
.?oS D U C H A R B O N D E T E R R E
troublant le fluide-magnétique qui yiorrcule ,• eeiqui ne manquerait pas d'arriver
û les deux parallèles-étoient trop proches flua§^:l\utre..M ^
Pour mieux aimaritèr.émcqrerjmcier& rendre le.centre magnétique plus
fénflbieti'on.pQurrbit prefqué dire plus-déterminé ,">on a'tecoqrs à la méthode
connue à I*pndres fous le nom. delà dophle-touche. ~
i°. On prend deux barreaux magnétiques, qu’on .applique par leurs extrémités,
& en>les inclinant d’environ r yî?dfe||résifor,lâ. ïegle horizontale & 'vers
fon milieu, en forte-que leurs extrémités défignent tjës pôles contraires , & que
ces pôles s’approchent l’un de.-l’autre fans fe toucher-.
a°. -On fait gliflèr ces barreaux magnétiques également; & lentement y en leÿ
écartant toüjours l’un* de l’autre fous la même inclihaifon, & ayant attention de
ne pas aller au-delà des extrérnitésrdedaiguilfe^qu drijyêut aimanter. : ■ •
3°. On recommencera plufieursfoisice^e opération , jufq^auyc^me de fatà-
rité-ipdiqué par l’ulàge, obfcrvant’tbujpurs^e nefp’Ss déborder- inégalement
l'aiguille qu’on frotte avec les barreaux magnétiques ƒ ni de'pafle,r, au-delà de fes
extrémités.
4°. Si l’acier de l’aiguille ell bfe'n’ clmm , lüKfoüt folô'n la direction des fibres
qui le compôfen!’, & s’il eftdiom^enè$ l#oe>;Ç|kmagnétiqhe
milieu de cette aiguille, c’eft-à-dire l||ue;-Ies deU-x’p^leyd^ÿextté'micés auront
des forces égales. On pourrait y procéder en» ajjpjicjûant toujSüfefous le même
angle, un cifeau tranchaht for ce .point du mili&uV'&'GOnîmeh^P^^Srecoù-
W 1<>c deux barreauxrfor ce-ciféau- avant que de'defcendre/fur M g rfHé, aqu’ori
auia fèin de parcourir comme ci-devant. On aura attention ^ e T ^ ê m^i^mjieri
arriéré lès deux barreaux, jufqifà 'ceigirils paryierîndnt en m^mbîtemps à>cha-
cune des extrémités de l’aiguille’qu’on. .^îtraîm'âritèr. -
Cette pfau|üè*fefl ufitée’à Paris" da'ns Ie.Ierrïp'lé,_ par l e 'Æ u ? S ^ P ^ P ^ |
indiqué par-là le meilleur moyen de'découvrir lâ-centre magnétiquà,fqu’il
a fohjours la liberté de placer ainfi oà-il le*jûgEff propos J^fi«fel|giyHlÜen,
il lui eft facile, ivoe u n cbmpas^Oe diyifer ^ réglé otf inpM e
lement, & d’y appliquer fous un angle d e ^ iy ^ a -o degrés', f& id ’éque’r î | à
l’aiguille qu il sagit d’aimanter ) ' le cifeau p a rlo ù .ilS jt commencer-'à Conduire
de haüf en bas les barreaux magnétiques. On'çoritrinuèjete la‘forte’ fans interruption
& d’un mouvement non-finterrompu, .qui’foit uniforme jtj jufqùla chaque
extrémité de la réglé ou de l’aiguille qu’omfe-propofe d’aimanter.
£ T DE S E S M I N E S . ï ï . P art . pop
Des Travaux de Mines qui-,s’exécutent par 1$ fècburs
' ' des Machines.
N%ceJJîte de la Méchahiqu^pour le'MÈees^dî' ces -o p éh à tip n s"
®*Sb donner de'l’air dans une Mine, Cd t-à -d ii^ ,n fin 5 entrer un»nouvel
air, ou aider à la libre. circulation de’ q u i j fWf , » fe débarrafler des
eaux qui^êneroient. confidérablement , pu>')émpêgherqient même la ppurçhalfe
des veinés’; enlever le, Gharopn du fond desfquterrains( les plus'éloignés hors
du puits d’extraélion, fqnt les trois opérationsles plus cdnfioerables des ’travaux, de
Mines : e ll^ ^ n t:pm B ipÉ ^ ^S ë n iiid iâA éS 'n à r l&feMtt^leS;-jâifeitËés par-
tièuJieresÀ;^ „ & par rinduflrie variée" qùfoMes exigent pour pouvoir
êtnrformontéGs1".* ■
, I Ç e sm ® 3 ^ ,'d û s, la plupart du temps , dans'leur origine., au pur hazard, à
des cqnjèéfuxes heureufes &impré;vues.y à un( inftinél méchaniq,ue,,aux refinuir
d’uhuàtonnemént-attentif & pauent, ourd’hùtÿun»vyrfeilem-iia
côcfflHS &t nus ” n .pratique^. En ti uca^^'jfoinierwd’exploitei cifvddh-Knts
pa) s , nous ivons déci’m'lwinventionS qui y'^on^miufdge pour l’airage, ®our
J telle- '
ment cdnihté-la,bonçé do ces machines , qucil'on dirait prefqui. qu’il ne s’agit
quo ^e. LèsIcoomS^^ ? orécifion. & qu’ÿltSShc confiftciuuq ue .dans.. utta exécu-,
~tiqh de routine. Mais cet heureux j^^æs^Bfl^^^&rélitlfondé--fus, les Joix
(3p.’ la ^léçhanigue, Çi ). Qu’une machine mit-nnùe par l’eau, par le Vent y,-,
- « e - t o u t e autre. maniéré ,,1’^fot qu’elle produit eflKmmours leréfultatKie là
iuftg^pfppSrtiSn^bs' pièces qui la compofont, a^BCylaryature étl^ahl-è^on de
l’ageritaui' erî efl le principp. moteur. ^nnfiL^i.général, la gîltMueJdes ma-1
chines doit eHQ?^cl|lirée parla ffifflBI, & ce moyen elf ^ m e jlqfeul qui^puifl^
lui ^ffie fa;re i ^ |grpg4ès ramdes & certaiffs^l
L’applicationraifonnéedes loix de l’équilibre & au mouvement" à laconflruc^
rions dëmfâchines qh^Miic^feyue, efl ^eUpincntJâéseflaire, que f^®.ce fecours,
to "^p ||lS defcriptiohs les plus exaétes & les mieux détaillées, lés Plahches-, les
mieux faites & les mieux développées,.deviennent abfolumé®t .inutil,es;iles unes -
les autres ne peu vefat plus être regardées ÿque%c^foe,dès.efquifles groffieres, ïnck-,
pables de guider dans de pareilles conftruétions : b'ri fera toujours dans l’èxécu^k
tion, loin du foecès qùe l’on cherche pour enlever plus om'moins promptement
uneiplus ou moins grande Quantité d,’éau oü île- 0 »rBDn Mine,
mouvantes, Vatt de fonrç mouvoir commodément I pofées.
mes corps pefantSj'^c qôSa .pour '