
M £> ü : C H A R B O N D E T E R R E
Oue'fc'e fait l’u n t t a n oe f ,<feuvfa P&u*
mouvoir I H H
W ü eft capable S S 9 E l | D | B f l K 1
pendieufe, qui ne mMcîeri Pi> jaou.,«! aum »0 effet trè^ufét.eu, à-Sgu,
l ’a on attendojt. * I ~ . ,
Les ’recherches par.fofquelles on B i i l M B *af ntS an}i
mauK, b— M m u hm m m m 1 1 « m
d’un homtne 'eft H H H H B I W M
d’un i M H H I ainü okço nftà nces*fo pennettent.p
. doit employer p oB ^ b u y o ii une Machine , l’âne;le cheyâl^gerablemeat
^ 1ü ° Îb e a u c o u p ld e4 s-o ù l’homme a de l’avantage , tant dans fonKlli*
gence H H fe procurer-des Machines iplus fimples.y W W S W
Soins fuieles au frottement ou
' perte tfné partie de la force’mouvante dans ces
s'attacher à proportionner tellèment les h r a s ^ ; levier m U H g “
prennent pas une trop gïànde vîteffe, fi l 'o ^ v ÿ t tirer tout,le pamMible
de" leufrfôrces. _ , I I HflH : H H 1 H 8BH§ I „
"• c l , fdrces font M e différentes-, félon quelles, font ^ p f é ç S? dune
‘ maniéré oû d’une autre erV. g ^ r à l ^ s h
qônfouàion la plus fimplê d’untf MacHïne*( voÿez p ^ J s y }on dofeonfi.
, dérer ^ ‘particulier ces 'forhes^elativement 1 leur dîfpofiÿon , dans les
Machines petites ou grandes vfijnpl|s _ou:c ^ p o f ^ ^ ^
Examen, de la force des hommes éludes chevaux, pour, faire
agir des Machines.
Des hommes ‘appliqués aux ^ a Ç M è Jf J 4 eveA
M. l’Abbé Boffut, dans fesEléments dè Méchanique^èn examinant|p|ion
H R ( M M M capable', eitîme^aVec M. W B m m Ê Ê Ê pqUtroit.donner
pour tâchèYun'hbmme'd’enlever tao liyres , à un pied de hauteur , |||haque
feCondé de travail. ? .
Si l’on applique un homme à une manivelle dun treuil ,ordinaire ,.l'expérience
apprend qtfil,’peu|i|ir pendant 8 heures, & faire,faire à ÿmaniyejla
trente tours par minutes, en foppoiànt 1°. que le rayon du cylfodre & qçlu»
He lâ manivelle font égaux , & chacun de 14 pouces1 ; 2°. que f P # * appliqué
à la furface du treuil eft de 25 livres. _ \* ' ' * $ % , . |> •
Le principal point de' cette'Machine, eft que la groffeur de ^aiffieudoit
proportionnée à la longueur du leyiei, enforté que deux hommes ppiffenty
AMT' DE S;ES MINES. I l , Pa n ¥•. ’ xtùtf
îfàyaïllêi pédant, affixsliqhgsteiBps ,i fans fe fatiguer ; il, fai$.jfeîîÇôrè qüè le*
jf£fg|fô§ proportionnées, jtlahauteut
d’ün Hoi®nïel;-‘v*:
- La Grue, quiieft,un.cômpofé d u ,,treuil & de lâ^poulfe, eqtri auffi parmi
les Machinés* employées. dans les travaux de Mines*
Il -ri’y aippintide’jeglesdét'érminéespourlajGonftruéliôn depéttb Machins $*
c!eft, autant qu’ib-eft poffiSle ÿ'felQn'l’ufagQ^qu’ot^vep^en'ifjire*, & principale^
ment fêlopi*le»p@ids» que "lfoi§ veut enleyeF^eyçquifej^fai&ira^r-rda conftruq-
lion., quant à la.dilpofition de' féspatries,do^tjleKît'ptincipales font le pied, le
beè'bt^l'e-iranchec, & les poulies. N ô ^m g e t’a^'j. ,t& PI, XII | SCpag^.-ïb^iki
i-.Envappliquant .à. lavGruejj.ce qui é.ta,jdiptdu*jitfsuili & des, poulies, page
914., on.Ædnnoîtrdi’effet &îla;f^ce^de cette Machine»
La différence cduvprodujt* iféfoltant de là fq^cq, dies0homrn<ey.dt des chevaux 4
appliquée à. une .grande.Machine, eft trèsnremarquable,^.,
«ï'Les^ Anglois^quLont. comparé-enfernble’ces deux forces , one.j.reçpnml?';
que pour tirer j^cftïq^'lix ouffeptrTravailleursÆmjégauXjen.force à;un,cheval,!
