
, Z
B E E : ,
poli it s’y trouve des taches grifes ^ .ce n^efi pas'
cheminée que- de cuifine.. 127p. Prix d^He g^le a
TAnglpife. ‘ - 127p.
Fer à Mine*? fllpriie; commune dans les 0
&r.es. ; 13.20.
Fer à lîine, Mer di Mmm.lÆ.
' Outil de Houilleur. . •: ’■ •■' 23 1.'
• .Ter..( Mifie. d^yjAv^s/Àt. fer^^f^e^ës|^Sp^,
dansVêéfe ^ jfvaÉ^ 'Mjn.e
Mine .de la montagne d’Allevard en Dauphiné ; fa
qualité. y.28. Minerais de fer, qui fe traitent dans
quelques Forges en Angleterre. ,ij2©2. Miné 'en
- - /er. An. Iron fton. Minera
/erri Saxea. ii| |||l 1 202 , 1203 ? i^ oy. -Mine de
■J^r, }nMignons £ prqcjie1 fiasipn en Ecoffe. Tête #(-
trée. Kidney oar. 0 ^lai^K^^yE^beèe •
ftone.* xzog^rlièQfôl
Mines.de fer. en. gfains.> Mines grenelées. 11.79. Mica
ferrugineux^ Fer de cfiatsCz. Eiïep Glimm‘er/^oy|>
Mica. ; Sable -ferrugineux. 12.10.. Mine à gallets.
? ibid. d’.entrë Sambre & Meufe.
84.7. Mme de fer de^ fpece de Mine
| félon .i^eaemDolgig^^^‘. ,
Fer. Ç Métal, ) 842. Il' n’y .en a-nulle part d’aufli
Bonne qualité qu’au pays de Liege^. 842..Celui de
la montagne d’Allevard eft .cependant-excellent,
-doux ; fans pailles, facile à limer &' à forggjx, d'où
on l’appelle 1Fer de forge, yÿëî Qualité du fer de'Ni-
de &oife|? -iè
JBourgogne^ du* ¥ 1^ 15 .^ 7 5 | De .Champagne,
de Normandie* de Suède';,.nommé Carillon xi 27 3..
D’Allemagne. Ibid, 842. DeLiege. 12 13 . Maniérés
dé r^connoître les qualités du fer. 847. Maniérés
-iifîtées en Suede & en Angleterre-p@ür eifayer la
qualité d^fer. 848. Grains du fer. ,.. SbjŸ
.Fer àcerdih. Fer aigre. Fer cajfant à froid. Fer
Roavèraïii 9 qui cafle aifément à fm d / i f -èîË^jèt'
a brûler'plus âifément^-què les fer-s* dptulè,
' aigre pour quelques ouvrages , eft préférable au
Fer doux ; tels" font ceux à qui il importe peu d’avoir
de ikfoupleffe , mais que l’on veut'qui- foient
capables de réfiftance & d’être bien' d’oS
on -l’appelle auflî Fer coeffant', -ou! Aèeraih, 847.
yoyez Fer cajfant à froid., Fer Rauverain, T
• F&jfâttltï . -1272.
Fer ( bon ) commun. On vend-rfous ce nom à
Paris ,. un. fer aont-une- partie de la cafTuïè— eft
blanche i^ brrllanre ; ,&/ces endroits ont le .graitl
. plus/ fin" que^eluf d u fer .del|ôthë.^lie refte de la'
•caffure eftgrifatre & d’un grain moins fin-, lequel,
à la rondeur près qu’il n’a pas, eftaffez femblable à
celui d’un,acier médiocre, que l’on; a cafle au-deflùs
.de l’endroit oùJifparoifTent les grains brillants que
prend, l’âciër, trempé foft<^haud.|Êe^'n om • de ce
1er indique le cas |j|dlpi 'en-fait, Il devient, communément
acier blanc, très-dur & de bonne qualité.
,OE&ËÊsSmIkon } Fer doiix 4 la lime',. ou Fer tendre ,
# ft poüvânt|p|^ à froid ,
devient propre à toutes, fortes 4’ouvrages. Ce fer
«ft très-eftimé, parce qu’il .a de la iChàif 'l 'oh dit
■jatuan fer a de la chaire quand fà caffiire ne‘ pré-
fente ni lames , ni ébrps globuleux^ • mais des ;fibres.
commejldn voit en caflànt’du Eois, les unes
baillantes , les autrés^formânt dè^Creu^-^ ^ / 8qy
Le fet .doux xfi ’^aufli .néceflâire ' jibur .certains
ouvrages-, que l’acier d^-le féx trempé le font
pour-d’autres eh .général pour tous-les .ouvragés
qui doivent n’être pas ?çafiants. E. fe cqnnoît à la
•çaflure, qui .doit être noire, tout‘au travers de la
■ bàrre- alors màllé^îe ’â .fr<pid & tèfldre Ma
bmè^tmais ;il eft pjus: fojet .à "êtrë /çônHreux f
*ç ift-a-dire 3 clair. j& .moins luifant après qu’il '£&
qu’il'ne fe trouve des barres de ce Fer qui «’S i
point ces défauts.
