
5 ^ 4 £>Z7 C B A RB O N DE TERRE
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L 1 graqd Piflon du-cylindrf g en fer fondu, q u ^ u e fo « de B | |
3 g , qui Wk | * m ?ft H * m m™ **
»n éjcrpu 9U .J9 ? “®* *4®?» $*S W* ^ y P°'nt‘
■ Fçwd H f $#*#!% H H , .
| 2 y S i greffes chevilles 9u bpulpfls de fer , fervapt de pm*
o u d ’ai'ffieu, furlequel to u m e n t i^ v k & autres pièces de bow, dans u»e
Mfehfge.- !
'Chaînek^À porte le pifton du cylind1**
porte la dge ffpi.S9PÎ ies F9W es ®$§jPlp|
1)^5 deux chaînes des halanciprfi *
'■ff/t&ft qui jEgpf mouvoir t e Pojnpe?. g '
p Ws la Machine de Bois-Bofftt, où Uya ffeq Pompes, il y a des pieds
de barres. " f
Dâns la Machine de Griff, on compte 73 verges de barres de te ^ e là n t
enfembleeasiroff ■neuf'quintaux.'
^ EeT^Eatm réduit efL'tqle s ^ f
l>our h partie des chaudières qui eft expofée au feu. ^
môrcéaüx de fer en virales eu j deftaiés |^C#raffer
^ à fo rjlfiey d ’aptres pièces. É|§ . .■ ,.-r ,
' Rèjjbrts différents, pour foutenir le Régulateur, & c ,& c , &c.
Clavettes, clous 'à‘vts , barres , 0 içau£f ^ 9*
Qrtffe. (lÿ fojjpieffli. t g u
Ê<üièk > ou petits morceau* dn feï » J?te$ > droits ou çpurb^ j ftndus ou
ç o ïiîte p » un bout, & à une queue d’a t ^ É Pat l’autre, fervant àlNenit
des pjieèes enfernble.
:Fourche dont la queue aboutit à la clef du Régulateur.
Broche Àe fe r dépendante de là ç itf <fe robinçS d injection.
■ -Cuivre.
PqURle?plaqv^squ"1 formentfe dôme4e ŸAlambiç,* .
Pour le Ço/fct ay fond duquel eft la feupape reniflante.'
R@Uf fa p/f f l f elliptique. placée fur fe phafflfeau de l'alambic* & quf
çeût s’enlever pour entrer dans l’alambic, lprfqu’fl a bpfoin de réparation.
Pour la Plcfyue circulaire & horifoqtale.
Pour les bouts de tuyaux.
. Plomb
Pou*. p.yauxy, Jbudüres, & poids, de la Machine.
£)n a toujours de ces poids ou rouleau'jç en plomb d® fercrcît > afin d,£U
E T D £ : S- E S , M / # ; E 1 1 . Part; ïq §j
éjô.uter felqn la fprçg?d.f la vapeur qy$ 1’#» yeut ayffi^jf^
Ropr la Cmpe sttacbéfjjayef une fetidf fer fe rebord du cylindre,’« ^
Epur charger les Soupapes*
.(Pour l^Afivem.dpntton charge fe cuir qui foy yrelaepurppne du Piften, ne
Pour
P o u r Çiterfig Sc-ïÇuyéttç.
^jour doubler l’intérieur des$jadriers, qui ferment le réfeiwok prpyifim i^l, |
Pour t e «mq pièces pfaces &u:irçuiairÊSî, que l’on place fur la’platinedu
piffon.,; a f inM ^ ^ p ^ r 'q u e le cuir n’abatidohneflesxôtés du cylindre, & ne
fe^refferre-d^lui^êmeï
Cuir.'
. Pour rpÿtiîl le boulon dont la fente, de la cpuHjfe eft traverfée.
Pourdaèpiece fem,blable à la “bride d’un cheval, ça cujr, longue Re traite,
qui èhvirdM^île1 -piffion^affii »que l’air ne fèf gliffe p o i tF ^ o h # l e & c ir-J
a ui dsiti'jpiedçe 1§ pjrliodra ) de, maniereiqup fesr 4&t8s*iÿ>iga^«|
bien ceux du cyhndrei'en-d'êhors desf^ous.^l
f^P fiq n e fe ij, ,i' la place 4 e nuit, une longue meche ou1 étoupe molle, bien ^
irampée, fient If piflon fetï^».
I ify a fB ?, $<5 Vernu 'différents.
, Li.$,pteç§sde fi^c^qdieÿf Ifanttfspefées Iffaît / *©n
J|tpgl^ér différents fnayfns ponr t e garantir;.d| .la roiiijlp t 8c différentes pré-, parafions pour fep4fr:iff^46HrenaeRt jl|4,lg|pts <fe fes pfeques de fer» v
•PWus\ <£■ C im e n tj^& ^ e r f^ t amRtesfans leS^fines'fè-SleT rcaflle,
i ' S fà tyd iflff & \a Afac^ ^ fa è , ...
afin aPles itnpêïAcfmet çûùl'er.
M 1 de 1‘huffe, en ponflflance ipaiffe-, appro^’
chant 4e 9Ç-te du çiçiant, pour .epipêcher fa rouille.
On^en^ d üit qhaq^e^fwnfi^e 4 e ff Cfh^tfierp en-,dehors ; & or fe rfnd plus
clair, ,4;,iïi9ios épais »^OUf gfindïf l’iuftétieur & l’extérieur de la Chaudière,'
afin d.e Ja^onfetyet Â. de la Méferyer ffe la rouille.
Quelques-uns préfèrent"de nàôttre entre les jointures des plaques de fet
un^eir^mt compbie de fang de boeuf & de chaux viva t’ on y trouve îe^ n
çipyénients de,.fe.jttpp -durcir , & de pongeyle,.fer.H; ,
feejCfS différents matériaux préparés, .conformés diffiérflmmflnt , réfeltenl
t e pjeces également nombreufes & variées qui entrent dans la confiruétion
Préparation, de ^loföb ^calëiirë ôn rouget