
ÏIJ>4 D U C H A R B O N D E T E R R E
~ reconnu dâhsîtëéffai fakide
h Houille :de; Saintè^èVÀ^rgénd&r'e:> â «ftiinïieUes dë-Sam’Bel , f § | jfa
-eu léLmêm'ès xléfeüb iaui bouc' de quelques hëùfës>d'e fonte1, ttanc i^e
.à’ unis. ' grande : quàntiié : dHmè èfpece: de-jfcMfte .réfraétaireV & par'-coii*
■fiquéhfc peu prapfe à cette opération'; tafidi^ qué-lès coakMiultants de cfà
HoûiHe J k ù jè à e s Mines de Rivé-d^Gier-(ïc)$ofit ptocüré'dans la f o ir e s
minéraisvde: cuivre tout'le fuGGès.’qu’on Tpôuvoic^efi -atterîdlfe;(|) > cô'rëïffè
^jpo&ra en vétü® Mâï-fêl.«» -a!
I j Lagrûffeur 3 dessmorceaux. de:Gharbùn':qüi>--<fcïVè’nt éflïfëf* taris là ma®é
foumife, a lla combuftiôn , n’eft pas-, indifférente-,- d’apîè’s la »ascription de
~M. Jars ; en Te mettant ^fépaiet,des.-pharbons4 eS'aïrêtes -pfeïréüfes, ner-
yeufisset quisiy tro ü v entrimàéisi('c equèiWne peut faite qu ônléÉfcâflant,)
- M; Jars^ veut çjifon Gbnfefveqaüx ônôrcèàüxT quj en-r'éfulcent^da^fSireur de
trois 'ou .quatre pouces . 'cubes -où dé .ttSs-grosieeufs; Vdÿtf^la0?éHéonî« peut-
être- néceflàire 1 pour-qUe: le feu puïffé s’étendîé & ag|r ’|galetnèht-dans toute
la meule :. il pourrait Te faire qUé cèïa rie fût-pas 'd’une ndccffi^'gibfelue;
Itt-toüfcforïquè k fàbiâeatibn skxécute dans des fourneaux, côiftîpeàjÉt^c&SIe;
la chaleufidu feufcomrâuniquée à la cbpmîriée^uiflifîneau", iétanècapablede
pénétrer lès Charbons'd’un volume-, plus confidérablé que mçlmûridiqué par '
M. Jars. Eh jettànt les yeux fur la PL X X X V de da,féconde ;Paptie;,ic#pren-
dra une idée générale dfe l’arrangement & de la forme l dohneri-a tl|taffe.
ment (y)-- Y *
r’i ta'quantité de Charbon'qui peut 'être' fournis ràf uhë fabricatibh ,Bffnblii
su ffi,d ’après'M. Jrirs*; être uri'goiwà' obfetVer j-'feStrAutëÜïfoffid WiS-cjue fbiy
j|e doit pas en'cvriie’ à ta"fois*plus dé^yo^-à'riô quintaux^îfjpbftfé’que*dans
maffia5 d’un plus grand volume. Faéfcori du Fêu ftîf chaque lÊâtdéaW^WiarBon.
lie fofoitpas convèriableirieritégàle &ünïforme ^ û ’il'^eft^auioÎÉ^l'0'rsK’*en#
rement calcinés, & d’autres qui rfaüroient éprouvé' au cmnaf forte'-®®fération.
, En fi^pofànt là kbïieatiôm exécutée en^Alumellc-, on nèdysit^pas t*p
à quoi tfonbk diffibufté de préparer à-là-fois *u‘ng biçfa plus' 'grande' pStititj?