Se peuvent*,àVécjJa.mêriié-.faciMtéippuflèr.enîrond le Jégji.epj horifontal,dansiun
trottoir 'd e 1 4pypieds»; 'mais trois des im|mg^homn^e^pQufferp,n6, Girculaire-».
menbdansifuni|æ0ttoir„ de 19 piffdsSj ,Un;lggier£qui ne, ppp^ra^pas être tirépa^,
un» cheValy d’ailleurs égal-(àpcipq^hphip1i^ ^ x ).
Les |eatcu%,:du jBoétetira D^éfagulifcrs jpeuyent'-.foryiç de*.,guidés .dans les
ûbfervatiorts relatives à ce point de,Méchanique^pratique ypipil^jaflage,da
fon.'Güvrag.èi. (a)»*; i
Lorfqu’un- homme fait tourner .un, rouleau ;hQ|ifontalbQh^f%yiÀ^î!#iaYeq,
K une-manivelle.aiïsSrutre manivelle, il n’a pas plus,de 50 Jivr.es pelant,qidagÿj^
».font co.ntre lui|y s’il travaille...io^hepçes^t jou^ tS.&. s’il éleve le poids-, à,ep.».
aviron- 3.pieds & dëmftdansjunq focpndesi^qequije^Ja’lVÎ'telîè'ordinaite.ayec.
»daquellèiim phevàlÉireÿUnpoids.^'Je-disJjo^ fogpgfctle.diametre,.
». duyvindas ■ égal- àiià^HLftà.ace' du centg^jauj^oude de la-raanivelle ;, satis’il.
»,yiàÿf;eoin’m,e.à l’ordinaire , quelqu’avantag|î}méehanique , 'enfortejqu.é,le diaa
) »'pnetre* de f athre-’ for .»lequel, la. corde ^gfttentQirill^è-^Jqit ^4. qu.ijf V| fqistmqin-
ÆsdrKqëgffe-diamètre, .dliiCptGlé^uelaij^at^^^^-î^lpîilê^poidsji^^figp y,
»^tlprpaanï l « i q u i > ,• -la ,ig?id@uE .de 7la
» corde) quatre,.ou,cinq fois.plus grand.,qU^^p.liyres , c’eft-à-diræ.,-autang»,,
Vqt^âe 'poids1 fe meut plus lentement -que la-, main.
Dans Cette opération , la* force*.d’un homme'varie d a â s ^ à q p ^ ,aft:*&'v'^11
ue^le |Q[ue&là manivelle,«décrit ; la pitiïgrande force el|,lorlquun hommâ
» tire 1k.manivelle, en haut ,.d’envirop là^h^ùtëiji'vdp.fès' genoux, &.là méirt»
(*1 :ijl| François fappofent toujours tin cîie^ (
Val égal à €ept hommes : le. - Do&eur Défagu- ’
ac^opt.e' cette évaluation. Il eft. à propos,
.a’ob'fefver eH>',paQaait q»ne les expériences qui fe
Charbon :de T er re. IL Part.
||taréSm|fîü: cê wjêt dans lé Phyfiqttê
Expérimentale de ce Savant j ne fonr pas tou-,
tes également précifes. -» j o}ne ÿ, Leçon IV.
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