage, prefque fans diftinétion,
réfraélairès,les affinages de cuivre,la liquation, l’opération des coupelles &c
L’avantage particulier qu’on retire de ces fourneaux, ceft que comme i l ?
n’g q c lp a s -^ fp ^ e ïs , pn mpf.d’e a u f S l e s faire-agir'
fjg WÊÊSÊÊÈÈÈÈm ^ '^el^ t W M l^m hedi. Jirx W
ils tfqhe.çonnas' f o u s g ^ j n dé ce /o n t f i mêmes q \ J
ceu# appel^slq A l l e m a g ^ J ^ ^ V y ^ r ; & ori cdmpend fous cette
« M s m w ^ b m m w
tfeSf P ^ ^ 4W ,i à a tr d ^ t coa.
Viendrait Meuk, L e ffo fim ç é x felvaqt ùibndre lesimétaupc i& q ç ’on appelle
I T P 1™ fo re n t ils vént
pinL mc^tn <iu foufflfS - *■« ' *jn,
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m È IB È È B m A'4>rll&B H WrWmPW *qu% bü‘ düU^ ’ °,n emPlol° dts Cl arbin *
violents, fou pourri cflcnÿ du bois, cqmnie d é c id e o u 'a 4 r t '& gommeux
S B B r a K >4^1 & la êbfe qu’ils oAt e ^ é e ^ f e fer devient
I M a i l a i l l H —
# ^ ^ K Ç f ^ rboP l’a p é |f |0'n eft fo^t.lepteqùand on emploie
de vieux J tfes.
I lE?0f £4 d‘S Mmerai* ù ' f f dans des *ux Forges,
Çzrron y en Eçpffh^si
l J y | . p o i n t vu cès 'fourneau^ ’fur le rapport qui WËÊ été faic B |
iMoptÜfembkbies à ceux ufités W A l& ag n é &
M M H m M M ! — 8 H I i S W S W W l i ovai î
a I M i W —
a u f tM ^ ^ m p U s , muspai* uri|itreÿ-grabdè roy&, Xl’arbre de laquelle
l W tr%^ t0Dnets P ° ^ °QEaq|;è''..fqu^ïlèt.
La flamme-qui fort ?de c&fdpmeau , .eà tellemeBt’ fêmblable à &lle que!
ï . aU '®h'*rbpn derV « » ^ i T 4 ft impd^bfe'^’entfaire.la diffé^
J ne^ « P éktion-s’y-fait .auffi abfolument d'e la même manière ■ chacune eft
üienvireui^uar^nte quintaux. ,
d ; Sr ^ dans cesjfqurneaqx,, fi>nt,.au rapport.deM. Jars,,
C*f*^ decèlui nommé lr,on fyoqt, & qu’on
W0i?e3 J l e t o i z i e m c M é - I ; .;t ^ Coramé le f o u r n e a i l^ É en 'Üiee, : '
• , ƒ | manie, , fownm à iw x v tn t s f \