
ï IQO D U C H A R S ® N D E T E R R E
ment en fer coulé, ©ans les Mîneslde .Cârron , qn fefertde hàitèsIPotïipes ,
dont le diamètre eft communément de 13 pouces .(aJ)."* * *
Dans \afigt'6 t P l. L.III,-on®oit ^»manière îctont les 'tiges des Pompes Loge
liées les unes aux autres pou^ompcuarun train.
La Bnmrip.Æfÿf,rhÂer J p L autrement .dite Arbre afpirant, fe- vok^dans fe troi-
Cemè'iëtage, ' , Pi- XLIX) j.ceft-.dU'idonmle tuyau aboutit vers le
fond: du rélervoir proyifionnel.
La figure XLYIII, marque la Pompe refoulimtTî <atitrdïfent dîtes
Arbre.fkpprtefir ou refoulant, Arbre defôrteUàa de délivrddce ■; voÿëz p îg i ‘io |ï|';
©ans la figure XLVII, ..onsypit le trajet.de la Pompffmo$Rfyêref&i
réferÿqir dffiSjÆSroTcfvoyëz- pdèe 1072S' K
Les pifboXis repjtéfentés dans Défaguliers en cylindres de fer fondu ou de
cuiyre ,’ ont 75- pouces de diamètre en-dedans-; ceux de la Machiné de’’ Frçf.
nés, 7 pouces de diamètre, fur 6 pieds de levée,
Dans le modèle de Watkins, on'vüit'^dfes^’pimd^ ^é plomb qu|ompttent
le piftpn en état d’agir,'en forçant, ou , comme un Plerégeyr, en peuffiat Fgau
élevée du réferyoir par J a foupape dans le tuyau par lequel feau^ef^Seée
de ||rag|dàns le béfoin..
Qn doit regarder comme dépendances des PorhpësV3le's" efpeces^^®Pfrrer
ou bafçhes de diftribution, quelquefois partagées en deux badins, &fpKS§eês de
hauteur et) hauteur, (quand orremploie des Pompes à répétition j'poffir^^pvoir
l’eau de chaque corps de Pompe, rompre le coup du pifton, &îPnvByer l’êau
çjans un réfèryoir élevé 3 un même niyéaü'f
E tat des fra is & de dépenfç totalefpouEJl’e£ablij(femerit_ d’une^Mâêkmë'wrfgu,
& pour''la confommation du:fpuvnêaû.l'r :Âctnsiles' M inePles -plüs 'effimiïes.
O n fe doupe fans peine que pogrl’établiflèment-d’une Pompe à feu Ma
dépenfc varie félon la profondeur de laquelle on yeüt élevpr les ejiùiHfcfoî-
fpn delà nature du terrein, & du prix des matériaux dans l’endroit.
On fait monter la dépenfè qu’a- ibccàfiônnée celle dé la Mine de Walker,
dont les eaux s’enlèvent de Sp tpifesï d^pbfondeur, entre 4 à j^Qçnivreî
lad^enfèdetbMîffeMfeprifo ^ ayant devoir pu retirér dilfehaH
bon, fo monte à plus de 200.0.0 livres-ftèrling-.
Nous placerons ici .le,détail.des frais auxquels M-. dé Cambra y del^igny
eftitneque pourrait monter la.conftruélioh d’üne MteMîné pareille àla fienne,
qui éléveroit i<?200© pieds cubes d’eau en 2 4 heures; d’une-profondeur dé
28 piçds.
(a) Là defcription particulière des corps de Pompes, & des arbres percés, eft démontrée dans la
Planche XXXIX de Défaguli ers,jîg, iô> i x , 12.
B T D M S E S M IM E S . \ t ï>AAf l i I ô t
fl -compte pout-le ïb|fiment onpft placée la Machine. % ïoôôô liy,
^ t îa ,çhaudlere Sc îles Pompes. -. . . . | ayooô
j-Aes attirails, Sc la main-d’oeuvre. . .. . t jodo
11
Total^jéibo^IfV.
Gages ïmf|'els d’un -Machinifte. . ,
©■ois Maîtres au .fourneau, jour & n u it, pendant '4 mjsjs,
Trois ,IlÆanoepyres:gonr,le ,m'ême-temps. .
^of&gaâr.il.eÿitretien du feu., j \ f
Trar^fparts & réparations extraôrdînaires. , , , .
, . 1400
-. / r 800
. . ■ 2890
TbfafISë.bcs Liv.
;fln„Allemagne^ ù ii| Pompe à ^ u .©rdinaire, conte cinq, G x^tepÊ eem
JïcitbVfcilû , »ffipnt pelant* (i)?
k%bplrité Angloife ,;dont j’ai purléfâgê 3 7 6 / ^ â ^ q u e dam
H n H H H y i
# f i es 5 Mscbias à feu » B | ü ™
mÆto f c iîs jfterling, ■& plus, • r „ , , - . 'tfi
qui eft une des-plus par&ifes de celle des
bâtiment dans lequel elle eft renfermée, en*
yàroni?o rnille lisresj‘A1£r.,...'â. ' ...............- .......... ....Æ.... ......,. ......1.. .. » . ____ t-, 3&éoh hy.
leq ^ l 'doivent être montées les Pompes , les
feis,pdu«gârhirsles parois ,& ceux pour foucenir & ehtristéqir
I *-JJ' CDmpris la. main-d’oeuvre, a coâté; envllèti â!ÿ
millet Mm,es & 1. I . HMH . 1 . .1 v • \ 11l ^• ayoo,d - ’
f 1 U H ^ * T o a ly y o è o ^ f
Lelfeme^de laMa'dhûie.nemploie que deux hommes, un CkéÈchàrgi ,
$ Ê k -manoeuvrer, nomrrît? quelquefois le Conducteur, & un fécond qui
; iVeftle à l’entretien du f o u r n e a u f e '^ j^ ^ ^ r e ^ ^ ^ i r it i^ o ; f l . ,
iM sP 0 M ue ¥ - ls Vicomte Défandrouins -évaluait la dépenfe de cettà"
Co^^çUom à 60 ou 80 mille livres.
La con&mmation ^ u charbon qu’exige le fournsaü , eft i ’atikht rifos à
confidéret, .qu’elle eft différente félon la,qualité des charbons, & que cette'
différente qualité influe auffifur le jeu de la Machine.
, J uelilues Maîcres de foflè qrayent pouvoir ,par économie, employer pour
le feu de la Machine, tout les rebjt de Houille ; mais le jeu de cette Pompe
demandant qn feu violent, & dont l’ardeurne foicni raUéntie ni interrompue V
auffi long-temps quelon, veut prolonger fon aéüon, il eft plus à propos d’em-
p ay^c tout ce qu’il y a de meàüeur; le rebut étant toujours de.défàite |>ùür les
(a) Le Reichedale, vaut trois livres, ce qui fait deux mille cent livres.