,Fe?', cflfànr-d .c/îûwd. Su. Roéd1 Brecht. ' * *
Fer fiajfant à froid. Su. Kal Brecht. Il fe Con-
nok .en ce qi^l ^faâr a fe. .'cafc '
I rë ÿàçe^.;.:Qiaand,. ^
barre , on le' trouve ,rude à la .main ; il eft tendre
| au feu, &îfnpV> peut endurer une grande chaleur
fans foÿ .brnleril y fibr.tes dé fer qui ,Tde-
I nSeuvlnt
etrë ni.;dirf|s; :5 |n§Mi|j|^sr a -.feid4 V. Fer 4 ceraïn.
Fer cendreux , qui ne s’éclaircit pas bien à la
lime , enforte -qu’il conferve toujours des taches
bgrifë.s.^';i-;:. 8^4.., 8q8.4
Fèr corroyé, adouci^affiné f c l^npfenë. 844-
Plufieurs pièces de fer corroyées. gqy.
p Fer écru.EcrouijC’eft-à-dire, plus frappé. 8.4,4,84^
Fer dur. Cajfant. 844., 846.
L . ^e^^Jvnt^^fonte^e Fèr ±
Efi; employé à différentes machines, 1277^1 m m
-I^àn s dè^éhaipïbf- à Ze—
■vier, les rqu(çjjfpnt èn fer. cordé:, ayant unp^bord
d’un* pouce & demi d’épaifïèur. 8éy. Fer fpfgé, ou
Fer réfultantdes Gueufes , &qui a été travaillé à
I la forge. 843. Le meilleur eft celui où on ne remar-;
>qùe ni fentes > ni gerfees; çÿévnfes» ; . 847:
Fer fort, ou dur à la lime. Ibid.
Fer froid, qui eft peu duéfile. 847;
I _Fer ^grer^ioe | Fer où fe rencontent des -fentes &
-crevafîes.\®M||| font ordinairement 'accompagnées
I de taches j ^ id’âmres (.défauts qui" pénètrent dans
‘ ^ Fer en Gue«/è. Y oyez Gweiqe.
^ ^ Fer ^jdhux^fçff^ Baille^,, /. /:■ 8 4 4 ;
Fer Rouverain. Së q^^^^des*gerfur^^^aé-
coupures quon voit tràverfer lés quarrés^des bar-
I res ; il eft pliant, malléable à froid, & cafïànt a
I chau$ ; il rend ^^p^ ^^ e jfoufre
on le frappe , il en fort des étincelles femblables à
I de petites
p-f» /il
s’ouyr^'à ;.Ç^û^$Ô^^®|®to'is^fè^^^feùt erê
^^^^®é|l|^b|rr.e> M B èqiitÉlorfquori^^feàf 0lï
-qu on &
ïdiîfgfafnf,._ c’ eWles
vieux M r,
lÿp'ntfijje&7a^^d'ey ënlr Rouyerâins_y^ F e^ ^ ^ d 0 :f‘^ 9
ils^S^Pmè^^S^Paris j
a forgraii^etit^forip^ c a f f y r ^ ^ S ^ f e R t
laritë ; il s’^ ^ ^ ^ ^ â^^ëàùcôùp/dah^cfeftèJwlier
/ouil- eft: recherché^pour les' çjuvra|;'ès • qu^pn veut
rendre nets & bien polis, ■ '11273;
- Fer.fiircTmffé^hu IWéoa-f^eiifî^^^Ç’t p fe
détache trop'- d’ecailles & dé fcories, ce 'qui le fait
nommer fér/htilp^fa forge, fbï.'u^i 844, i S f .
Fer tendre. . \ y 0- 845, 845:.
Opérations de forge fur le fer. Rrafer le fer. Dif~
férent fens, dans lequel les Ouvriers enitendéntù^ÉP'
expreiloh. 84^» Chaude, Degré de chaleur donné
au fer. 845. Chaude grafle','chaude fu^nte. 846$
8f2. Signal de’^ É ^ I ^ p ù ^ é ÿ 845*.
r‘ Chauffe ■ du fer.. Opération la plus commune de
toutes les opérations de Forges, & ;;^îà'hèânmoins
a foft degré fixé ,, déterminé par, l'expérience feMe:
844? '84F* Les fers doux ont befoin d'être plus
. chauffés que les autres.
