
ï 0 7 4 » ■ m u C H A R B fÙ M D E T E R R £
. MaMete. ÆemrÈsmr ZAhmhm. l.\
5': » L’Ai’^fr'rc e(F~cTOSwu|^Sa>reau .chaude venant du haut:' du pifton *
» on t ..préféré itérât iduc§t« qnt, d’tajÿficijlle qui aurai l trop- dpmnué
11» : CmTili niaWKMatBMBl» SL- a'irdksVebligé àJ efitoésrair un plus grand fe u : tüais
» ^îçs.i'^ué k Maèhine eut fervi pendanrquuq^S, années, G^i^qui y étoient
»ïoeéérffiesv skppwEfurêrw qtoe Teaml’IïipéSîèn ^lorfcjtf èllè- feiioits jfer'fituÿau
>vifé^euaâsaijiétoit b®Bjüstotef.,'ktidis qufe oeife qui yenok du haut diAiftort
» n’étoit que tiède ; & crurent donc que ce ferait un grand af^ani^édé &terir
« l’Alambic de cette eau diévà!é8ati®<i 4tàïd|ffl|Ai0Él#«&. ds le firent de la ma-
?MlèfagM ^g gK pBdonna unoli deux coupV'd’e' niflon de plus à laqjVtahine.
!ïsgk » Au petit* tuyau fous le fond du Cylindre , VIH , ©ÿ Biplomb
Hv, tlc^J^Fran'^ucur'dnitrptuquik» d’un pied ,Rjfc
iïitA uA d e s fétus v ers/* arec u*te*'fot^à|«s:feï lé0, bout J , ploiitbéSd’fen-
» yirondeui livres pour chaquep®uce;. |»récifémeHE aùs-xîeffsus delà foupapegln
«ménagea Une communication avec le tuyau iiour&ïeiï J i , enlorte eue
» l’Alambic étoit nourri à-shâqaeÊ.iiije£fâ®itnt de la vapéur. -
Opération ou maniéré de mettre en. mouvement la Machine à feu ,
51. XLVIII, XLIX.
» Avant que d’abandbnner à fél^vatiS'n^'&f‘à l o i n
» de tourner les robinets, & fle régler lgjmShv3 lnMilB.de k/MashîrafSpàr p s'
» chevilles Se poulies ^ l’Ouvrier qui en eft le< la
» maniera fumnte : H chevilles Se lèT|rottlies ' éEaîîr t©üt:es prêtes pour 'Hppb-
b ,lifie|Sms 'y être encore placées * Jujqtittiëê qu’il ïdlîititottÿé le «pc^japîÉ&r
4 î8aiiwi^&tiÿ t& Régulateur1 étant fermé, il ebîêîye lb^timps,w& la vapédr p i
n s’éytejdeii'fean.baüiüÉlitérîeft aflè# fckëipout élever tin peu ■ p IB lp e r;
» alOTstprénaôt de'k-iteiri.'^droite le fiMnéfae 4 ’ An- lwlefr ,'4l l’abailTe & fait
» pæcrce imfayèn faké à l’aiffieu î B > uïîéipatEïè d’un "toür^ pardà ilipouffe
»éïSfo^BÈg:*^ Sé k brânchéïP'iy feppânÉ féitgâitnt k?bMyille,' A^péifflTe Èlfl
* 'à's^tîkfiàtfroHeÉüïî& le wânëhe du Régtilfttêu# ,^qtti4s^9uvte par ce mouve-
»•æfèfltp 'M Vapeur'^1râfltiÉSiëdkteffiêntia|)fès dfijft le ^ l iiid r e ,t IdBâQn
».s’âeyé âvfcc la grande poUttfc. Lôrfqüe le piftôh eft à ferpkis igtaridfe |W
h tear é tt:£_ 'KOu^iér | | qüdSqtfil ikeefe-Vcfié^pàs- ) $>
»xbnàstt pat certaines marques Ait &couJiïè Ç /éÈevè^tmjmrs m
«élevant lë 'é a « b :e ,4 i » d t ferme le RégfiÏBWsttr |É $ *
»/ilïtiarque avee^dé4 d è^leV ^ r s y* la placé de là ■cheville & de
» qui 'dahs iê cOup - luivarit doit- en montant élever le levier y H , qùi'-èft' dans
» là fente, & qui doit, en donnant enviibû un quart de tour’.à l’aiffieu^ B ,
.. i .r b / ud
E T D E S E S M I N E S , i l . ■ ï ô 7 |
' «d’abord après pouffer en arriéré fY , vers m s -&: fermer le Régulateur!
