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» aipli le ;;Ç|;uromu . pendant çinq;'’heurefs f é nouveau charbon de la même
J> f i n s - ' d è * * & l & b o n d e b oB ^ ^ y o g
» jç j^ à différences fois .'de; la mine deifer taêleôifcÿëjf.ïeS- fëül&'ïlfeyaHtJ|®jijt
« on fe fert dans les travaux en grand-', qui font 1 argille
» «St j’ai trouvé aprèsfapération plQCeurs^partîeS'yê régule d« fer auffi^faites
» qnesl’o n ^ i l ï é i ’elpéref par lb eHàrboljvdë feoîs^::-l~euf'■%éûl|^M |rnbnéaJf tb
» fonçe. feieiïïpurei; taufS-cedent-dls-à l’aéüon de l'aimant -ÏŸete-*!^.1
»' pFerque-égale; à-osllë d’tin morceatri dé fëÊ de-pareil votej%&'i -
» La fqripe de ces morceaux iprbbve- néanmoins -què la fépafaticln dû métal
» & des fcories , ne s’eft pas abfçJumenî; bien fajte-y talus il eft f^Hffîcile^b
» l’obtenir dans un eflai_en petit ; le volume' de fetmatière m^fepas afllp.'
» .pbnfiâérabj». pour, former un bain liquide, le défetïdre desu^pfeffionsdti
» froid," & l’enlreï©n^r:,S^Z'longtemps pour que la pefanteur refpeftive
» en Jfaflè la réparation. Je m’étojs déjà bien- convaincu par l’eXpéfïenCé, qts4|
n .eft impoffible dans ces fortes d’eflàis de faim ©Süleir ^ ^ ^& jf e ÿ f f lBtaPi'éau.
» ni même le laitier , , parce que, le?refroidijrçmoet|^Kp'ujpur^^^irompt ;
» j’avoif donc pris. le. paru'de laiffer-for-mer le 6ulptdb'us les- fêêr&s ÿASc de
» ne rien remuer jufqu’à ce que tout .fut folidê, âu rifqUe d’&nt^m$r;Mfour-
» neau ipour e® tirer le culot ; mais le peu d’é ^ ÿ ^ b r dés -'petïtsj^m heàux
» empêche qu’ri n’y ait au fond allez de-chalëur =pbur Opérer Cette j^àrauon,
ri à moins que l’on n entretienne tout autour allez qê'<|&di?b^[&çlllufei^pb4
p lg défendre du contaét de *l’air y comme .-je l ’avôis J f e td ^ ^ S r^ ^ ^ d e n t
ri^ilririfprësleconfiai de M. Lewis. Au rêfte.,-csitte etrconflanceneRilge
» rien au réfultat, puifqu’elle ne peut dépendre dé > là'ASSure défênarbon,
» & qu’il rien eft pas moins acquis par cette expérience /-que-’ l®c®Àr|dp
» Charbon de pierre de Montcenis peuvent ré'düife^cêfn^létte'merit
» de fe r; é t je ne dois pas omettre que çes-charbons orit enéorëp?a||intage
» de durer près de quatre- fois autant que les charbons de' bois y e i^ p ilà n t» |
» feu moins vif à la vérité que le charbon de pierre bruea^/tnais plds fort ®
j» le charbon de bois».
Tentative : fa ite ' en~fan'g^.ed.oc‘i ->
Dans le quartier d’Alais, il-y a beaucoup de mines dis fer "Cr 3 P^lses
ont été pendant quelque temps exploitées avec avantage ; mais laafcJ^rté du
bois, devenu très-rare ; en a fait abandonner depuis long-tempjri^^pbirit1011'
Il y a quelques années que M. delà Houliere, Brigadier des ^Armées de
Sa Majefté, & Lieutenant de Roi à Salles , inftruit par feu M. l’Evêque d’Alâis,
qu’il vit à Cotterets , de l’abondance des tnipes de Charbon de ‘terre, dans
f i ) Dans la Vallée de Trépalou, les veinas de fer traverfent celles de charbon.