> - Fer confédéré à la Forge. 842. Voyez Forger.
' Découvre (fer ^Mi^ExprefEon de Forges qui. 8 4 7 .
- Fourrures;. .Surchauffures defer.'V. Ftr . furchamé^
. Légers ouvrages m fèr» Ÿoyçz Forgée
Fer
D E S M A T 1E R E S.
, Fpf travaiïlè'Vu feu!/i^&h(àn\\d€ terre. Djftbüs.'i
les pietaux^ leffër^1 eft; |elüifauqùëlr lè. fe,uidèlphârr-,
®M>n de terre^eft'le|ÿ^^M^^ra'bl!e. ïpM'Effets
que le feu de ce foflile produit fur le
>|Raifons 'qu^enMonhé M».Grignon. Ibid.', Sentiment
ÿde M*'de"Genffa‘ne *ÿ;'
^ ,Maniérés' JdeA travaillër/l^fer auJf^ùjqe/CËybqh
-fetoManicilfe d ^
crite paf'S^eaeml^lî^gflÏÏ^ey s’en déclare point
-le p]ar1^h^g®j^B^l'Êat^ àf8 f f i f8 ?énL-J
|(Angleterre^i(5', 1 i.é 6. A'il^ù^m-Sarbf’û^ËI 12 14 ,
^rLfegm T2i<3>fl4qtreV'par Ml de Morveau^l^im
$-Autre , par^M.' déjlm Hoqliere en/Eaq^Ulw.
exécutée^^ecl
|^cès,l.Mf|ro^^^^M^^^uEgOgnèf,^ffi£77y.
^^p^Epreüves^ fait^^^Sifférënfës;^
de Sc^^^^plle^ ifà î
ciéré Royale des Sciences de Montpellier, en
^conféquence d’une délibération des Etats géné- ri
jMàuxMder
iâux|mÉ^aj^^w^ru^ . ^qyë^\:étt'ë|T£blë'' des
Knatiéres^, au
Fermer lapoytefFemefiè^nii/eauxpnrt'SStoup-
pures. L e. 266.
fêjbrtfe des
y oyez Droits.
^JÆ^ingpèï jFçpÿà/Çié^dj^Tar^
^^^memffoirÂiât qufcifeicâiés%Jft iître • piecë^^^T'àrfe
jpùégeois. -
- v Fe^neMdr^ ^ ^ ^géîM'RE^noffL An. Caillou :
JHeuri, ou.âmtpreffioRS de Rofeaux, &c.
Ferrât. Mefure ti-^îg Charbon
de férié;
Anneau. Ferreus (uneus.) G. Scilhaéte.
•^.vïFerru. fChapbon, )^-Medjeî^i^'î^t\ •*4;.^ * !
fy^îteMffgmegfes, ou,Martiales>. \.Eaùx) Voy. Eaux,
Jubilances ferrugineufes ou magnétiques , caufes
.très-communes de la Vâriatiqn^de l’aiguille aiman-
"< téè Mmésf/ 8wTy Moyens’ de' rsmMpr 3 ,,
FerruminÆre. Brafér /foüdèrVl'è^fer. .VàyifoWer. •
Feflé. Roc. Voy. Roc.
Fejie- Hangend. LiegendGejlein. »G. Le penchant I
,yde. la montagne. '
Charbon gras; H |
^ Fètoyer \(/aireJ les?fofee ¥oye^ ■ mettre la main à
*a chaîne,'.
Feu, {Montagne Jd^j^gu^ontkgq^brmeei 4^,,
[Voyez Montagne brâïéè.;
£', Feu dam les Mines d^^harbon en Forez.
,pn Auvërgnei Ibid.'^J^ulheim. p 31. A Liege., 3d
Moyens de s’eu g^antiE py i 5 2% . ¥oyez ^ r .
Airage. Vapeurs.
Feu brifou. Feu grieK$r^
Mines d?Ànjou- y^W/^p|rénce .du feu brifou
d’avec le Fouma.- 262. ISl’eft point le produit d’un
principe fulphureux. -983. Sentiment de M. de
Killy fur la, nature de cette^peur; pSÿ. Elle s’kt-’ ,
|tachè, felqu ^Lipai préférence à go qui appartient
feu' régné animai ^ÿada.laine -Kf u S I héveux ? & n’a
aucune*prife fur ce qui eft du régné végétal. Ibid. \
;Conjc6ture fur ce qui fert de fondeinent à cette
©piniom ; façon de, s’en 'a&rer/ 9I4. Minés dans
|bfquellès ce,feu s’e i c o n fié ^ ^ ^ S^ fé ry^d e -
mL.CHARSON iSe Terre. ÎI, Pari.
