
D Cf C H A R B O -N D E T E R R E
L f e M raifon ou'de -la tarife ' bu -du dègré quüfonHngbrirïus.jroü du t e n i ^ u ï
s’fcft éGoùlé entre l’accident & ^application desffccSuïs. ' -
• -S’agitûl- M S É I ] il's>;ieft/vu: ^ o ftt^ é .r a p p eU & a f e .v ié s p u& d » ,
leur d’une ‘peau 'de'-nloütori; dàns laquelle-dfrles a envelbpp.éss par lâchaient
dïufi bon feu ; dWn ‘bain de cendres ou d’èau ,-Oü 'db/fu'rnieK: échauffé ,'toü pat
la chaleur du l i t , du foleil ; on a .réuffi à en'Taüyêü>dkiir.e5T *en' pendant le
côrps'fur le pavé Froid :, & en-faifant tomber d&baut & par. je t, de 1 eauffrûjde
fur'les membres. ■
‘ C’e l b b ü l à uh. de%es câs-dont Hippocrate.difpit, en cb^ençantMes
Aphorifmes , que f expérience 'efiltTompeufe , SC le jugement difficile. Ne
pourroit-il pas arriver que le Ut bien baffiné, le tas de fumier M e n t, dans
quelques occafîons , plutôt dangereux ■ qu efficaces 1 La p r em ie re j^ |îd f0 a
du chaûd & duÆoid,’ décidée ’avantàgeufe #pÿcâtiqd Aouÿaue^ p,d.ur-
rèit-elle pas êwe-.nüifibfcr«Ces queftiôbs toutes »nues,'font affezÆ^G|#bien
il fèfoit importent de chercher d’explication des * différents :PaC
dés moyens touM-faic oppofés. • - 1 1
Quoiqu’i l y* aie tune-différence grande & réhllè»entre^évaSo.uiirèmeïit pfo~
f o n d v a p p ^ eM ^ V i &
& l ’i ^ ^ * ^ û i d o r i f l î t u ë l ’é c a tid ë s »N o ÿ é s '& - |^ ^% :Més;rde-qfiifè.|ratiquetrès
ordinairement dans le'pTetriiér 'degré, que llon/ait. eoîeJtrçsrfréquent,
mérite ici, une-attention 'particulière. •/
La fueur & la tranfpiration infenfiblé, Condenfées. patde^id*|gftfrÆé|andues
en gouttes fur toute d’habitude extérieure-du
alors de réchauffer le feGoutsèftqoutioppofé : .on S
jetre-furle .vifege-deiapèffonneévanouie.'-<|>^feî^i^%;^^ï5| i ^ fÆ ra'
nime fur le champ ?îe mouvement'dmcfu^Ceïréta^ffa^:., d é t e rm in e ^ le
fujet une agitation précipitée, une efpece de feeo.uffe ^ t o m a a ^ î p | t » e
comparable à' &»le que ^ a n t q o l r vient au-monde
: Quelques obfervations apprennent les heureux fuccès de l’immerfion fubite
des Léthargiques dans l’eau froide, i 4 «% " f ~‘r "
g SSi y avoir fur-cet objet,un.parti ^prendre darfs cet embarras , le plus sûr,
ou qui préfenteroit "moins d’inconvénients , ;fe rp i^ d e ^ o p jirf;.au:«.,ftf^nS
lèches, -qui'n’éveillent pas tumultuesufemenfr; l^t^i.aleur: -na&üj^lle.^;
--Dans le cas où l’on jugerait néceffaire de réchaüfferlecorpSjdu-rnalade, il
feroit encore de la plus grande conféquence de bien faire attention à la différence
de la faifon dans laquélie j$
U paraît plus que raifonnable de penfer qu’il effi des temps où la grande chaleur
donneroit une exclufion abfolue à ce moyen , ■ & qu’il ferait plutôt nécef-
faire: de fonger à corriger la tëmpératur.e brûlante; -& ’ animee de 1 air exté-
‘é m t p , voudrais, même qu’on eût. foin de jetter force féaux d’e » f r g i | a Ç u r
du corps. Dans cette occafion fur-tout, que «fquéioit-on “çle.lùi éqqçttçr fur.
