
$<jp3 ' jjlj• y Fonte Affinage de fier.. I
dans tous les point ; un départ exa£t des matières étrangères qui relient unies intimement
à 'la fonteî;i'& en même temps, dans chaque endroit , un état de confommation fixé pour
un mille de fonte , & pour un mille de fer.
1 Le s opérations d’Aizy avec les braifes de Charbon de terre préfentent, à l’égard des
réfuira es, un fait qui èft à remarquer. Il a été employé, pour parvenir à la ooulaïfon, beaucoup
plus de temps que fi on eut employé des Charbons de bois : dë-ljkd^uxÿndjuÊÜQnç
'■ très,-pEobables if^yoir;,, upe,.pluÿ grande çonfosnmation dq qoipbilfljt^e , & dans la,Çb^^|5,unp
qualité défectueufe, fuite n_éç.èflan q d.® la lenteur $vço Jagqêllq on eft paryepp
Quan a la^j®iRulauan^Y,ai,ilc e , sîïe ft aifé d’en juger en. luisantidans'le gjocfes^ytrLJ
les charges qui pnt ’euiliep^Muliiiiehaqiie gueufe. L ’attention âqÆçÿaEtiruiJèA fuivre la Fonte
du N°. 362 , & peut-être de quelques autres , ne font pas bien conftatées ; voyez la Remarque
6e : enfin l’infinuarion que préfente le Procès-verbal fur la gueufe N°. 3 59 , voyez la
Remarque 2 , mérite d’être réduite à fa jufte valeur. LeRegiftre portatif du Commis de la
marque des Fers à Châtillon-fur-Seine , peut remplir ce dernier objet : j’ai cherché à m’en
éclaircir d’unë mâhiëretpoGtive.- Une perfonne du voifinage d’Âizy, dont je puis affirmer la
fidélité , a trouvé moyen de voir le cayer du Fondeur, fie elle m’en a envoyé le-relevé : je
le préfenre feulement aux yeux d’une maniéré plus nette, par lajbrme de tableau q^Be.lui,
a i d om lé f fu i fecüite l à coup d’àtii fit la vérification dçs fuppurâ tiens qvià j ’y aitajouïéëf.
Co ro l l a i r e s pour fervir d e, réfumé à ce Mémoire.
É n terminant cette Analyfe des opérations exécutées à Bretëuil & à Aizy , nous
ne pouvons nous empêcher de revenir à une réflexion qui certainement- fe préfentera à
l’idée de nos Leêteurs ; plufieurs d’entre-eux: regretteront fans doute que les intentions du
Miniftre qui a facilité cès tentatives, que les dépenfes du Gouvernement foient entièrement
infructueùfes ; Ne feroit-il pas au moins à défirer qu’elles puffent fervir dans les
oc cafions1 ,ôù l’on voudrait tenter d’autres effais ; telles ont été ,mes vues en Sollicitant des
• renfeignements qui ne me font parvenus qu’avec bien de là difficulté, fit pour lefquels
j’ai été obligé de m’adrefler fucceffivement à différentes perfonnes : le motif d’ucilité qui
m’a conduit m’engage à effayèr de faire tourner ces mêmes tentatives au profit des endroits
dans lefquels, par la fuite des temps, S B auroit de l’économie ( à câufe du bas prixr) à
fe fervir de Charbon de terre par préférence,au Charbon de bois.
En s’arrêtant d’abord à ce qui regarde' je combuftible que l’on vôü droit fubftituer à
celui qui eft d’ufage , il me femble qu’il eft piùfieurs queftions bonnes à faire. .
ï ”. Ne feroit - il pas néceffaire de çonnoître d’une maniéré très-précife ou très-
approchante le degré de chaleur de cés braifes, par comparaifon avec le degré de chaleur
du Charbon'de bois, fit fur-tout avec le degfé-de chaleur du même Charbon de
terre bruc ? Pour cc fécond article , c?eft-à-dire, pour ce que j’appelle braifes de Charbon
de terre, j’ajoute i c i , d’uu Charbon de terre fuppofé convenablement chûifi ', un Au-
teur, qui- je crois eft M. Baumé, à avancé comme certain .èn général que trois dofes de
Charbon de terre cuit. c’èft-à-dire, ainfi réduit en braifes , produifent la même, chaleur,
qu’une dofe de.ce même Charbon donnoit brut, ou avant d’être préparé. .
