
i t fo 4 Additioi2S - é Corrections,
Page 3,(6 . ligne « , Fourgon, tijh Foreon. ' |
- Jÿ p , ligne & de celles de;Dalem , lifo des en-
"’î9 p f1V«ôn,s-"de Dalem. ' ‘ ‘
'3 7* tiffllé 3* » Agay ,^ans,les Houulieres de .Sar-
f roiay ; ajoute%, ces Mines ne font plus exploitées? '
Pourquoi il ne m’apâsété poflible par latetef^de.f;
cotinoître de vifit cette terreyquipoûrroit être l’a-
gaz desLiégeois ; les Editeurs de Neufchatel penfènt
que cet Agay eft affez fèmblable à l’ardoife dont-les
; vins cfe Mofèlle doivent avoir le goût pour êtrej?pn|j^
& qui Jfërt aufïi d’engrais aux vignes de cesjpanÊonsf
après avoir eté^ïees- ' :r' H H l
^ j ;3 7f , ligne 4 , ajoutez le Charbon 4 e Dàfem n’eft
réputé que comme Charbon debriquè’^ .u^üe^ l^en
; „ confômme gueres que dans le pays. ÿ , '
Idem, lignes;o’, communiquer l’airage , ajoute^ dans
ce quartier
37f > U gj& î4 , -voyez , page 7 \7$ J ^ ^ ^ em e n t général
en matière dé Houillerie polir l^rrbyjtnçerde
^ ^Ë im b o u fg î^ H
i E c
P a g e '380 , lig n e 27 , B a lt nçft: 4.;ÿ p |# ÿ i||||r. ■
-i w . ' 3 8 4 , note 1 , ajoute^ elpeee de beau jayet. Le jayet
fumage pour l’ordinaire: à l’eau , prend du
de l’éclat lorfqu’on. le frotte ; il répand la même*
odeur q te lé Charbon de pierre, comme' le teêin
attire la paille ; 'on le confond fouvemàvéc l’a-
.gate. noire qui n’eft-point-inflammable ,?qui eft
; plus pelante, & qui a quelques tranlparences, E . N,
y 38S > note*îfI^faujfejMrébifef.plige 5 0 , que nous
pouvons appelier Ardoife charbonneufe, eft noire,
fans feuilles, ne convenant avec l’ardoife proprement
dite r 'que par lès particules filamenteulès j .
.elle eft tendre ; on peut s’en 'Servir ■ comme' de
-- crayon ; calcinée à feu découvert , elle devient
jblanche,rajans un .yailfeau-lcouyert elle conlèrve
&% noirceur. Cette fubftance pourrait auffi s’ap-
. peller -Marne noire folidé , où; terre bitumineuje
durcie. Les Allemands, l’ont nommée quelquefois
. Kohljlein, Charbon; de piérré; d’àutxes fois Sçhyvar-
• ■ - ze Kreide , craie noire, Valler, Minéral. E ,N *
j \387 » IO» Cafi Hrtn/, ayozz/q;, la plusglande Par-
<ûe ;de ce- banc n’eft qu’une mafle applatie d’iron
ftonê. Minera Ferri- Saxea, E. N.
ligne t 3 , & d’impreflions : les Editeurs de Neufchatel
• ont fait piufîeurs remarques -tuf le précis par îeé
• . . :.q u e lj’ai"terminé la première Partie de mon ouvrage,
relativement à cesPhytobibliums.Page-169 ,
, " zc. alinea ; à l’occafion de ce que j’ai avançé que ces:
imprefïions appartiennent à* dés plantes étrangèresJ
gardent l’afièrtion beaucoup trop générale. On
■trouve allez fouvent dans- les Carrières d’ardoifè des
plantes qui • croiffent- dans le lieu même ; ils font
, ... aufli remarquer que le plus' grand nombre de ces
plantes'eft ae.-celles' qui'ont pu le mieux ïéfïfter à
la corruption , à caufè de l’épaiffeur de leurs fibres,
& de la folidité de leur contexture , ce que j'ai dit à
peu-près. dans d’autres termes ,page 170 ,lignes 17,
-18 tr 19 : enfin ils ajoutent que les empreintes fort
noires lorfqu’elles le trouvent dans l’ardoife , N ,
Page $96 y ligne zz du lit 'lùpériéür , BJejdts lits lùpé-
- -'rieurs.
