
D & G H A R B 0 N D Ë T E R m
«Tune:- Pompe à feu. ifirfquefi nofis^fÿjns décfi^plüfieiîts' Hef bes WàcLii
ïies.i.ces pie'cês nonf/^éle®^nfîâë'r^^[ue dans leurJaflemblfgé»jjBflm i |uc
«différente deftination, dcVrelak^si^'à- léur u ^ |C ; nous- IlIMs l e ^ f |rQ
<;onni£^ife^^Wàütre-manière j ’‘détachées / & .féparéès le^ùïppt’aes ’autres,
«omihe^dlnllles cas qfiçftiqff d'e les réparer mfide les'r^lufëller ;
•on doittoêgxè^fprvfi/ Tob yëutKetrefiffiç des-travaùxT “d uhé'Sfoffe pf>ut
fon épuifement, il eft riëcèflMfe-d^bicTdeux Machinés a fSttÿ afirî^pe taf|js
••• ■qùe?lifiri|s]ft& repofesou qoeoB^itravaille, l?auû;fevpuiflè agir. F ée®Æ'conde
‘.sjappeyè'ïVfac'Âin^* de \fôa>0?s .sn£
Eàâi' W fm à n f a r ^ i fo Q eyjs. ,> où Mémoire ^ général-tM^^aràes <5 Mlfec/es
dtè confiu0jo n )^L e ÿiip a g é dMmfytachiiih fflcw:
I r e n v o i, 'fort aux ÆXefcngtlons ,y b tt eûix 'JHanèfoef^ ^évêef-lh^qmule^j^eom,
* ~.pidj)brâofa]\~Æm£riJiof^'&GMf»
r t» a ‘ totalité deÈ pièces t dont Tenfçmble forme tUne" Machine à fèiÉ3 peut
être diftinguée en trois piaffes. _
%ds.i4 tes.iprincipalEs pièces, fàyoir, le- Fourneaul'Alambic: fit^pofé'defa
chau'diere ou oucurbite, le Cylindre ou c^pè'qS?p>ni|ië à- vapeur , le iufton J
le Balancier.
2°. Les pie'cesH.'qm^ concourent1'^au jeu des ■pEéiséderites , &- qniM p rfl«nj
On Tuyaux, Robinets, Leviers, Cuyetres, &c.
r ^ ° . Enfin des parties- 'qüé (kp p tll& 'p iee^^^oe n j^M to rf^p a ta e. qü’il |gfl
entre de-femblables-ôu à-peu-près darisjpute- éfjpëce de r'Macmnes^^toime
Crampons-, Pattes,-Griffes, Anneaux , Refîbrts, &c : nous fuivronS1"cettp
sneme diyifion pour préfenter un jahleauTéparé de chacune dè.çes pièces.
P r e mi è r e C itasse, j
En confidérant f Alambic dans toutes fes dépendances , leEournèâu tpaidd
•duquel l’eau contenue dans l’Alambic bout continuellement, fait partie &
«cette piece; on doit enimte remarquer la fiüUation de l’Alambic dghs'||; blti-f
ment de' là MâehinefifâTôrme', Tdn'fôrid Sc Ion chapiteau,
c La 'figure-* , PL XLVffl i fait voir l’emplacement de la Machine‘d e ® ^
4 a figure 2^ P I. XLVII, une coupe verticale des quatre murailles delà fiâtiife.
■ P EptttyjéaUf -u l :
L a figure 2 , de la Plahche XLVII, repréfènte ùné coupe horifo'ntale dut
TForhnbaü déCèt'te même-1 l ^ h i n e ï &4 a figuré 3 , une coupe verticale dë l’A-»
ïambic’& d u - " F è u r n e a u - q J Î î t ô ï ë î w c n t, ,,
(ij Le;plus grand nombre des renvois à la Defcrîition appartiennent à celle de la ïtlaelu'ne i$ ^xefnes, par M, Bélidoi, page $$S.