1 4 1 7
3;pu,is dyng-teimps.ipy o» La flamme du feu gtîeux eft
vive & approchante de celle de l’efjpric-de-vin, ou .
de la pondre à’canon, prodiuit dés efçarres pro-
^9n4sï,^trèsydangereuX# fur-tout au " vifàge»^-,p 84.
;'iSemblab]e J au météore enflammé , qui fait, quel-*«
' qûefois^éru^tiqn dés^folTes, lès p’rifésIS^P Sàrau
de drap, de toite r pour s’en garantir. 983 . Différent^
moye^|prppofés » pour éteindre vpe,'‘'fëùi •
|>|;%p#E invitation de M. Bâumé> P4I; Brûlures
: dàé^^^^e^aVfé féu' grièux;lRemede a y ap^brrerà ‘
Éfl*/ Remedes dans le cas de,grandes plaies., ÎBidï
m ^^9^ellfrpent d'^lfair' dïznsMés
■.'WW*ÎÜ'0Èm .da%; lâ chetéur.^^p?
j W WÊ 1>entç efeiS!
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ i^ ^ p sI^ y en s^ co n ttuV au jo i^ ;
d;hui|p^ut/puriner l’air des« Mtnes'i^^&Jyïià^Sc
- Lexpérience d ém o n tren tn ’en PL^poin^^de plâs
efficace que le feu. p<58. Propriété du feu pour ra~ *
‘•iéfièr 'Faù' dans une très-grande latitude , d’occa-
fionner même une forte de deftruétion de l’air.,Id.
f Pratique de M. Defândrouins pour 3 remédier au
défaut d’air, en allumant du> feu de dilfeance en
diftance.daro|^foutér|ams. 482, Yoyez Fourneau „
•• Applied mouvement des, màôhines à
de? Mmes; y^:^mmachine^Â^f^^
dè; ^t^^Ædk
lumière fur les phares , êê guide aux^Fùïfiï t
ûjfage* Conià'
|paraîfoi^ de, cffi^fulél embrafé,,. pouMmisi., fes plié'-
ùomengs:, aux métaux rougis. 1 142. Avantages 'da " 1 éîl T^Vÿiff^ ,
fêté' à la Liégeoife ,
■ comparée^ terre
brut.
^^Muùfpetit>feu- d^^Wi^S[|||.«ÈëiPlr^^^Moùi
/ ^'>?^r4.^^^^M^^^^s|p}iénofflenes • pUrticù^
t e . ,( ilfem. 4. ) La maniéré dont brûle ce foflile ;
& fon réGdu, indices de fa qualité, n y é . Ce que
le feu développe dans- qüelqù^ChU£bpns(de terre;
12^7. Fumée du feu de Houille, confîdérée pour!
le chau^ge: f Mem. 2 . 1/Çétte fumée ua
renfeignement de la qualité du Charbon de terre.
n y y . Ellé ne dure que le temps de l’embrafe-
ment de’.la pilé de pelottes 3 qiui enfuite n’eft •■plna
' ^ u^' grand
'.duriè elpece ae1 ’Cnarion^^|terre> furies :h%içs
gM|tÙt|ë(M.. Gennetë.;t ; ÿ ^ |H p ^ ^ ^ S | f f à
fumée, relativement^à.^^fanté; ÇMejn.i‘8.'), Môyeti
^particulier; d’ebspecnëf -
rience de M. Venel, faite" fu-r, un Chardonnet ex-' '
,p©fé à j la.fuméej du Charbon de terre.
èfeiyaticm./ duY, i^m^Siyant furflesÿÿers-à-fe^ ^ & ^.'
||M ^dé/b^^e^t!é'àutlet?leur être
^apébrr^is^n exhale ,yp,eutfne^^
de la |
1 Gg|riger.' ^^^o^lMESAyis'; f^ p fe ^OOltCdetMé-g |
deckedé. Paris , e n ^ ^ J^ k n
brité de - ce chauffage. i2éy^ DeOro^°dù|prNemiè'èj
Décembre 17^9.' C Mérrt% 3 8; ). Procès verbal fuç
ce même objet ,, drep en. 17 2 7 , ^jW\jrequjfi^g^
de M. le Blanc, Miniflrre de la Guerre. 12 I 7 ; ,•
Déclaration des Médecins de Liege. ( Mém. 3p.
Avis, des Médecins de V,alënciennes. ( Mém.$Q$t)
Certificat de MM. les Re&eurs & Adminiftrateurs
de l’Hôpital gén,éràl;dë la.Charité & aumône gé-
nérale/ ^de/Lypn...( Æfém. 42. ) B u , Bureau dé
^S^^^PojS^Etien nè^cf^mi 44. )
Délibération de la Société dé IVÎédeciflë de Loi^
L l 6