3^7 ■> ligne 16 & 17 , quatre mille ïèpt. cents lôixante
P ’ chelins , ou , efface^ ces mots, &, après fterljngs,
' ajouteç quinze Ichelmgs.
ç i 9 , ligne 13 , comme une muraille y , c’gft-.
à - d ir e e n pendage de Roiflè.
t in , ligne 34 , ajoute£ on trouve des détails in té rê t>
fants finale Charbon d’Irlande de là Mine de Caftle-
' Courber, dans le Nouvellifte économifte 8c. littéraire
3 ceV morceau a été traduit en Allemand en
1761', & eft cité par M. Schreber, ÜT. iV. '
Idem, 7zoze?,vitrioLde craie. Sélénite, félénite gypfèufê;
ajoute\ la felénite eft une des pierres calcaires, le
plâtre qu’on en fait ne fê lèche pas fi promptement ;
ü y en a de blanche, de jaune, 8c deplufieurs
autres couleurs. On en trouve dans la-plupart des
montagnes de Suiffe. E , JV.
-418 , ligne 15, PL XXXV ,• ajoute^, voyez p. 695 .
■ 443., ligne ix , pierre argilleufè : à l’occafion de la
' note z de la première Partie j page 53, lur le talc,
l’édition de' Neufchatel ajoute «àîlfa'fiénomination
Allemande Talgtften, ou plutôtcomme l’a très-
bien rendu M. Schreber dans la iràduâiori Alle-
znande, efpece. de pierre àïgïUeufe*
444 ligne zz, à l’occafion de la 18e, couche de la
Mine de l ’huririge appellée par M. Lehman»
. 'Roth-iodte , p,- x'i8^'M."'ScKrebfer/'préfume que
’ routeur a voulu dans: çet endroit p f é É ' de^la
pierre calcaire , nbn^?e vdans quelques Minés
1 ee proprement. Rogen
I jjein , ■ mahnor'hamlnit^^îiTmJjéhmt'jüné'Gib&imce
très'difîe^ente^m^ent à J^Æla^è des jalpes, ainfî ■!
que la plupart des marbres rougis, félon le jfènti-
• : 1 mgdtïife M. Bertrand. ■. '
'Pàgei&fe, ligne 8. (Voyezpage 138).
( On peut VvOtr:. dans l’Ouvrage de Lehmann fur la matière
des métaux ,'non dmMetâllmutierh^ P i. W jfig - z , la figure
•dîun ’morceau ^de renfermant de l’argent natif j l’àrgent
£è trouve d a n ^ ^ ^ in e ^ è |M .. iè Concilier Eller. L’A-
cadémie des'Mines dey Freibeig^offëde une pierre pareille,
comme le rapporte M.'le ProlefTeur Brünigh, dans û nouvelle
édition de lavMjinéralogie de Cronftedt, jp, 183 , E . JV,
Page 448 j,; ligne ' 1 1 , q/ozz/e^ pour .plufieurs provinces des
Etats de^ S. M. le Ro:i de Frùilèi *
Idem', ligne' »3 , M._ Schreber y dans fès notes fur mon
' Ouvrage , renvoie pour le territoire de Drefde à un
, - OuVr%e%de‘^% chulïêns j publié en \-j6p en
Allemand1.
Il donne' à la page |44 u ue ^oûoejSe Routes lès Mines dé la
- Bohême, que^j’àûrbis été fort aifé de conHoître' plutôt, quoique
je foupçonne que quelques endroits ne renferment que des
hôltzkohlen , & non du Charbon déiferre;'’,'''‘' '
ld, ligne z8 , ces contrées , fèlon la . fè'marqüe des
•X ^Editeurs' dé NeufbKate’l'J font partie'du Haut
Palacinat; qn a;ironyé de côté & d’autre du
'‘-Èhairboni de terre J princip.^lèment dans l’E-
f .y.fché de BànîfeçEg, ou eft une Mine près de
■ Stein Weifèn , fe;,ttanfporte
■ dans toutes les Provinees ybifiries..' .■ -
Xi, même ligne , on n’en tire point parti', life^ on Iè fera
certamêmem'ent apperçu que pour l’Allemagne j’ai
- été dans une grande'difètt'e d’inftruéiions^les Editeurs,
dé NeufchaterÔbfërvènt^i’il eut. été à iftjuhàiiter qua
. ? tous les Auteurs Allemands &Anglofs.quiont écrit ,ïür
cette matière
. marquent quede_Gatalogue^iféj^ 4an.sie -^ ^ ^<,^ ? c<l
^9 ;'. MmdeSfàe G ioHo'vlns^n indique au-delà de cent;
M. Schreber dans la traduction ÂUeinande^êin'àtre
■ defeription indique plufieurs autres A'dteifra qui ont
parlé des Charbon? jojjil'ës ; dtw$dijfèr$tes vues.