I U
E T D E S E S M IM E S . IL P art , j g | |
t Les figures 2 & 3 , PL L ^ ^ ^ e n t e n t le plan & le profil du Fourneau >
teoupé fur l’alignement f i g . 2 , PL XLIX. »filaqsdfrpetitesMacfiiriéfi -vapeua deuWatàâis -, le Fourneau1 a §<• pôuces d#
fiiamette,, & Sppied/^dèipr^fqndeur.
ï Le feu qu’on entretient dans le Fourneau, eft toujours avec du Charbon
de terre : vis-à-vis la porte par laquelle on jette lé Charbon ,.fe trouve Unis
âffue par •’Qflfré flammeifeporte, & va circule, autour d|siodté^de la chaudière’'
dansdefpice \J|ide qu’on ^PP^%” » de maniéré qu elle
fâit-UrijW rj ehtier?-autour3 des’i cô;té_i&j du^ pïatçb'ord de la chaudière, avant de
fqrïiri-^&n tuyau de|jdbwminée .Ordinaire \ p l a c é ^ Â é ’.d e -lÉ u ^d o n t il
; -Tans cfee|cirçulat^oinde, r^fihmrh^autour! desÇpa-rtMk/dé la
•^ud^ere i.Teai&qfijelle .Æontieht ,< ne;s!échaufferoit pas mStÊnlirîeiïé^eùr.prè;
'duhe^la grandi ^{juântitcJ de fetfefits dent on a^Befoin-: 1 fip/peur
sremar^uèr'que^laf cMtfdiere*pprP^-«if-la maçofmërie dû'foul^eab^/Rar‘fa " ci«
^o™érçi^deTqn folul $1 Sc“^ué!^m pm*t& - plat-Bor'd^ e'ff^au/S^iuiènü du
évalue l’évaporation defAlambiC a u i poucô
'fieÿru î i l ^ e |ÿ > q û e les Machififis aâue|les -d^neri^una quan-'
m & ^ ^ ^ ^ ^ ^ i ^ f c ô i d i d e r a b l c ’qu’elles rie devroient>, ‘& perdent fidcôrt
-üne^trejlprinac' quantité decèlles qu’a ie s donnent ;(;il’préfefid?êtjfi lhteÉtre
'forée r^la' vapbur-'de ^ multipliér' eh donnant'plûsr àëIîfi)ii:ei,au'fêd’^ quoi-
Æ[u;iFécoifclrmfe-'ce^qfefifiifié 7l:e détail q u ila '!pûblié fur celà^M’â«
ïiclë dal^qcpênfè *& des “'frais d’une Machine. ■
si Ihïïw îç-. ■
DÂtfs les“’ Machines a feu fi pri,. appelle de “ce nom, par Rapport 1 là relfemt
bknee §ƒƒ vtifle'âi^ddfiron fe T e l^q u f fafie des^ diftillatipns ( i l ^uh vai/TeJ
f - f g & ^^iM'boüiüir ‘ plû^erirS fiorinës' à egu^ îefquelles font
ttiyaU dil rôbinefi emporte 1 eau réduite“ par l’ébullition ënyapféurs. ^ ,
La figure 2 de la Planche XLIX, fait voir une coupe horizontale, la
fituation & 1 Emplacement de l’Alambic dans lé bâtiment on il eft renfermé ,
d'ont'otf voit le premier étàge en plan“'élevé“ d’envirop 10 pieds au-defiùs.du
rez-de-chauffée, avec le revêtiifement de maçonnerie qui foutient le chapiteau.
Ce vailfeau eft différemment configuré, fuiyant les méthodes adoptées pour
cette Machine ; dans celles où la vapeur eft beaucoup plus forte que 1 air,
^ formc 3 °it être fphérique, félon l’opinion de M. Défaguliers. ....
i ei l P C ^ s s
C h a r b o n d e T e r r e . II. Pc
:ou m.atras qu'on y à ajotite , ôi qui alors fa
nomme Récipient. '
V i i