<S£ 1
E T D E S E S A M I N E S . IL P a r t . f
f lecorps 1 La fqules apparence d?Mà|bgie entre l^fimple défaillanq^dans laquellp
on pratiquecc&moyenj, &^M®|pouiffement f^ncopfique, eft 3 | nature à fùg-
gérer & à amnri.fen_fapglacatio'n du>,m|m^m0^em(;x}^,t J e d a ilf^ u ^ r, les pei;-
fonnetsisde' i’ ArjÆoûr'lefquelles ilîoecaiion d|âtr^àqpellée.s de fe tfouygf
préfentes à ces1 événements , dc^|^être q n q obligation ^aggjpfQndiffrej jré-
fle^ion^j^q^if^leii^fouLnLt^vploiUKis. 4-.jp pjifL 'i ljpculion^lu^uade qupl
î’auannqncérede^ehaq-^e, ^rticlq, ^qtl’Avisû^pçîmé. :
■ i . La pieuuei e choie, cil donc de poiter;l^,corps (au grand. 4m^ d évitât
jmme,(/fur^rtout li qt(}iça.été<à cmteçq\s chaudù*cj^v^jtog.jijdy.iis undçhamB
bie ; ôc dans le cas où cela lèL^]ug^pJuS,>con\qnialjl^,tdci,jii\îytlinojtie ubhAa4l
, m.ent que, lemionde^ n.écel6ice»it^oed^nte oas ^ ia ^K rs l’ak ÿun epdrqitig|ii
ncùt.déja, fe.,trouver, étroit.&q3eu&aété*(r
2. Laffu,t4 .q.ui Ins ordinairement &J^pli|5^aEilement dans
ces ffiitcsfldoXaüpn^j|loiit les viohmcosique'1^)n [ ucaa c o in ^ iiff iüajJjMjc l
lui donnantd^SMtcit'uk^imcÆsi^. contre 11 itnr^ A{QjL*ed în^Kautedtvjld^.pfcgj
^ -.-lidroitpùiiljeflufeBoicl dépole . '1 c^lm o'i
on Reatrutg,. .'^-rd invjlcs Jnfi.iuites,poijtutcs Aiil‘</P'",uW^& ''JV1ht''s,
convenables à f f ütu^vûon.j, ,1
ij^.Ôuçlo u ^ fe^ùrs.qu’on adminiflre enpareil.cas ,, on .dqit aKoir. grand&^en-
tion à éyit&r-.tc utc ,çf jaccc. dé" fè'co u (le. rade il' faut tQmQÜrs.ayoir|,piiéfente,à.l’i dee
^ ec nk d 'È â lÀ îlf ^ qgLdjaelb d^nv le gUlggrand ,(langer
,(i) De/:»wij ceci Z’inî/?re//iore
I|||||e7e, âpo rtée de grand regret
de rCwoir pu. mettre mon idée à exécution. Le ±6
Juin Î772 , à itxpis heures ^prià-imâi, je ws trouvai,
dans mes counfes d'affaires, fur le quai dè la Gïév'ë J
jfibrbam. de là rm des Barrespour gàpnerAe port
Eamt-Bîerneird , au moment vqulune*grande^ affluence
de peuple, fur les deux .quais , me fit foupçonner
çu’ii î/eHèiî <ie; ^weZjtt’Mrz. m& vîiït
. eet£c co/ij,o/z6?«re / une cfeaZeMir i72^MîereflZ>Ze /z’æ-
ivôièwv^effliffld^êtreJ:j^é ^ ^ i^ llln fp eS tiô h du Thermo-
jnetrp ^ m'^nqnçoitaUe t VSmMtipn desifeco
^IndfMt'^xSpu? f
.pénibles pour les perfonnes qui vouMài&ïtiy ppén$néi.
part. ( Che'l moi fi oà f é-ri’avois pas dîné , 'eiie parut
J i extraordinaire , qu’elle py. marquée à mon Thermo -
métré à 3 2 degrés; &* il f u t rapporté, à notre fèance
de VAcadémie du lendemain, que le Thermomètre de
V 0 bfervatoire avait marqué les même^ nombre de de-1
grés ). Le malaife que f éprouvai n'ébranla point
, fefpoir &* le defir que fa v o is d'être témoin ëa;parti-
. cipant des tentatives qui aüoieni être faite s 1 je retournai
fu r mes pas &* me je tta i à" ba jiâte dans le
Gor.ps-de-garde qui efi fu r l.e,port, avant que la foule.
' en,eÊt rehdù les approches difficiles. Quptqiles minutes
après * on y porta un jfiune homme, qui venoit d'être
retiré de l’eau (JL©ffis ^aCeollirls , noÿéÈ-epuïs ù-$ Minutes.
Voyez pag. 37, de laBrocbmre c ité ep a g .
K $$)$, Note 1 ). J'eus le chagrin d'êVrefrufiré d'unefa-
tisfabiion qui eût été une des plus touchantes pour moi,
celle d'avoir concouru à la réujfue. L'air étouffant que
: ton refpiroi? dans léii0ôr^dhg:dRde , ne permettant;
point d'en attendre f j e me retirai deux heures après ,
imdmMbMi.^éë.tfépde ma Sueur , laiffajit, \cepx^qdt
manoeuvraient ' Hans Æ e y fim a iid r f^ ^ 'n ^ p é u t
crire i parfp&npjiiere do^pibaj^u^dégpjitpit de-Tepr
WiMë*' 3 dfoéttkiicpdr
^ ^ 0(j^eur^'duiÈ ufea&
ài f d i t . ^ lm placerjj
garde n'éji pas un endroit propre à l'adminijlration
» de ces fecôurs : ce Bâtiment ejï'écrafé, Gr ne reçoit
jj du j o u r , pour Vordinaire, que par une fenêtre &
jj par la porte ; l'air y e jï trop' r e jfrré & , p riv é 'de
» Vélaflicitéqui | dans le cas dont i l s'agit >, eft encore. |
> p b u T ^ ç ^ 0 0 e :^u!ë i d T ^ ^ u t i a u t r ^ U conr?:
jj viendroit alon d'txécutèr tout ce quv-efi néceffàwec
il ^4^ y-n
■Copias
'M inutiles, qui trouvent moyen d'avoir accès dans le
V11 gêner , par m jr
p f ‘G ^ ^ f ^ ^ i 'e s ' o p é fa iio n T fpH fe f-d a tM td ^ VMjr de
f^^^ÊiW o r^K ^ ^W ttd n â 'U 'irite td ire Jl'ribtemertt l'éii-
» trée à toute efpece nombre? d&
f f à t Utiles o àJn ,lfc§ /^ r^ Jp a r: ce ne
.» ''fu t pas une des moindres de mes occupations, de faire
de mpnde qui
P puretés rpreihiers commencements , ou to n n'a
an p q m t epcare ^
■' » le pè tttT jw ïfin jlmM ffdW K o iw
h rieur du couvercle de la Boîte, qui eji à la garde dit
Ç » Sergffît ^^cef ju z *Geffi&fftcier%
* vdans le Cti$ oà il n y aurait nijMédec^nhJBhirurgïen^,
. » fe r çn p ro c èd en t chaque manoeuvré a àm ^pm fe 'fflê *
irtdiiqdà ■ ' -