v Dans le cas ,où cet înd^x^êofitrêdicçjt ,^m fâu ’iî'pa-
foît-que G’ëft l’idée des Avants, éditeurs ^ce que j’ai
avageé dans l’Introduébiom de moni#tWJage j 1 ,
ligne zfermere, fiir le petit nombre d’Auteurs qui
ont écrit uniquement mr ïës; CMr||ns .de; terre ( à
1 diffînguer avec loin des ^Mrbônsipfliles )-, on ne
- Peutque regreter la :dilEjÉ^b^ttlèUeméiit'tcûm-'
Sue , lôuwencinfiirmontable, de’ fê f voeuver p eu t-
étre même en A llem a g n ^ ë Î0Uyrages publiés en
cette langue.
P-àgÇ'W , Ug™ 1J . 1“ Editeurs de Neufchatel ont aioitSi
tetre (Æ
M. Venel, eu égard à la niameré dont brûlent ces
foHiles bitumineux , & qui eil prefeutée dans mon
Ouvrage, i . i j i & 1 i j 3.
, 445 n,aligne 1 z , les Editeurs de Neufchatel avancent
'• qùe dans la partie méridionale du Canton de Glaris,
I fo^Iês cimes'dés hauttï ^Ipes ,- homméès Spnd 8c
Limmern , le Charbon de pierre ss-aif|Iÿ|é1 par une
' ■ - odeur ttès^ tf iéfdKfiétrote;^'
'' 7 S » à l’humidité '& au' ’lôlêil. Lorfqu’en
parlant du r/z/-<7c/zzj-, jp. 17 } 7ig-, j i ^ de là
première Partie' , j’ai dit que cette pierre Étumî-
neufè eft ordinairement alliée avec un lel yitrioliqae ,
il. faut entendre-, com m ^ ^ tti remarqué lès Ed-i—■
teurs de Neufchatel, que cette fubftance àinfi que
toutes les autres dÆs-_c^^sf;i'çôra||^ des particules
• - vitrioliques qui fè décompolènt par l’aétion de l’air ,
8c fè rétihiflàni-éfl^hbM^for dh,V||riol«V’
■ 4fo:, /igné z,7 • Môfybdæna. G’eft un Minéral qui
contiëfit toujpurs du -plomb mêlé avec du fer, 8c
- ’ ' ' J'une forte 4# Mica. E , N . k
4 f 6', ligne 1, Argille fâbleuîè : les Fditeurs de Neuf-
• châtej ^obfèrvent ce qui fuit, à propos de la note que
* j’ai donnôfùr les marnes, Partie I ,page 43. L’argille
fàblonneufè n’appartient point au genre dés marnes,
on rie peut1 donner ce nom qu’aux terres comptées
de particules argilleufès, calcaires & gypfèufes ; le
£ble ne^pput point cbanger-l’argille en marne, puit
puifqù’il fè trouve mêlé plus ou moins dans toute*
les efpeces d’argilles.
. rMh » ligne 1 > WH{üei, Ufet Wàgue, eftimée du poids
I . de ï;44 lïwes.
Ide-n9ligne jg & z8 , vingt-cinq tnille», ïifë% Vingt}
jmüles,
Additions & Coirecilotin m m
Page "4^0^ jignei 8. Landrechun, e^zee^ Landrétlîun-.
