
ÏI4s .d u : c h a r b o n d e t e r r e
point la partie la plus-chaude du feu, venant à rencontrer à une certaine hautes
le Jand du.vaiflèaü, s’y applatit, û
force^ La ventilation , qpérétfpar «ff coûtant d’air pr%i)pité-du ^endrier dans
un foyer efpacé, d’où les vapeurs du feu & l’air prennent jffue par un déb
u c h é , Æft:rt(htte.diffdise|W»'-'idd h yentüation des- fôüfneaui de forgés •; U
n’y a donc point de eompataifen à faire entre ces deux manières.
La queffiboü;-- :rééife5ff’aèlleuîs à -une qagftfon :de « fait p d#vi«: j } ||P t 1
refondre: on ne manque pas'de Manufactures ofc;4’-ton fotfert dé MbtfiUe pour 1
chauffer les chaudières.; ceft à ceux qtfi font à :k- tête dé ces dttëMers à prononcer,(
r). - - »1
- B ü aux barreaux mï grilles de &$•' péîpéthélktnérie 1 e*pdlfe% «rde«
dejcéifcu, on ne peut encore lavoir »pïécifoment à quoi s en tenir'-|ir leur
dégradation, que dans ks grandosManuâdlures^n^^ . 1 " ^
Les gritk* des foyërS de -(Aauffigè & âè-é0 ^M' f e » l é ï T o n ne
fe fert que. de la Houille . durent en gdnérrf •âffâs'lông-teiffi{^ j pour
qffonnaye point fait for cela de remarque- précîfe ou exafte jufqu'àin cer- |
tain .point. I l eft vrai qu it y « HtKTgrahde différence dans la rnaniHre dont
le feu agit for les grillages qui le c o n tie n n e n t ?
J’ai cependant voulu rèforver par- mèi-mêipe 4 effet de ce feu fôfW|k barre
de fer qui .y ferbk^.pour ainfi dké ,* ëxpôfée continuellementïsjffti|is utile
de rapporter cette expérience qui ria été faite parpèrfonïïe. Pendanéfe deux
hivers de 1770 & 1771, :que jej®e: fois chauffé à ^ ^ g e .o if e , « p n cU s
de ceiJX qui s’i t ^ t 'cto«gés-dê l’entreprife des nouveaux cha'ufiàges' économiques,
m’ayant fait juger qu’e û t ffaurok pas d e ’fuite £ÿ)3, jte’Wàyok rieo
changé à la eonfeaiofi dé mes cheminées u & jkyois- donné lèïriêm^confeil
à des péfcfMifâeSeM'plaCeiqulffê-fajpofôlentdë-feire' arranger lètirsi^pminées
. Convenablement à ce chauffage particulier; les grillagés, oiifâiïjiftuÆoienc
àx^éméi^pl^és csantrè-ia-flaque dans-une-,très-grande-piece de mon ap-
partementT on lé feü étoit entretenu du matin
pas pour b huit J -le grillage, fouteau- fimpleméntv-fot mes-chenets, étoit
jdein, & compofé for chaque fact de tfeis barreaux d’un demi-pouce pJéquar-
riffage; ceux qui formdient la longueur du gril -, for le devant & for le f e |
jiere f avoiênt quatorze pouces de longueur.,
(x) M. Venel, Çhap.-V, Seâï-I,,pâg. 148,
avance que les- Qtlaÿd)eres de cuivr« de ta Raffinerie
de fucre établie à Montpellier , de
lepaifleur de trois ou quatre lignes, espofiées
continuellement à ofc fé^s^ i^ « id < 3, Hoüllle;,
durent des trente années. Ce même Savant a
encore obfervé que les plaques de fer fondu,
qui forment les poêles des étnves de la même
JSUnufaâure , durent cinq à fiï ans. » . •
•(a) Be? barreaux;4e pouffes d’équa.rriffage
au plus, qui forment les grilles des fours
{Je Verreries fervies avec de la Houille, rénftent
à ce feu énorme jüfqu’à trois ou quatre jours$
Jfc «e’eftjJoeaUequp 1 ajoqtp M. S p e l , ce fa»
étant tel eft capable de fqn.dr%Ie “f-1
W&Wi-^dntqdïl ne fera rien dans ce S“{ J “
arr.hé pour, lie choix îles Charbons, tant fu on ne
s’écartera' pas des attendons néceffaires, pour lis J1"
çonner , je puis répondre que l'ufage de ce nom'ioo
chauffage fe maintiendra fufffammcnt parmi nous*
pour gagner avec U temps. Je m’exprimois en ces
termes dans. l’Avertifferneni: placé à la tctc
l’Edition in-12 publiée en 17 4 0 , des Mémoires
quitefnünerônt cederhier Article,