■recette
\
E T D E S E $ I I. P a&t; t%xp
cptfelBrovlncè^iimjigj^Saprèsl’p^Virage de,M. de.Gen’ffîn lf de’faire du fer
fpndu-, & memejdq^lférgé,; a ^ f ^ ï ^ ^ i b l q . ,M. de G e n lîm J ^ îp y ité
délie rend^-'M^lài^^ ^ ^ S feÙifitfdes foürneauxfen purifia le Charbons de
terre , on-fit.ye'nir-des p ^ ie ^ d e ^P y |é n é e S mais, tqutefUés o p é r a t i f
n’aboutirent; à-rieri; o^pÿünt p ^ i d § ffr.v ^ ^ l^H o u llie re , o^tfeufie fommô.
trèsrconfidérable %ÿe «les Æta$;Éopb,erentiqAcm, fa^Q^çoétt4jen6r|b?i l | , y
a vbeai^Goqpj, de'penfé dp |e d |: ce manque ^ f e g ë s ,ne le, dqqWç'e^â-.pointiïj
inflrpi^qiiaçe procédé étoïc connu & pratiqué onf Angleterre ^ il s’y tr-nlporsa
auxjnÿs .^gopyernement ^ W M .-témoiriridbfuccè J I p i n , u n J
de lan ^ ie& 7 7 é ^ i l efl^jMenpxà Mais.aygc^qx An-glp^squariecCJçvUvter-
Ç ^ l ^ y p i t chargés djexamine^a'^ec^M'. de. ^ P g | ‘li|g);e,lajnature dp
Çjfê#S^à? terrg„l%bonté desgmjnes,rie,feÉ.,,f e rm ais leur-rapport- ri’a^paMcé
5 le^ÇÎ ayjg. a^ét4 „ ^qu^rl^blloit; ,^ 'p n c e r auAprpiet .jdjlariqWia, .fJc
&S ‘h9£?%$à^|ÿgâdusf e | fq^du^tfqgAl^^Char^on.^de.,ter-te tiré»
de J la quant à
m 1 \ par la
Sn^ÿpn^ dulodâlL & ^p'ar;.les. fraù-»dujtranfporK, ; t
\de.fhàéfinl de fo is
fftfe sH o _ u iU e ;i; t
| Afn d’éconqmifè^le Charbon; de bois»dans les Gpérations.métsailurgiques,..
i 4 fe|gi§ ^a^!?î‘9i®|kppffible, en changeant jqgëlqpe çhblè^à; la^çonftruéHon,
| W^icy^e^jfquriieau,, en donnant, fu^-toqt gjq|^qf?àâmj^xî*étalages ; il
i férç^^j&pjp., 'pdffible_ de parvenir à une! fufiottyparfaitq.-I^. pâg^noÿ.ri"
s p a r à i^ l^ y ÿ io r ls îf a if à n tp a r tie des additionsfeorret^inn^âtlJ^pjirr-
I u9Iî^«K,4 rJ'!4 f ®ha^ ? n db bois!,.rapporte qMri’aptèl.lqa&kirciilements:
fo3jEffl&j®ar M. Jars ç fur les établiffeme’ntSj de.. ^r;bruQ&,> M* de LTayS^ev^
; de Ia,I£ouillc
[ P t . » f u i v a n tes.
Ôpa||;f^harges|(3)- d r is ^ n ç ^ c cinqi%.iemes detçhfrbon;,.&>uft fixâ-empV
i de houille, j
Tre^-dharges de taine avec deuxt tiersde charbon 3 & upti,étrid^houille.vv
Dix-hui^ charges de mine avec moitié de charbon, & moitié de houilles^
■ Le r é fu i® de ces charges a v été que -(lés deux ,prernieres‘ proportions
parfaitqi^it.^éuffi ; la |ônte a été b elle, & le laitier fbrtequiànt-; mais ayeq la;
‘ , b) M. Venel fait-une fimple mention de cette
enrrtfcrife-, ehap: UI. Self. Il.'Pan. III. Mg. jo'iV
t, y K Aifanijpartie de4 a?®ifadritedesr
M m ï ïm m U à & Mâfèri; y. qyantij^ djétcijmjrid^ aèlinatériauK -
>'qflij®iyent,'0pénsr & fùhiïjles efiets de. |a digpf-
tion., & qui fe mettent il ms le fourneau ' dans
>'au
9r o 8 gyB|8 »$P^s8p 8i9 s ^ 8 w B F ‘'''1 ■
f& A R B oN ’d e T e r r e . î l . P a m J 4