de - Gharbon>;-que‘%elléïà, laquelle ,|&
fi dans une très-grande mèdle 'compofée avec un Charbon très-abônçlant en
jbiaéftii|lon ne porte d!abord qu’autant 3 é matière enflammée qtfiltenpWroM
pour embrafèr une petite meule, le Charbon éloigné'du centre eyenant à fs
gonfler par- la chaleur- ne forméroit- en ïè collant qu’une maflèi 6to||kufe a
,) .C’e ft-à -d iredé Ja, bonne efpesé , 3c
'débafjaffée dé^prr«;*
.-J.2) A,fieΣ)r^éès,1e-déchet daas lajpnte, j
) M; Venèl avoitété vifitèr aJâ ferme de
.-GfiUreaaà£> fur fa montagne de Rive-dé-Gier,
les Alumelles de Charbon de terre : la différence
convenablej qu’il établit entré elles 3c
celles du^-ghai-bon-de bois , eft que des derrières
au Heu d’être en qbnesi>aUopgés-i£ aftez
élevés'; ne font que des .baies der cônes'furbaiffés
; .peu ép^ifTe.s, de r<* 1l-'m^ pBÇSs^PI)1
au plus, ou des cônes furbaifles & tronqués s
la hauteur de i j à 16 pouces. Il app“ 1 dc
l’Ouvrier qui dirige l’opération, que le «U r.e
«eod|!éitqà(..iBfoËtl}
plus épais ; les bords .en
battus & conftdéiableméntjjjplirés > & > •
près., tout le. deffus du tas eft àpeii-prcs plat J”
applati. Chapitre IV. Efpeces anifiddles de ilmaut
Sctf. I, du Coal ou Charbon dçHoitiUc, note peg. 7
travers
$ T . D E . S E S M f R f E s . II. P art. tip y
travers laqççllor le feu ne jpourroit pénétrer , d’où il réfulteroifqn obftacle
à u|.fa^|^uniforme mais il efl clair qu’on peut facilement obvier à cet
iqSgnv^pi|q^en portant dans.k/«ietd«..pIg»,^v.tfiQii>si,d©.bbis enflammé,
félon le volume de ,1’entaffement de. Charbon : il paroîtroit cependant plus
fôr en géqéjç^a^i^e point en préparer à la fois plus de,<?o quintaux erivffojÿ
L ’habillement-de la meule eonfifte , félon M. Jars, « à recouvrir les Char-
” bonnieres dans-la bafe d,e la p ile, depuis l ’aire d’üïfoufneau, jufqu’à la hau-
un pïed,,a.vec du menu Charbon crud,rtel-qu’ilivient.de la
» carrière ^ & avec dès „déla is qui, fe font dans le choix; du -gros. Charbon g
» & d’açl\eyer'le reÇe de , l’habillement fuperficiel avec les-menus braifons
,%çiçationsprécédentes».Il,obfervèenmêmertemps,»que cette
? srôanjerevdifpenfe dq.prauquer, comme ppy^les autres méthodes,,des.trous
^e; h cirepnfépnee.,. afin de favori%. févaporation de la-fuméo,
J?j.v^ -3U W?ïf|îc| siqiIii]fe ÇonfèrVent entre ces même eoaks, y foppléent &
^fpnt-le même effet pour que le ^ u agiffe paiement partout ( i ) ».
'S*&i>Jvge: diu Charbon'y Gouvernementfidu Feu.
, 'Arrés ayoi^prourvu à ce quq le tout s-’allume enfemble'& ûniformémëtit,
IÇîP^s^JGjleLefl: d’affurer leTeUj c’efl-à-dite,• lui.donner & lui conforver
partout une Torce égale. « .L,orfque la ..Charbonnière-commence, à1 fumer
» :l’P “Yr}ë! IfiBSBSrç le fom^et ,; ^ : conduit l’opération commexdife du 'Chàfr;
i> -bon de bois r ,(a^nt foin-de reboucher les ouvertures par.lefquelles.le feu
.»j* paA2 > poqr empêcher que le Charbon ije,»y cônfome f itjcontiîiue'cette
.» .manoeuvre-jufqua ce quil ne.fumè.plus , ou .du-moins, jufqu’à ce'-que
.». la, fomép e^Tprt&très-cIaire:, |ghé..c'ertmn de la fiad^ilppération »; ; \
r .A. Parron ,.on reconnoît d’-une autre maniéré la .deftru&ion du -bltuine <fu
Charbon ; c eft lorfque Fa flamme s’étend fur toute la furfàce de l’aiumeileî(2.)i
hm-P» dei^, ff nfèignètrientShfoat également bons, celui de 1a fumée fur-tèutl-
te volume & laxouleqr,:de' cette exhalaifon , pourraient iriême dans lé
gourant.de l’cçér^tion , aideri utilement à juger du..point o ù . en eft la fàbri-
cgtjqn. ,
Cette, fumée qui précédé la flamme, dans le Pharbon de (erre f-doic ,
Sf®®endapS; fo .Charbon de bois, varier, & raifon. de l’effet qu’y produit la
différente prçgteffion de la chaleur que luii.cômmuniquélleîfeuq daris le feu
H ! « ! M. Venel, le feu agit fucceflive-
ment du céotte à la circôiiférence. Ûes fumées
'wtaches mêlées ;d’çfpace en-.efpàc^ dé qu'elquëj
I f lp » partent de ée centré ,& piitâ®
wnt îucceflivement contenues dans des cerdiès
■ Peu‘Pr6s concentriques, qui vont s’àggrandiffant
à mefure que le feu s’infinue dans le centre à
Sc gagnent de fuite & àffez uûiforinéiu jnt là cir-
ap p tr o née ^ d ^ ifc tg y .f^ '. 7ÿ>'--' - *
T a ) Voyages Métallurgiques, treizième Mémoire
, page 2 7 J,