
t D H - C H A R B O N D E ' T E R R I ^
r. » L’excès -du-, froid & du-chaudfeftégalementÆiflfîb%;|fpnvîremêdre' aux
» grandes 'chaleurs ën-couvrant fouvrage d’une^ôuche de. te® l a i f e f r ,dô.
»paillaffsos & déclanchés , & oppofant a raA p n s'd u fo lé ilg e , épaifftur
» qu’ils ne puiffent-pén^^fihy-a moins-de-rëmede pourda geléê'ÿc|ui détache
»la cendrée lorfqu’plle laf faifit avant - quelle, aif-pu «cher ; u ^ » fo n% èw -:
» pipée ou même-humide, e ftW îe s ^ é o a v fe n t l e ^ i | x ; & fi K cendre
»ad e temps de fécher dans être atteinte -ni'de ila^ e lé e -n ird ’une|haleur*
»exce®vor,^elle devientdnalt^able à Kun-comme à L’aube,, & 'l# ||ip s qui
» détruit to u t, ne fait qu’augmenter ;; enforte
»plus-aifé dccdïvérifer-les pierres& les tro u e s.,'que de4 â^ujjïé*ï% 41e,
ij même.*.., ^^ÿsâê? Üw** < ^ *• î
».Là cendrée - pourrait être, ëmplôyée’.à tous les ufages au x ç jh ^ ^ ^ ^ ploie
» le mortier-de* fable & de' chaux, >11- l’on- vouloir ^en- faire11 la depenfe^;|car I
» elle y|lîfte à trois.-éléments auxquels-rienr-ne -peut AéGfterd le feu ffirait &
» l’eau; mais elle-a fur-tout-une propri.été,('merVeîlléufe‘corit-ré- g ^ p rn ie r ;
»quelques minutes après quelle a été appliquée,J4 t i i 'f ii^ n t ç 0u&*f^«faipa-
.»•avec- la pierre ap rè s-q u o i il n ^ a h u l - n ^ a x ^ n f ^ ^ e lâch ë^ le s eaux
» contre-l’ouvrage, pourvu5 quelles dorment comme idansBun-ï-^n ,, &|qua.
»oe'-ne foit pas une'dviere^d o n t.le^cd u rs^ftft|ffê â^ÿ ':Pou'r ' 3 ^ ^ e^■
»Dans - cës derniers-cas ,■ on-doit avbir-4 a^précaution*de^ret^^i^les.eauxI
» un-jour,,ou- feulement-quelqués-theur-esr; & -3L cela rie fe-péut
»vient d’enduire‘l’ouvrage Jd’urie cbddfre de^glaifey-que l’on^é|en&neore
»avec des planches çontre*l’effoQ:^%lâeaut?^V
j>-Une muraille ainfi-çonftruite durera plulieurs fiecles au milieu d’unerriviere,
»fans qu’il foit à craindre- que-fa •violence/,-. quelque-grande qu’èlfegmt ,\i
» fafle crouler, ni même qu’elle l ’endommage ’Jqêlle au ta dtfhc.t'oùte.Kiliditi
»qu’on peut délirer, mais lescauX poürronffiltrer:aU#fâvers'i;^;& fi *Vrags
»eft deftiné |d e s r e t e n ir la conftruâion-~dcfW$$ë* en conféquencs-(i).
Mortièr ou Hlaçonnerie-, au Béton.
Ou y emploie indiftin&ement la teffidffe'de HoUàfide> o ^ h .pg^olan: {})
ou la 'cèndréè^de- Tournay, oifmême-le ‘inacKefir^ à la quantité dedor^e parties
dé l’une de ces matières lùr une dé-chaux-, mefurée- feris doute vi-ve^, ^éteinte
en même tçmps qû’on-fera le todrtiéï'-j afin quei EefFervefcence- .qfi feyer*
pni(&-produire-pliis ëxaéèemerit la dtflblution''de.la.hlocaille'>&'d^^.^zzplane
■qu’on doit y .incorporer. - M. Bélidor, dont noUS^ômpruntons -flatte cornpo*
Ltion (3 ).,, dit qu’il-a,édé conftàté-» qü’après-dôux '.mois- d&'iéjQur dans,la
’ (1) Nous avons cru pouvoir'omettre ici celle
quVdécr-it.-M. GarirÉy. Tü'h .t :f /, - -i . -S-
‘ (2) La poi^olane,,' réfervée en général pour
. la conftruétion desédifices'bdré de l’eau / efb
plus tendre que le tuf, & plus dure que le
■ fable ordinaire., M. Hill croit que c’ëtoit la (erre
deTymphéa , propre à dégraiffer les habits, àpj
, pellée par les habitants de Ty-riaphéa & dçs.e .
droits xoifi-ms Gypfe, fbffim Tympliacum.
