
*■0*0' jy W C R A R B O W D £ T R R R E
liée générait des Machines Hydrauliques qui fe conftruifenl
' à la fuperficïe. des Mmes , pour en tirer les eaux.
Les inconvénients que produit l’affluence des eaux dans les Mines, ne font
ni moins nombreux ni moins difficultueux que ceux qui viennent d’être détadlés,
& q d réfcltent de l’air ; à moins qu’on, ne détourne, quon ne ramaffe les eaux,
Qo’q an ’q n - d i ^ n ÿ l t volume, elles >oÇtent âlapour^affle des i l »
préjudice infurmontable: elles nuifent même aux Travailleurs , qui peuvent
quelquefois être fubmergés. | | j B m M • 1 -
En flifant .attention à la nature de l ’eau-* on éd ita it que l'enlèvement de
ce fluide'du fond^une Mine, forma un& des opémtiqùs^mpdrtantes d£ c«s
fbites, de travaux. Lef^akfes ’djopt l’eau eft cbippofée
regardées comme abfolument dures ; prifes enmaife, elles fontiqcompreffibles,
c’efl-à-dire , quelles ne peuvent ^ o c g ^ e t un ^pîutRe. m o in d r e *
ceflû qu’elles occupent dans leur état naturel..: -lors même què lia circonflance
^ ï^ ^ g r e ^ é d e ïÀ l e u e tp '^ 5. r ^ p ar *& $ $ $V;qfft-à-dîfdedans des féaux;
,.enlèvement des eaux, par raportMeur pefanteui>'( fixée ordinairement à 70
livres pir'pied Cubé ) eft un tra v # pénible .Scient ;lçs eaux alarsrentrent dans la
elaffedes corps pefants qu’il faùt enlever, esquif fait que nous remettonsà traiter
cm p njaaicre dpfedébarraflb d’unepattie des eaux de Mines , l<M%ue nous examinerons
feo'^ui coaeern© les. Machines de&nées Tenleverfles poids,en,géflérafj
Quanta préfent, les eaux feront^confiderées ,-dans le^èas qui .eft lë.plus
ordinaire dans les fouffles profondes , orTleur volume rcofifidlfablë éËgd&s
moyens & des agent^prbportioUnés, par l a ^ e ‘^ f c q ^ M £ , |^ |f l b f l a c r è
énorme quelles mettent aux travaux, c^ft-^dire, lorfqu’on cfcÿhgé,*pour
les tirer hors d’une Mine, de recourir À quelque; méchainqug^ n i ^ guée.
Toute Machine q ^ f e ^ à élever F e » dur»-profondeur, qtfelfe"quelle
foit , eft diftinguée en gépéral.pai le nom de M ^& ^ à m u t iq u e ;'les flqrrfpes,
M ' t i t fipsfin .l e s C h à p e f e ^ s Roifesmêmeaipfflufeoient être a p |e f lé è S » ,
chàirkydràaüques-fimplês c’efc à quoi f e réduit dans le fond le gran.dp^bre
de Machines hydrauliques que l’on a imaginées. Les autres font compofées de
celles-là ; & à mefure quelles font o.u variées ou mues par des agents cpffé-
xents ,/ou plus compofées en elles-mêmes, elles deviennent suffi ,ffl[p|r|ieufes
quelles font indifpenfables dans les Mines profondes ; au furplus les effets des
«nés & des autres fe déterminent, comme'ceux de to u te s!'^ ^la ç fin e s,
par les t e connues de la Méchanique: il ne sîagit que d’appliquer «tt-lôix à'
■celles de ÏH^drduliqUfi, Sous ceinom q u i, dans le fens le plus étendu ,Jp u t
lignifier cette patrie de la Méchanique qui détermine en général leS-loix du
' mouvement des fluides,"je ne comprends ici que la Science du mouvement
■M a
Æ T D E S E S M I N E S . I I. Part. I q i t
des eaux, feityqhà^tm,ouv,epfea^^^fl^fffon^g^dne^i™crpûndiculaire,
HoimSl(W aîruIaBrui}« (S®l'autro
ioevcccndiiës‘bc connoiïM^^Î'iu-
S c s ^ c eil5^d^lj|pg>'fiqucr,Vpnuvenc
- - n-C? * graiï^ HSH RMI
f |£ j V1', l*^‘l 1 ‘f » 1-1*1 - j 11/ 1*1.1 llrril*J 11 ^ »/ ' |if îffl | 11 1
t]pes *qu,un DirëeWu d jh ln u .s ‘ie £ d ik re riM 1
Sciences.
1 M T |,li:!, 0t^ * ° S dif|e|fe'nti', dqSofte /d en tten clans
? ihousj fli^ j g u i diopofons meme les
p bue eft uniquement
de faciliter l'intelligence de celles qui fe trouvent répandues L .
plilfiéuri &r d^’cicmntr' diPjHésd muciks ' d û t d û
mébhanlfme des uncs!o(u»de4autrës'.' t.
, 4l5e4t0Utes les ^M^ines^yâraüU^ûeâ'^Mb^ée'S'ajéi^eM’è à^ c^ïrmelle-
lus ||pmpes font: les-gf^ôi&nunes^& fes pluawa^'Èagéulesj -JMelSuea
dè'd'éveloppément feleurs-pattiés eflèntiellesjffuffira pqq^&OT& ffdus- ayons en
vue, g noUr^rjsififltohs uneiMotic© gen^i^e5^rfpûeçès3ql^bù,>dépindfeùr, ainfi’
que des ThMpafes'I'partles cfui-vlmrent. dan|-riïur iconflruâion, ^ ’quelque
^ p ie / e qu^lm^foifmntmrfei ierf.Ojcu. EnfinI ces Igénéralités tfcroHB.^accarm.,
pagnéès quïipêût fe'ryir 3 ’éè'llifpiifement fer la ,paseî.e^ ffÀrchi-.’
*<^ nes ’ ^ont nous- ■ ‘allons jsffayec fdeuctqnriei: nme
,idoe>-*? £
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^çiéfaires, la { I u ÿ ^ jH S n p R B M H H p K
r a m fl il ‘ t'e rirri^cTg
oïl SMi^u^axjEieii;loudeciu;lfaa»yftc<vifrffi
l^prqfcuqgn de. Mjr.eja ,"m ifi I
ûrênted^flârs^ Minesfe|&S: au^^Maûài^w
Maître des‘Min,es, Pour rendre la balance égale,
iX^'Sh1- ropnetatres des FoM&nea i on a
I f f t a æ . •jWlsiBBffljSiaiÿai qili;^^^^®fell^0
cha ^(jannoe par le lïcfç- \3,eilt r Jt Vlu-inell J
les PrBpiie'tairesJ/d^ttSiesjipfâ^OTgeV
ccîijfornis'î?^k: prijc ed.inïcîîîlÜEÎa ^llui jfî^îaj
vendeht I^M ù r é p ÿ ’^ ^ ù ta eX Mnesi JarsA
& BA RBO N V E 1 E R R E . ƒ / , -P-ak^ A i%