■ p J : 4-é4 , Æfi-/ze 6 .A'dès ibfeÿl'ès ,„^OK£eî' N °. 14- Ê îï ' tv ' 48|î ,‘. :Zi8^.,.. ';6é çël'evément de veines du rlàmâut
; François , db%~no^: ^ p iis d o nn é^ifflûn e ?^é '^ <
1 i ■ ^ j r ^ in.es dix pays 4:é'Liège & du
, territoire; dé lLiege, paroît manquér d’e-clarté & an-
■ - noncer .une rhéoriè ingénienfê , mais aflèz peu fon-
■ dée.,Ë;,:N. .
j 'jju , lig> 3 , PI. X L I , c’ç/z X'LII.
1 4510, /i^yze q/'ozzee^: il faut y rapporter, les Réglements
anciens & noMeaux concefns^M||^pgaridjâ|de
Condé, placés à lapag. 73
W?, '494, ligne 1 6 , Fermiers généraux ; ajoute^ , voyez
■ Pagé 7 ° 1 , une additi°n à, cet Article. ;.
497 , Ligne 3 3 , montagne brûlée à S. Genis-terre-noirej
û/ozz« ç : à une idemi-lieue au 'plùs.de R-ivé-de-Gier,
' .4 tà-.quafr!d|K é ^ ^ ^ ^ |Bttêhn«imW
49P , ligne IJ , Pierre-ponce. M. Schreber , à l’occa-
. :|ïbn;'de;. la n0te que j’ai donnée, page 1 $6 ^ t e ce >
foftile, ajoute que la pierre-ponce eft poreule, le-
gere ; une partie de fâ fubftance fèmble avoir réfifté ,
au feu, tandis que !'l’autre:.a,'étc défunie par l’a c -,
tion du feu fouterrain ; il y en a de la blanche, de
la jaunâtre , de la brune ,& de la noire : on tronve ,
èes pieçresfponq^^rès,■ des ; mers où elles ont été,
. pouffées par les vagues pu près des volcans. Une
, foule d’exemples prouventmue. ces pierres fôrtent du .
: fond desmers jk .qi|^fè^4e:la>te^|^p%^1^^q^as^,
& ipàr lfeS‘'trembléme^^de terre. Voyez Hifi. de
T Acad. Roy. des Sciences de P a r is , an. 1708 ;,
Diction, du Commerce de Savary^; B e rtra nd,
<-1 Mém. fur les tremblements de terre.
Idem, ligne 19 , Avocat au Parlement & Commiffion-
> , naire ; effàcez^ce mot, & clïârgé de la défenfè de
la caufè des Propriétaires contre les Conceffionnaires..
1.,- Ly^^^lig^^p^SeSiomF' : Nota., cette Partie eft feule^’,
;•« ment donnée en e te r it: dans, l’examen du K ^ l ^ '
ment provifôire fur l’exploitation des Mines de(
Houille en France , page 6x j. |
iPage JjPA d.ligne,v6.,. qjji--^'nt ^ n o m b r e u x q u i à la
!K . vêr-ité vnè fbntjpassnomDreux... • 5 -,
;, '’>/ifflg^7^^fë^trpuyent|. autour , Jë i trouvent
liftés longtemps ;à-rFair, aütour.
»f l ,, î z4o fçlciusî tachet^^Sfnpin^Zÿè^ferfug^IJ
'fr«» néux, & tachetés d’un rouge noirâtre.
, du rocher, ajoute^ quant à la dureté«'
7,9 , fè rapprochent de là .pérpèndicqlaiÉè.;,u
.. ■ ';/iJè% (è, rapprochent, quelquefois de la
• ,, perpendiculaire; mais félon M. de la Tous
4 . >- rette, c’eft un^cas. particulier V & il uV,
a pas d’inclinaifôn confiante. ,
■ ' r5,&4.» iignOj. 1 fifatum - k
' . , -,î<jp7',j IjgnÇ. ï 1.,','ap^uée ,djajputc\ aflèz improprê-i
'x $\Bgrieji,+j\c. Gëtte• ^pgche,,pu.Mafiè: paroît à
• ■■ M.'->d‘e' la Tourette compofee de déux
- ■ lits diftimfts , l’un appellé nerf & l’autre
? I J.,çpëj^è. Le premier, félon ce Çhyfîcien,
a depuis z, ju^u|àr,é pouces ^d’épaifièur
i( que j’ài.ddnnë à là to^Mé^) ; le fécond
■ ^ .glus f0u|hi;,fië|parriés .inflammables que
le premier, ;âtj de.pyrite qui ne s’apper-
I | üi$°i£ poiritd.ànÇle nerf, a. depuis i jufqu’à
10 pouces d’épaiflèur , que j’ai attribué
j • à la Minë A^rà/îzZa, ce qui donne à la
' , to^le depuis 4 jufqu’à 16 pouces.
