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iPfe^°paflé^ à"la
" Les chaudières font eptier.eqient en fer forgé , donc les plaques fon|: l | H i
m e n r c L ^ ' ^ n f ^ f ^ & ^
« « t e ||écéc|pitu|atron ^ Q ^ Io 4 p i^
cfé,laMamipe,à feup ' :r v’T t.* ,;;T. JT :H f lB | eï"^
Outre les deux p e t îo t^ à i^ q u i w M « c h i n e Æ t e “^
fcle^mÈeuîde.ciiaque àaucfiere, cmi^ efauon'aeux ppuces de Æ ^ ^ tre /&
dont l’extrémité extérieure eft toujours ouverte ; 1 extrémité intérieure prend
prefque fur îa^caïotte dans cet ëndroit le fond de là chaudière , & p ir
çonféquent de,beaucoup, au-deffous de la fur Face de 1 eau bouillante ; niais À un
Ouvrier eft négligent, & vient â s’endormir , lorfque 1 e ru a baiffé .jufqu à
l'embouchure du tuyau , la vapeur fort avec beaucoup de violence & de bruit,
ce qui avecçit qu’il n y a ■d&au,.:^fajfléviem^jni^pM~la
mgnr.de' brûler ,Le fond de k.chaudiprcÀi^
on en 'aff. donné-amaqt.: elle ^ i-i p p k # îÇ qn’fc'jTÎin^ë^
Defcription d’une Machine a. fe u de la Mine de JValker, à. trois milles
'^ fa i f j i de
C et t e Machine, .jm.iugfment.de M. Jafei^eft' fft nbis oehfidéj^ble de
toutes oellesVui font é t ^ lm |^ n s 1 ^ _ M u ^ ^ \ ^ ^ j a e 'l l ^ n g j ^ ^ M f e
penr-ptrela . p‘l ^
Elle jertjàt-élever feau d’une Mine' qui a ^ü^tOTres dHTrrofonde ur jjjjcrpei î-
diculaire ; mais elle ne l ’éleve que de Sp toifes, attendu qu’à 11 toifes de
profondeur , on a pratiqué une gallerie d’écoulement de 4 pieds de hauteur,
for 2y0 toifes de longueurffa), ayant .fon embouchure à 'la rivière .: elle a
“éfo npife;âp'pfveau deTà haute foaréé^dfe forte^gii^M ^ r e ^ m ^ ^ ^ m e it
qp.e la couche deJChar'bon dans qette lylme, efFërtfqoh à Sa toifes^iMeifous
du-niveau de la mer j£).
Le diametre du cylindre eft^ de 74 pouces, ce_ q u i^ it ^i5p^poücés’'biep-iIe-
Çpf, au de 15 pieds 2 pouces Anglpis, & là hauteur de i-Q piçd^qMepû;
on compte qu’il pelé plus de jy milliers.
Pour fournir la vapeur néceiïàire à ce cylindre, il y a quatre chaudières
très-grandes, dont trois-font toujours échauffées; une des quatre eft de relais,
pour s’en ferv.if lorfqu on a des réparations à faire.
; Toute la .partie des chaudières qui eft expofée au feu , eft faite avec du
(1) Voyages Métallurgiques, page iyy. ” 'I 1039. T T 'v • 1■'•-.ï T l î '/■ v.
(2) Voyez la longueur de celle de Frefnes, U (3) Voyez'la Note , inférée,,.page yyp, de la
... page 873, & de la Mine de Scora-Grufvan, pag, | fécondé Partie de notre Ouvrage.
E T s P fô . ^ $ : VM W .E iS . t i . P'a k t . Io 6 l
fpftcbattuqéd'tût env,;fpl^S/, j quffe^f plpuéqS) fpfçypbfe de la méqi^fkanigre que
les cpftelçscppttr j lesTafings.. ,I,afpartie fqpér^urç, qui, fqrjne pn! dôme j, .eft faite
Tg^c du plomkâetMÆfcMffifeles,, g|||^xpgpcign placée j^tmé-
'matejâem.au-à^ftous du &J^al^.~ ^dont^mit&~ la <^qste , au lieu 'aezr^ën
fh m k 'l çgptrjfage (le,toe ,^es «hÿ^iÿrcs de foatieres diftTéi
l i i . n’a p l^ h c iMgüfcieMcmcnt ; ojLik^ÿittoj^dement de ^ler.
