
I $ î i V V e n A R B G N T R R R E
eft peu dê'ténîpS ïbteê' la csfprieté ^ les Ouvriers ont même grand foin., pari
rapport i cë danger pour eux, 1 de ne'pas fouiller trop’prWfôrîd'âneifc^cette-
derfiiete couche. 11
GLàifzérd de V ^ nves , autrement nommées , G laijïeres-ttîss*.
Au bas de la côte qui borde i’avehuô du Châtèaii de ‘S. A. S. MgKqfe
Grince dë Coridé ,fo-»o'üvèrit ces’glaîfîére#.’,' formant!« pieâ de carrières
depieftes quel’on- âffüùillétes ancienaèmërit^dé ftÆs appélfoiene Cakiens>Ès
ÂlorMgi^ duriom de M. de Môntargis , Gonfeiller d’Etat ,- à'quUtoit'
: alo'rs-fo Gfâtèauv -, 1
. Ôrt y*trouy%-lè ban<ÿde^érré’^’nOfiîmé Èàrie verd, quî £ trouve dans les.
c èd re s du câl&on de Moxouris; proche la Maiïbii de Sarité , & qui fi’eft, fëlpff
M. Guettard ( r ) , qü une continuité de celui dôif carrières qui font dans ce
mêfcè Canton. 11 erent que ce bainc ddïè prendre ririeliftkffo'ri'de » p en te
de Ces montagnes , & baiffer ainfi pour -former cë baftc’dans l#fl^ifieres.
On" remarque qu après avoir gardé le plan hôrifontal pendant un feng
efpace, il plonge &defcend félon la pente delà montagne, fraverfèleSivallées,
& réïnSntede l’autre cèté-dans les montagnes voifiRèS, On il fè retroUv©fepvent
à une hauteur différente dé celle où 11 é ^ |- dans'les5premie'rés montagnes
Les gkifieres dorit nous parfois«“, font peü-élojghé'es’ d’un ruiffeaùiv^nant
de Clama«, & qui paffè entre ïffy & VenyeS‘, dont il fait le tour, il
ëntre par - deflbus une-longue muraille ’cfûiYeft -au-deffus dejfTfigliflâ, ®nbe
dans un large canal fervant à faire la leffiVe , &'fe répand daniMlfieurs
jardins (a).
S La fituation de eës glacières.’far une pente dont oS a* déjà tiré des* pierres;
.ne faille pas que d’abréger la fouille ; cependant une partie’du puits-Hr^icore
enfoncée dans une malle de greffes ^ffrer/e?’, qui rendent ceffërlpaéHon
dangereufîv .. 'r. “
.• Ce* puits ont, en conféquence de l’inégalité du tferrein /différentes profondeurs
, quoique très-vbifins les uns des autres. Sur l e ‘bas 'regarde B
chemin, du village d’Iffy, il y en a de 5>*/de 12 toifes dpprofondeur
avant d’arriver au banc de glailè ; celui qui eft'S4 a '‘tête dé lWenue fur fa
hauteur, a foisrante pieds. Lâglaife du puits haut eft marbrée^'cê
qu’une empreinte de chaux dè fer, due aux pyrites décompofées : la beUéita
■ gtife fins aucune veiné les autres puits ffen Foüftniflbiént pas encore de/bien
belle, lorfque j’aié té vifîtér ces glaifieres, & les eaux incommodoient fort
les Ouvriers^ ,
- •&* envirom,4e daqsja S^ e'j
Paru: Mémoires de l’Academie des Sciences, mais on n’en découvre aujourd’hui aucune:lja ti
‘Armée i i $ 6 , page £36. ’ dans, la ftlajae j je'-.fpUp'fO«S?, le
' KhJ ’Quelques Cartes marquent là chûte de ce.. '-dans les glaiOeies,
— — — — '
E T D E : S E S M TW E S . i l P ar P.