• 2°. N’y a-t-il pas une attention à faire pour ces braifes comnie pour le Charbon de bois j
relativement au témps écoulé-depuis le cuifage , qui peut le rendre plus ou moins aêtif? ’ f
f . Pour les forges il ne faut employer le Charbon de bois qu’après trois fëmaîn'esdé fon 1
refroidiffement ; s’i l ’ eft trop- nouveau, il fe confume trop vite , & fa cKalei^,tï&-|ÿufiiije,
gltere fe ffer, ^ •
Les. braifes de Houille long-temps, repofées., c’ eft-à-dire, ém.ployées long temps après
leur fabrication ,j- çOnfervent- elles toute leur qualité ?
. Pour nous, rapprocher maintenant de j ’expériéncë en elfe-même , ç’feïFà-difë ;d’unè expérience
pour laquelle en cherchant à .éviter les frais d’utiê 'cowCïScWaaahoc ' njrS‘lës
principes de M. dé Genffane, voyezpage. i ï^ 8 , on voudroit fe' fervir des hauts fourneaux
de forges, tels qu’ils font établis- dans le Royaume fd;):.; Ne ppurijok-on pâs pro-
pofer la marche fùivarité, fi l’on voulok éviter la d'épenfë (|u"^ourriéa^prfqp‘dfëi: par M.
de G'enflané f Nous croyons d’autant plus devoir «x-pbfér ici;, cette marche , qu’êlle1 eft
le—réfultat. des réflexions de l’une des-perfonnes qui fe font prêtéès' obligeamment.à nos
différentes dëfnandes fucceflives : c’eft par confé'qujëfitiehp'fe'jà laquelle cëtte 'perfonne a !
feule part, qui lui appartient en propre, fie dont elle n’eft pas libre de fe dépouiller pat
modeftie. .
i°. Echauffer le fourneau avec du Charbon de. bois,. fit le faire, marcher de. même jufqu’à
ce qu’il y ait au moins vingt coulées de faites au Charbon de bois:
. (a ) Tous les fourneaux à fondre la Mine de fer, tant des fourneaux à manche conftruits dans les principes des Allia-
cors , & dont la tour efi .perpendiculaire au foyer.
'mec'les Braifes de Charbon de Tertè. j fpp
bon d e ^ e ï ettie ^ ChargeS> dans les Premiers inftants, qu’une demie, rafée de Char*
q i È .
■ du.Oharbon de terre, augmenter' alors.d’une autre denfieT%afée de’
ce Charbon, fie ainfi de fuite,> % a et 1U’on fût convaincu que l’on n è; peultfaire
mieux ; fl n eft pas difficile de préfumer qu il peut être fort effentiél d ’habituer M S i
corps.dun fourneau en feu a un çombufhble, qui eft pour lui un aliment tout nouveau^
V B , P i - T ' u md W t e 1* aau t a i l t n 1 qualité des | f t , que la qua-
MË de bois. -US fur le meme point II ferWties-permis de : enfer qu’il
conyiendroit d agir avec la même circonfpeaion aux foyers de forge ëonftruks fuivafiè
/ 4°- C^fch er à fixer la quantité de chaux qu’il conviendrait d’admettrë ffiit aux four- '
■MT X- r foy u* f0y!çrs forge , amfi que le temps de l’y admettre ( b ). De Futilité dé
-1 admiffion du Charbon de terre à la fufîon des Mines ; telle Mine en admett Ô © I ■ S H M M 1M V ê la
’ 1 u L el l bon nombre qui non-feulement(font très-éclairés , mais? encori qui’
S r ks e m l l • a C0I’n0lflancij ! l’intérêt général doit être une circonftance .
Ü H M Ü M H 1 ooqnnumqucr fur cet ob).et le ..fruit de leurs lumières fit de leurs expé-
nous Pelions de l’ufage que Pou atenté-des Braifes de
. non moins impartant]1 H ^ w È Ë ^ ^
. (b ) L ’Auteur du Mémoire, que j \
Jurées moyens d'améliorer les fers aigre
leur fragilité\\fait cofmoüre les, différer
Cité plus, haut y Jtfquelles il efi parvenu àperfeclionner-fa méthode dàdme.i-
• »ae Lf ur ôter ■ tr.e M chaux\fotidue fou# foyers de forges „ à .fixer là.
f tentatives par quantité & le temps de l'y admettre. *•,
^ ËÈ ƒ ° ^ ^ EJt aoftee* fourneau â’Aizji y fous Rougemont ÿ pendant Ù màià
%ar. K dâns la, J^iAarque y pagè >; i \
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