§07, 30 , fôn épaiffeur .e'ft de 2 à. '19 pouces,
:b?iùn ôùjraeuxî pouces environ, ;& quelquefois
À . moins ; 4 faui :en conf^ùphcè^rappo'rter.'ce’ chàn-
1 - geuieut ,, pour.y.avoir;égard, à l’explication delà
I • F l a n c h e 4 f ,j^ |ll. >
ligne,, 1 v'Iéîlpà'Eties hétérogènes,,, life^ de fès
- parties héterogenes.
- '’lignç 3 > roc 'lifa roche.
6 , cette^pierre, / ^ ^ Gette-couche.
6 > ‘8 , £ ,»'JR.afIbu RafFon.
10, Charbon chatoyant ; jartrute^ , M. de
la'Tourèyttq'diftingue deux de, cesy,Çhar-
bons vèn&jïs, qui fè trouvent plus fré-
qüëmmentfdans la couche- inférieure que
■ <«ans la - dô^Éé fùpérieurè;; fàvoir, le
> ; ■ Charbon à%&jciins on à feuillets pyri-
teux',' Scie Charbon a ^ u rd otf repréfèn-
tant Içs côuleurs‘'4’iris', fàns^ aucun ve&
tige de .pÿiftë>qui y , commë;.
on le remarque dans l’autre,: eett»,diftinc*>
tion me paroît
'■ Seconde Mine, ajoute^ ou maflè.
Page. joSiiyjigiië 1,7 ,. Mine hâtarde^’-^è^Mines bâtardes,
& ay'oKfq : II' yàvo'it .en 1773, pumexploitépar
' î r le ;®Mtrjè;45g: la Verrerie de Giyors, omqn a- conf*
:>;? ■ tàmmentlttouvé .cette Mi^ie ; dans> ce puîk^d® 4 f.
v toite environ & plus profond que .là galenfed’é-
^ » . jcqukmen^Ffa^.^j '^ e d s , le Pere Petoniêr^, M^i-
■ me„ a^oit pompes ordinaires, pour
éleyer l’eau du fond jufqu’à tjla galerie ; elles
5 r.fijpuôipnfquand çojnd^vouloit.pâc l’aftion du chevaf\
qui- tournoit la vargue; elllés/'ont mal réulïi d’a-' ;
bord ( & j’en ignore a&ueitfeMen4 :1e fùccès ) , parce ■
' ^ue ies barres de fer , depuis la manivelle au-deflus •
| • du»,puits1,4juûu^a^^®on“, ayant ra ^ l poriée dq^ms
de 4o_toifès , fléchifloient en defeendant, & oeea^
' *''•'>' fîonnoient dans le piidon des frottementsj infurmon-
iS3 tables ; on avoit cherché , mais inutilement, à remédier
à ce ma'l, en appliquant des. poids confidé-
■ ' râbles, atix bàrrès à:u?dëÉusidiU fiftb.n. pour le faire
•deÉendite.,
P ag^MjÊÈ ligne .18', p ^^i|trquÿ^^7Qz^gy fous ce iànci
■ ' K^^^Ç^bâtarde, a/oz^re^ voyez- /7a^e,703.
. tjS , & demi d’épais , ajoute-^ & ces Mines
s'exploitent temps, ainfî qudj.
1 ‘ la Mine' Blcaro’d^V,'page'704.