§ È 3 D -g ijfrS 'g â c m i m e ,s . i l p A a t ; n 49
i Afn.d!êae,,for ,4 s r ; f â ^ Ei ePce q«% jt : Voulois::fake;,:Jlâ; mêtas face -étoic*
folfear» app«ÿée contre fepontteiccgur de,ta ti&iSjb^re^ux
de 'cette partiel du- p i lla p qja&; pîir;- earfépene. épçéûvéntoute KaéHyké du
feu.i;pé»fe«!i.de.wX(“teP^>' ® tplgtiBép&-. onfoite * le ■ barregft
fopér#w.:.é63i6..,eptiémmeût;^uk.dans fôn- milieu,: ^ la f f o i f tfn vuide de
d#X.pouces: dâuxikg.Bes;;f ks-.5portions-- r&lîanÉes quk.fe--répondoient l\jnei %
ieur f o r - f a e ê ] j f . ; » à - p e u Tpj|s-à.fo-
poj^énde k^firgupufirefentp , ; t-41©
deux forts pi«>n«^.bipi?>sig«&-à leur extrémité , &
cette-'exdrémke;>{ Gsmrne saisg^voientfjété jiamoliis-jffgqbureau foiyant^î-qui
écpItgefotdH^nilW’ r ié tîk aa^î,.diminué dans, fon-calibre, & mamfeftement
Ujiîtëé;dp,dedans en dehors,,.ce quLannoriçoic-qu’g ayoet auffi'éprouvé un
?m'#i(fomei5!:-,.foÆfanC pour .qiatalprsrjlreûtcédé- ’de ’-temps poids
d&jfo. pile, d^L Qharbon , ;chaq^ef fois .que -ce eombukibles étoit, dans -fore
4,%-],e}Tibrafe^Eent:(6“
f jL I t l s . 'iL i k '- € ia r £ à n s E i t^ rT ^ 'tv pm é fa l.
Le Charbon,provenant'dute^minej,^difpofée par? kfines-, &}çélu^qui proé
yie#J;d'H«ie mine:mmiJfi pt$QkeM avoir fe- qualjtéiidi®ren.tes>'Tolare^ini-
i pénietjfek-quei.foiE la mtUresfes; fga- premier foerpt de la formation des
; mjneft, ce que», nous avons dit , page 7.3^; & le^Qn: fons-donn^^^^^ àpenfejl
f*èjies..minesii^e)foes-fijkrecfo^ ,ou filons, nômnfées veines,#
refiesrees dans^u^fe-.enveloppe quivleur 'eft propre 3. tqui ' les' accompagne,par-
iQüt,; qui c|50^i§Ht-, commejdans une barrière, les efflu-x minéralkànts., feront
njieux- conditionnées, plus parfaites-; que celles au contraire qui feptéfenteQe
1 fous? une forme d-entaiîement;j, font des mines déformées qui noit-fèulemenc
ïorà fouffert dans leur union intime, dans lcur( ccmcrétion originaire , mais
k ® es onf enfee perdu , fi l’on me permet de m’exprimer» aiqfi^ une,,
[parti# de leur .mmêrdité\ cette qualité primordiale pe s’y fera-pas ^onfervé^
g auffir-sentiere que • fi elles fuffgflt toujours refiées-'-dans leur matriqe : elles,*
éprouvé|, du, moins à l’inftant du bouleverfement dont' ell#?, portent
[ tottseila matque, un éventtmenc, qui n’a çeifé d’ayoir lieu qu’après que tout
ps^mélange confus avec le,temps,- fait un nouveau corps '(i)* .
| r®ÿE« volum'e confidérable de ces mines de
i Char-on en niaffes' n’a rien qui doive étonner f 3 ur “ fil®Wfeniii4têntv ou'ie fuis, que plu-
[ Ss?Ss!®ln“ ’de Ctarhqn font jie ce genre ; U.
aoitmêmeserirénsoqtrèr unptUsgrand nombre
P°ur ce; fonde que-pour les mines métalliques.
1 on en connoîc d’une, très-grande étendue ; '
I l Pat exemple , que celui d’une des quatre
Traduflj" ' •.•“acStqn tie?.Stcuh^nlitc emr,e attolmon. 2®n, pn.o <te9 Id &an sr 0la2
i lia r ifr^ l1'01^ ' point de fembiable dans toute
j • «ftoire des .Mines ; il » environ ao toifes. de
circonférence, & fournit de lamine d'étain depuis
le jour jufqu’à 150 toifes de profondeur
perpendiculaire. Ces fortes de ftlons en maffe
; p’oAC.’^jsfe rarement une direftion réglée ; mais
ils ont leurs bornes, qui quelquefois eft une
pierre feche, quelquefois un roc, que les Mineurs
appellent féparanur , & qui vraifemblablement
en ce qu’Agricoia nomme intervmiim> lequel, die
cefavant Auteur 3 eft. tout-à-fait hors âe la portée
de -la vue, lorfqu’il appartient auxveines dilatées>
& au contraire dans les veines précipitées, qu’il
appelle profondes, laifle'découvrirfon fommei;
ôç îon pied fe.perf d^ns un^raijd enfohcemeutv