' 3 ■ËnîllitÊ f Ouvrierayarit fàih
»quant la. coulilfe en s , pour y mettre la cheville s , & iL ouvré l’inje&ion
£-qm produit un vuide dans environ une fécondé de temps ; enfuite il ferme
» l’injeaion qui a faitfà fôn(Slron.,.& le pifton defeend fort vite , lequel ( paf
i, l’ouverture du Régulateur ^f'encontre là vapeur qui Féleve de nouveau.
» iV -B . Onpeut voir d ms la Planche X L lX > ÿ . f , qu il y a une forte
»‘pcforéMu’r H ^ cR '^ td b 'é n S dU iix ’' bôns!#lfoits <3^ 4 A
» levier venoit à .defeendre trop bas, le ^ iT # a f ^ d â t t® â g e ^ & .ijüê
» tout le coup fôt porté fur les deux raiforts de bois, par de. fortes chevilles
» de fL¥^ui veft^^ê^yà'iïêc’éc?.^Jf 1
B Q lorfque 1 Ouvrier a bien fixé toutes fes chevilles fur la Couliffe , ü
B^aut 4 ue grande fe meuve allez régulièrement
» ^ ^ cB rtA -iS JS î^ \ lie J |g
» feu & à empêcher- qu’il' n’arrive quëlque accident. Dans les pays à Charbons
F !3a ou '^ ^ h ^ r e s i^ ^ ^M r ié f iin c '- ë ll1 têllèÂ'
f » ment à la difpolition de l’Ouvrier j que fai vu une Machine à feu dont le
» piflon defeendoit avec une force de 20000 livres chaque fois , qui fbi^rêVéa
» dans une- occafion par un cheveu qui s’étoit gliffé au-delfus du bout fupérieur
irtduMc^ jppéllë'F ; SC qêifbk-;#pc?|®Ht l’i r i j t a â ' 1'*,
« C è ^ d é t a î l ^ f e a f ïuM’êf4& ls''n ^ ù s^ ?dfe âppé-
^ rfe»s% ^ 't% i r e ^ îp 5p^?ÿèVè^'Ie' |
champ qu’ils ouvrent aux recherches d’un Directeur de Mines qui veut Conduire
avec intelligence les Pompes à feu ; on juge facilement qu’il n’eft pas,
à beaucoup près, fuffifant d’être entendu & verfé dans la Méchanique • les
lumières les plus exaétes. de Phyfiquè-nè. font pas ici de trop ,-pour Connoître Â
autant qu’il-eft poflible, la puiffance mètricé de ces Machines': -cc que nous >
■v-enons' d’emprunter du Cours de Phyfiqüc Expérimentale du Doéleür Defa-
guliérs^ eft accompagné dans l’Ouvrage d’éclairci^meMs1 intéfeffants fur \ ' \ j
pomts les plus, difficultueux ■; plufieurs queftions que l’Auteur'fe propofe à
lui-même , y font difcutées-d’une- maniéré fatisfailante. Nous nous contenta
rons de réduire en propofitions générales , les différents points de fait ou d’ob-
fervations, fur lc/qùels-un Direéleur de Mines peut fe rendre attentif. .
- P/opoficions : générales fu r Ii&'.pri^pUux^iéiüriMe^. là- vapeur- -
1 dé l’eau' IfôiZiMqnte, •
Da&s laaMâéhine à,*fiiu v lM o n la rtMghodô'' dfiii;Gÿpitainé -SàVëfy tiù k
Ÿapèur eft deftiriee à prelferyimmédiatement fur l’eau, il effi detiidiitré -par
Turre, II, Part. • ' r 12 ’ *