^ ^jSom b .^ ^ou ij^: op la nomme' encore
^,1 Mpnéehàùe.j.
j ligne t 6 , il gagnoit jufqu’à 20 fols ; nota, ce
paiement a,vatié^ È;ês|.f iqùeurs;;& les- Traîneurs fonÊ
, ^ - , p'ayés à ^rqportibn des. Bennes,,- & non pâÿj0ur|ié*
- » ’ ce ne fodf plus leS^Copç.efliQnrfaire^., mais leuràV
Fermiers qui règlent le's fàlaires. ,, (
26 , fur la contenance de la Benne, il faut
voir Faddîcibn,,page ÿ-eqi !.;»•
>"‘>s : ^/Zé. 28 r ;||ntçâùx , ^tTTEA ÜX. ; i rv
. ^ IO > i 5 , Raffou , life\ RafFon*,
■' ‘ J x 1, Zz^/ze 27 , trav’ail du fômba , ou Mine de defTus „
• ; ateement dite Mine Matëck'àle. • |
• Jzfem^qrë^fvlàpréféren^^vayo^r^î ySxsxtBoe
b'> §2^^ra|^iugvl$]Helle ces travaux fè conduifènt ainfi , .
t ce qui donneroit à croire àlors/ que la bonne, Mine
du mouillon ^^^pendage^lfoptttih'cliné;, mmgre.
. ce qui a été dit précédemment peur la page ^04.
SI2-î ^ zzcj- 18 £■ x<?, fut chafTé du fond d^ïaMine ,
; ' ! ^è|||a|qK': fii: puits , en.tombant ait?
,- 7 * fénd'dé la Mine, brilles-artifices, i&c. ^i
- , ligtjj. Vt , à ^ cent j quatre-vingt çieds/t,, 'ajoilffîç?
^augment^é par T a irA e s^ u rê i^ ^ x ^ .c ^ ^ o ^
iionyreny.érWfes^ mâcTunesgMæêes â“l3lîrpfer-
•, 'ficie;«n;aterémcmeqpëlesbénàes, les’pèrdes^
& des pierres
• teèhi>È!ka|Téês%0^ .
'■ Zig7ze 'Z7 ,>'pejidant! du. temps j.^ozz-ce^ les trâ-,
.4 vaux ne furent ..fùfpendus que. quelques
' : )ÆémeSi^^,
f *3 > ligne 34'>^Q^%'ii.ayoit étéemplqÿé^mi77(3
aux .Mines.,dû. Mouillbn | ^^ ^ ffletfdetf^ jjjgéron ;.
mais cet expédient n’eft propre que pour des puits
, 1 q.üi ne %jtjpaS^iinë:pjmogdepr'conndérabl^^^^
J I 4 j. ligne io^f, cette, voie eiette maniéré .4®,“
mefùter. •
ligne ^z'3 ;;f üfif( régie -, )ajoute^ liorifehral^’ oi^ ifc
.iig/zèj sd^un des ,,^jdïÈcbs ; des, deu«£
plombs.
, lignés 18 <& 25 , on enfonce fur le point aeleür
diredion parallèle un piquet, ® f;te y a n t la
" • , fiire'aioi^l^ ^u^^^é^ uù'.pxquet.
* i ligne- 3^1^^:ëhtortillafiÉfU^KëllS^urounvde^ce^
j.y.^.v fâutereaux fiicpiffivement , /i/è^ en ployant -
‘ ' la ficelle , on ;porte iM^l^fhperfiçie les' faute-
■ s&^dS&dans le. mémefoëdr^gSç^oient.dà^ffl
j - ' la Mine, 8c efface^l^ x ^ i^ ^ ^ e r e s .ii|p s lr a |
lit■'>?„ dé lapage 5 x j. y .1
- f l fi? ligne 3 , préciféfÉient ,-r ajoute'^, au - deftus de
'ï.r’ fîe^M an.s te! ipuits , par confisquent oàns^af
direftion de ja.regle , ou des deux ncçlles-,pendàrR|
/.. tes ; la cqtdev'pu ficelle npuée , .fixée à ,ee piqjiëi- paï
-{.r . le.même.bout', prifla déploie, &c , jufqu’à la', dii*^
.? .tance, &ç,.: . '
• ü,- iigftd 5,3 » .environ cinq mille livres ; esiagifra.*
... „ tion des Extraâeurs j voyez page )f£ÿ$jpre -=•
mier alinea, & page 707.
S16 , ligne 7 , infidélité de ce moyen j, lif&j}^infùffijü,
1- ' ffànêe de ce moyen«
1 8
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