- 0 ) Aïchitéâure hydraulique, loin.rv, 1 s
m m O E ' W E & ^ M X N E S . IL P a r t : I Ï 3 £
mer'/-'ceéèe» ujagqpne^^|§§j>pofi>it uimfe^ps fi dur qÿpp trouyi plus qè dim"
culfés’-à-féparei/fés parties-que, eéllës->d?uq ;hlpQ de l^ meilleur^pierre.
|Gomn)é' quelques ^détail?, fui> la* rmçodnerie d^Beton neqae'uyernj manquer
d’intérejîer.lé's^febfonnesitgÿîpourfoient f#ti&i£véracfenà le casde l'ehipop§ÿ
nous TapporterôHÿiwles 'expériences* três-ex-âéles fâfées a'TSdûlbn'fur la quanti«?
de'-matériaux-d€^é'hâ'que' elpeCe-Jquir entrent dans, uni? toile, ■cûbe','dë- cette
rc\gqeftpîgfïi&]te$t*p&i$§-f if^tlefrips quil fautJpour la faife & la 'plonger dans
rlluf,J entre ro^&i 18 "pieds der'prcïondeuf.
Pour-,remplir- unëwfdndation quh’&niierio'iÊi-i^ftoifes cùhes'lfon à employé5^
lavoir':, i '
y ^ 2 sBÎcds oûbes de./Ju^oÆq&roug^jA^'livr'ds le pied*, pelant
- 47T p’ic^sÏGuBus'dt^'fiËl'è/-à i xMivresîl^efenÊlétîfègfriblfe' -:'3 t '*“p£iè'f-
1 o ïqCpibdf. '- Jçr- rÆoùpes^.dÛ-fefèr^a? à" ïio'Clifrref‘pelant '
f L ' n ' f é m b i e , : j l ’f .* ?>V I.*
I a’q y p ie d s> c ô p e à îd e ^ [û î^ |^ 7 '^ tc é ^ c if l é ,,i<*fi:eferf§<e n fè n iW e ’- -. . 18800
, y cl) p ie d rubes-^d^îeliau'i. v n t,jGonc aik1' ; pélmt^ 'effa eun- j6 1. 1
îfcihbloüî-, V», i'
’ 'foS 3p^dÿ'citb6^délpiSrr;ë,-a|É(fo,lîy'. chaque Ç &en|einMe''-'. 1^88Wos
; Totali'ti®is-l'm-ine')neûf' cerits* tÿferreJving&dfedri^tpieas«c®ês' de
1 pefanc!rènleinblp ^ . V 5-?*(
Verrerie, •Ertcré^d’Jffîpr 'imerie->, Bleu de 'Prüjfe , Teinture ' en* '~j>etî£~ lté ïn t,
/*■; 'Teinture y 'Deffîns &eir
Les Verriers tfont généralement'dans l’idée.' que;le'mélàngef'dësfcéridrés
de Ho'üille.*ïieïpetit - étreitutife,- dans les matières propres à-ferre du Verre 5
lffennk41nfPeaio’ri.d4-co qlirin* appelle-tmackefèfàjÿoui 5n âppefçoic difV
tinéhpfpent une elpece-'de vitrificatiôïT, rend très-douteule -l’opinion desi
'1
A-%Süfebac }ÿBifcicipauté de Naflàu ; la fuie du Charbon de terre que l’on
calcine dans le-fourneau dont-nous parierons tout à l’heure, étant recueillie
dans la chambre 'OÙ^débouche la cheminée, eft employée tfès-utiiemerit- en
place dü.noir d’iyoire pour-entrer dans la compofition de l’encre d’imprimerie ;
elle peut auffi , félon M. de Genlànne , feryir à faire la fécule bleue , nommée
le bleu d'Erknghen , qui ne le cede en rien au plus beau bleu de-Pruffk , que
Ion fait n’être autre chofe que la terre martiale précipitée par l’aljcali phlo-
giftique. 4
t1) M^lenel, Chap. ■ a , Seft. 3 , affuraI te , meme fans addition, à^qu’elles fe conver-'
:aP - p r o p r e . expérience , que:çes;,çén'drès 1 ti-flenc ■ en une - matière vitreufe : analogue au
pouuccs au feu dans dcs creufets,entrent, en- fo'n- | mâchefer, jg