■'Ofltilp.■&ujlenfiles employés dans la EèmBâ} d’une (Slàifêfet-s
jkawtire donàfirfeùt làh / Bouille. ■-
; ÊEStbBtSfe( à'fe%iÿlé;
’.qui fu>ivfenti:i.i®êi'e^eeè..deS,jg%:>êffl, noinmiéé')par lei
Ouvrier^ irtevfdir ; le .manche-a tu pieds. &..dérniod’e longueur ;ï-l’â‘ lame «ffib
lié pâv le !>bôut’-a a .pieds ^ S
lîgpi'Ss'Sd’éf^iffeur. ■
■üh, hoÿâu ; «ifcne- diffesetdei Bin^ij%ifC1qùetp'aitîfo mattehe»quS%â- pas plus»
de 8 pouces rcéflîuneté^ecé dé eoùteSu-'âb'Sü l'a l'atnéj'a, l'e-s.nilfnestpropor--
tiOns^que li’incifeir ; enfi» une barre %esf%r .pour caflfea If^'piferre^' ■'"■
e -Les uflénffés - conijftentv.;én un- çrbqh'ê&’iïëso&rbé • en S , un ou
pMeurs tonneaux pourtçnlever les eaux-, ou pour -avoir^danônrôc-cafion des
^vs&g'dÿ-tout'faks. ~ ■
• - LeS- ;ptfé|%ràtifs & fes'manoeuvres' relatives 4 la fôuiflg ;
Rous nous fer-vhorts pour e^* ëonrier^ûnë'ldée j’-db-la'dejbriptfe:&-!quléîi -i'
lônnée Mv-le
A l’endroit ©ù-fo-n veutf ouvMr-, le-puits J on établît un mQuÉàet fi- n-pic ‘f
fëmMàble à,celui ufité-dansièS mfeésH1 dê^-jpharbdrf.'diA-ùvërgneib fert cfe
n0.f#'-.pQur defeendre & »iùénter les-Ouvriers , airiè que pour eidéyêr4eéqiSéï
Pbh'’vëxti^'ts^ î’É<ihE:près> de l’ouverture .du puits On feeréftrû-it une yp^tirè'
hutte y deftinée à ê trè |^ ;dépôt des pièces de glaifè à mefiire qUjeMè's arrivent
au jjqur ÿsfc’-/pùits a y pieds'de cfîamèrre -en largeur 'ja^u’à' -cë -qu’ejn. fcic
^venù-à' une’ profondeur de aopifeds ou1 environ féft‘ 'rièddnne
que 21 pieds & demi 'dte^diamètre, qui efl -celle de ftg‘rirM.ux ‘g donè
pM’garnit < ottp partic^bafie, coréme^qnale yerra par la fnitmS
e-lE®fque le Carrier appef^oit la couche'-nommée bdnc verd, ii-foQ.de afiix
Mj^MTrer dudiïjqui luifert'd’affife & quon emploie àfbatir. -
Pout détourner l’eàd’pu, dixième lit ^îptÿfpface- dans le putt-s^un tonneau
défoncé ; l’-elpace qui’l’entoure fe revêt de g%ifej;>>on puifè ^enttï|Èeî feauwqui
s’amaffe-dans lofi intérieur avec unfocénd tonneau ffuWdifemët-re feroîès grandi
qür-s’adapte dans le premier ; On en ajouté ainfi1 tf autFes -fiaceeffivepient, en
reinpliflànt les interfiiees- avec de la glailè & de-:la; inouflè. Cette ffz^g
faite àp dette manière ,. fe condéit-quelquefois jufqu’ati fond .de la cap»;
riet e. i
’ Comme le banc appellé la -groffè rrochc, fè- trouvé1 dans l’eau , on eft
obligé defe fervir de la barre de fer pour la çâflèr, pour faire :le-pu’ks.iÉ
La largeur dès routés: eft d’environ 3 pieds ; leur hàûiteür eft de y pieds &
( ï ) A laEitS de retardes couches de la Glaifiere de Gcntilly.