■Le foudadesi^hauditeres'fi’eftjpoiint p l ^ t , ^ ^ -foruiaptjiipe-^içj; dp^ycîàte
ttèsréleVée., „ayantlia figafet d’b te iÀ ^ ft^ ln -fte ^ é ^ g ^ frig lq s -d e .forface au
feu.i'Glàt:un:é,dos>cha]udieres Tolirneaut& ^ à f i z j I y a. pnç frès_
gwoàa.ge^fî^»».. »ufle 9fr?tfiflrf a & f laquèllpçom
m^j^adharbon^cpflr ajae^perte |dp<%j^uiqpée.&c^ df8î«Wt,plpjfpprn4att eft
4i^)plfê-adenftiçoh que ;|a (flatpffleClaViipt:,-deipaÆV.ei^j^ a ig lTqminée,r .git^iilR.ftq;ij-
amQun^faj^plidi^rprjerîjSwnCitde jjpîprofite ,;8fg^^|lg ,,h ohajgpr
pbtdrqdîil eft .^effible. ■ (
^Mmhaudiere^tdontdefdêèifir.eft^entQ.Hiv^ÿ^fl g^QapN4 Jl-dqil^s.du,<cyJâ'ndr^;
foais ^nfEe3ideiixa,il ay »a'jUÙ'.iaurr.e,petit ‘(fliûdiie fe.uièfognqjde .3iMiçd,s'l 24j3'haia:
8c de 30 pouces de diamètre , que .l’ofr peut nommer le -pmrllfii
ffijiqir*} •pîarce^q^.ëi çleft |l@<^i^^JCepd 4 a i vapeur des jreâs^lyudiftr^^ ; j .> f ^ ^
échauffées par ,,des Tuyaux de communication ; delà elle pafle dans le grand
cylindre, à l’aide du régulateur. Il eft aéluellement d’ufage de piaeer ce réfer-
voir à vapeur au-dcftôus de chaque cylindre de Machine à feu, &. même de
»avoir apeuae.chaudière, au-^déffo.us de ceréfervoir. La principale raifon eft que
l’on fait les cylindres fi grands, qu’une feule chaudière ne fuffit p^rÿaiügjjrs*
-iféft^eflentieJLdlen avoir,fguj@,uf§ ,uneen gas.de réparation,, .pQirr-.ag,p^ ;^ 0rï-|te r
da.hfacjûne ,.&,n^ipa^n^tFg ^es ^ g itijqpjt>ÊnpuçSj dansrla,qé^ff$é«de ftjfpen-
-ffre.ll&xploitation , puifqiie lçseaux mortf&rpjea.t Ænffqçt -peu-de 1tpmps,& noye-
Toient les Ouvrages. L’intérieur du cylindre eft fi.vafte r qu’un feul tuyau d’in-
jeélion pour fournir les eaux froides qui conderifent la vapeur, n’auroit pas été
fuffifant ; on en amis trois également diftants les uns des autres , & qui font uii
■ très,- bon : effet: .
"v TeÆifton’fdu'tcylindre,eft fait dlune-fpufëjpiecfe .bu coulé, dans
lequel il y a cinq trous ; celui, du milieu fert à fixer la branche qui le foutient'
les . quatre autres fervent pour quatre tiges de fer qui répondent à la branche
principale à laquelle.ellesfont.foudées. Tout autour de cette piece de fer, il
Y a un rebord, que l’on garnit bien avec d. s morceaux de vieux cables ou ,
cordages; on met du cuir .par-deffus , afin que,le Pifton joigne bien au cylindre,
empeche leau , qui eft toujours par-delîùs, d’y entrer, & que le yuide
s y'faife beaucoup .mieux. /
On eftime que cette Machine a une puiiîànce de 34 mille quatre cents feize'
^ vr,es ’ qu elle n’a que trente & un mille quatre-yingt-feize d’effort à faire ,
& qu ainfi on épargne, quant à prélent,, trois mille trois cents vingt livres ,
dont on peut la charger en cas de befoin. '